Jouissance

Etat mystique privilégié où l’âme s’unit directement à Dieu. Etat de quelqu’un qui se trouve comme soustrait au monde sensible. Etat de joie, d’admiration extrêmes, causé par quelqu’un ou quelque chose et qui absorbe tout autre sentiment. Etat de jouissance extrême. Sérénité : Du latin serenitas Etat serein d’un ciel, d’un temps. Etat de calme, de tranquillité, de confiance sur le plan moral. Ravissement : Extase mystique Etat de quelqu’un qui est transporté de joie, d’admiration, d’enthousiasme. Joie

Durant cette phase d’espoir, plus ou moins longue pour son aimé hors du coup, ignorant sa position d’élu, l’érotomane que nous appellerons, Anna M, pour cette lecture comme l’héroïne du film en salle actuellement, sera irradiée de bonheur, de jouissance totale, incluant dans sa bulle imaginaire son homme de bien, son bien aimé. Suspendue aux signes d’amour qu’elle provoquera, elle vivra son fantasme dans le réel. Pendant que le névrosé, dans le secret de son fantasme articulé à ses rêves éveillés

l’auteur appuie sur le caractère variable et mouvant de cette force qui transforme le plaisir dû au désir, au fur et à mesure des besoins de la personne. Cependant, Rousseau émet une réserve : telle une limite, le désir et toutes les sensations (de jouissance, de besoin, d’impatience...) disparaissent devant sa consécration. En effet, cette arme embellissant l’objet du désir, ne pourra parer la cruauté de la réalité. Car l’imaginaire s’efface devant le matériel. Rousseau donne alors la réponse à son

non assouvis mènent forcément à la souffrance. Alors que l’individu est obligé de désirer, sans désir il n’avance pas : Rousseau a dit « Malheur à qui n’a plus rien à désirer », le vrai bonheur est dans le rêve que suscite le désir, non dans la jouissance, mais cela est à nuancer quant on sait que d’une certaine manière, le désir peut mener à la souffrance.

de méthodologie réparatrice de vice du XIXe siècle ou de liberté homophile des citoyens de la Rome antique, l’homosexualité a toujours tenue une place importante dans les comportements sexuels humains. Nous savons aujourd'hui que le centre de la jouissance sexuelle se trouve dans le cerveau. Cependant, c'est la culture qui construit les interdits sociaux et qui définit le bien et le mal dans ce même cerveau. Ainsi, les pratiques sexuelles ont été de tout temps dictées par la société. De toute évidence

amène à une béatitude bonne en elle-même sans forcément être soumise à un impératif moral. Spinoza développe une conception moderne de la liberté : il assimile le bonheur, c’est-à-dire la synthèse réfléchie des actes de la joie, à une expérience de jouissance et de plénitude qui est proprement une expérience d’être, bien qu’elle ne soit pas une expérience de l’Etre.

satisfaction, il est dans le désir lui-même  ( - il n’est pas de place dans la vie de l’homme pour la tranquillité  - le bonheur auquel l’homme peut prétendre réside dans un mélange de souffrance et de jouissance, cad une sorte de tension intérieure par laquelle il se sent exister (cad exister comme seul un homme en est capable –cf construction de soi par soi, création-) ● Pb° : Puisque le désir est le sentiment d’un manque, donc cause d’une souffrance

==Quel est le but du plaisir ? A quoi il sert ? Comment l’obtenir ? KANT(misologie)=en faveur de la thèse de l’auteur. On remarque que plus une raison est cultivé, et plus elle tente de poursuivre les joies de la vie plus elle s’éloigne de la jouissance que procure le plaisir.==== misologie= haine de la raison. Le plaisir et la « relative » gloire que procure la raison ne remplace pas ce plaisir perdus==== raison pas compatible avec le bonheur. La raison n’est pas suffisamment capable de gouverner

Pourquoi ces philosophies sont élitistes ? 1. Elles prônent un détachement des plaisirs vulgaires, liés au peuple. Exe : l’épicurisme, la typologie des plaisirs proposés par Epicure est l’exact inverse de ce que désir tout le monde, la richesse, la jouissance sexuelle, tout le monde veut les plaisirs de la table. On voit bien ici qu’il y a une forme d’élitisme dans le choix de désirs qui sont au contraire peut prisé par la masse, l’hédonisme épicurien est à l’excat inverse de ce que la majorité des sociétés

stigmatise en tant qu’opposé du plaisir, on peut tenter de l’interpréter de manière différente. On peut partir du Philèbe de Platon, qui nous montre qu’une vie de plaisir exclusif n’est pas viable, elle nous réduirait au rang d’une éponge de mer en jouissance continue. Il y a donc dans la vie des moments qui ne sont pas des moments de plaisir, il y aurait donc peut être dans cette « vie bonne » décrite par Platon des moments d’absence du plaisir, donc aussi de déplaisir. Quelle fonction dès lors pour