Jugement Meursault

Pratique du dialogue Types de jugement |Élément du contenu |Définition |Exemples |Piste pour interroger le jugement | |Jugement de préférence |Proposition subjective par rapport |– Pour moi, la démocratie est |– Chercher les raisons de cette | | |à des |préférable |préférence. | |

1- Le lexique appréciatif Le vocabulaire devient « appréciatif » dès lors qu’il implique un jugement de valeur, un sentiment, une subjectivité. Cette appréciation peut être négative : le vocabulaire est dit péjoratif, dévalorisant, dépréciatif. Comme il peut être positif : le vocabulaire est dit mélioratif, ou laudatif, ou élogieux. a- Le vocabulaire mélioratif Il valorise ce qu’il désigne, en présente une image favorable. Il peut s’agir de mots dont le sens est positif, ou de mots dont seule

Sens des termes - Pourquoi : pour quelle raison, dans quelle intention. - Applique-t-on : ici, appliquer signifie attribuer, employer, utiliser. - Création : prendre, ici, ce terme au sens fort : action de donner l'existence, de tirer du néant, d'organiser ce qui n'existait pas encore ; création : terme proche d'invention. - Activité artistique : faculté de produire un effet dans le domaine de l'art, c'est-à-dire de la production de la beauté par les oeuvres d'un être conscient. Sens du

de connaissance. On quitte le terrain de la connaissance pour entrer dans celui de la religion. La conscience humaine se spécifie dans un autre domaine : le domaine moral. A la différence des animaux, l’Homme est en effet capable de porter un jugement de valeur sur ces pratiques, ces actes, en fonction du bien et du mal. Par là, il exerce sa conscience morale. En quoi consiste-t-elle ? Lesquelles de nos facultés sollicite-t-elle ? En quoi est-elle constitutive de la conscience que nous avons-nous

renvoie au narrateur. * l. 64 / 65 "vous" et "vos" → l'utilisation de la deuxième personne du pluriel montre ici comme un dialogue dans lequel Emma raconterait ses souvenirs → style indirect libre * l'expression "la bonne demoiselle" l. 67 = jugement d'Emma * l. 87 le " pour elle" → référence explicite à Emma et au narrateur. On relève le fait que dans notre extrait, les éléments romantiques et romanesques renvoient de plus en plus à Emma. l. 63 " la vieille fille" ; "ce n'étaient qu' " →

cet ordre supérieur. C’est un droit gouverné par un ordre supérieur comme la morale et la religion. 2-La doctrine réaliste ou positiviste Cette doctrine c’est l’opposé du droit naturel et ici le droit ne peut être que susceptible dans quelconque jugement de valeur, l’idée ici c’est que l’on va élire des personnes qui vont faire la loi et cette loi ne pourra pas être discutée. 3-Différence entre droit morale et équité La morale influence par définition le droit mais malheureusement des contradictions

factuelles : affirmations descriptives, réalisées d’après une observation. Elles sont observables et vérifiables * Infos textuelles * Tableaux et graphiques * Informations indéterminées : * Infos qualifiantes : Enoncent un jugement de valeur (positif ou négatif) et reflète l’Etat d’esprit ou la vision de l’émetteur, en liaison étroite avec son cadre de référence * Infos hypothétiques : fondées sur des suppositions ou des déductions. Elles sont contestables, peu vérifiables

de quelque semaine ne peut pas être considérer comme un être vivant. En effet sa voix est calme, posé, qui plus est ses arguments sont infaillibles et ne traite que d’un jugement scientifique en témoignent les expressions suivantes : « électro-encéphalogramme », « jugement scientifique » et « en aucun cas un jugement de valeur ». De part ce raisonnement logique l’interlocuteur ne peut réfuter les propos du locuteur, il est contraint d’approuver. On peut également citer les statistiques lors

soi . la construction du « je » . l'opposition comme fondement de l'identité . la conscience comme caractéristiques de l'homme II. La conscience de l'alter . la différence comme simple constat du non-soi . le stigmate comme représentatif du jugement de valeur . l'émergence de la norme sociale III. L'interaction comme fondement de la construction identitaire . l'homme comme « animal social » . l'autre comme mon alter ego . la multiplicité de l'identité IV. Conclusion Résumé L'ouvrage

1. Pierre Clastres, La société contre l'Etat (1974) Les sociétés primitives sont des sociétés sans Etat : ce jugement de fait, en lui-même exact, dissimule en vérité une opinion, un jugement de valeur qui grève dès lors la possibilité de constituer une anthropologie politique comme science rigoureuse. Ce qui en fait est énoncé, c'est que les sociétés primitives sont privées de quelque chose -l'Etat- qui leur est, comme à toute autre société -la notre par exemple- nécessaire. Ces sociétés sont