Julien de Médicis

aujourd’hui, a attiré les foudres de la censure, comme en témoigne ce rapport : « Nous ne croyons pas que cette œuvre, arrangée telle qu’elle est, rentre dans les conditions du théâtre. Les débauches et les cruautés du jeune duc de Florence, Alexandre de Médicis, la discussion du droit d’assassiner un souverain dont les crimes et les iniquités crient vengeance, le meurtre même du prince par un de ses parents, type de dégradation et d’abrutissement, nous paraissent un spectacle dangereux à présenter au public

au contact de la vie culturelle de la ville de Pistoia. Il pratique la peinture mais aussi le dessin. Il arrive a Florence en 1464 Grace a ses beaux dessins, il entre à l’atelier de Verrochio en 1466, un peintre travaillant pour la famille des Medicis, une famille royale de Florence. En 1478 il fait ses premiers dessins de machines de guerre (2 du livre ) A partir de 1480, il part à Milan, il va créer son propre atelier grâce a une grande famille de Milan, les SFORZA. Pendant ces périodes il

Littérature : Lorenzaccio, Alfred de Musset Acte I | Où ? | Quand ? | Qui ? | Quoi ? | Scène 1 | Dans un jardin, à Florence (Italie) | Une nuit, au clair de lune, minuit, 29 décembre 1535 | Lorenzo ; Giomo ; Alexandre de Médicis ; une belle jeune fille et Maffio, le frère de la jeune fille | Aidé de Giomo, son homme de main, le duc Alexandre enlève sous les yeux de son frère une jeune fille que Lorenzo, son âme damnée, vient de lui acheter. | Scène 2 | Dans une rue, proche du lieu où se déroule

1564 à Rome. Il a commencé sa vie d’artiste à 13 ans dans les ateliers de l’illustre Ghirlandaio qui va l’accepter comme apprenti. Laurent Médicis dit le Magnifique, amateur d’art, poète et protecteur des artistes, va rapidement remarquer Michel Ange et lui offrir l’accès à sa bibliothèque, ses collections et aux artistes et érudits qui font salon chez les Médicis. C’est aussi l’époque de ses premières sculptures. A la mort de Laurent le Magnifique, Michel Ange retourne à la maison paternelle. Il pratique

duc Alexandre de Médicis règne en tyran sur Florence. Il a des mœurs de débauché. Il prend la défense de Lorenzo lorsque celui-ci est attaqué par le pape et ses représentants Valori et Sire Maurice. Quand ses derniers lui disent de se méfier de Lorenzo il n’en tient pas compte : Il ne craint pas Lorenzo, au contraire il le prend pour quelqu’un de peureux. Il aime bien Lorenzo et prend sa défense quand celui-ci est attaqué. Lorenzo de médicis est le cousin d’Alexandre de Médicis, c’est son favori

lieux, des moments diversifiés, des personnages variés Sc1 Un jardin clair de lune (romantisme) Sc2 une rue le point du jour masques (carnaval) : marchands écoliers un bourgeois et sa femme (duo) soldat la foule le duc Salviati Louise Strozzi Julien Salviati, seigneur Corsini, Lorenzo déguisé Sc 3 sc d’intérieur : chez le marquis cardinal marquise marquis et son fils Sc 4 cour du palais : duc Valori (prêtre) Sire Maurice qui se dispute avec Lorenzo Sc 5 devant l’église des femmes diverses

| Cette oeuvre est un drame romantique dans la mesure où Lorenzo est un héros déchiré entre ses passions et ses engagements. C'était un être bon qui s'est pervertit dans le seul but de rétablir la République en assassinant le duc Alexandre de Médicis qui est un véritable tyran (il séduit, enlève à leur famille de nombreuses femmes, fait régner la terreur par le biais de soldats Allemands...). Or Lorenzo s'est en quelque sorte corrompu de manière définitive car il dit avoir prit goût au vice sans

Les Pucci qui lui commandèrent « L'adoration des mages » un de ces célèbres tableaux puis la même année la famille de Médicis avec la commande du tableau « L'adoration des rois mages » par un partisan de leur cour . Ce tableau est composé de personnages de la cour ou des proches des Médicis. Il y rencontrera également le Pic de la Mirandole et avec le portrait de Julien de Médicis il révèlera l'influence flamande. La commande d'une de ses plus célèbres fresques , celle de « Saint Augustin » par

La famille de medicis. Les Médicis sont une célèbre famille Italienne, qui joua un rôle prépondérant dans l'histoire de Florence et de la Toscane. Les Médicis étaient originaire du Mugello (haute vallée de Sieve, au Nord de Florence) Alexandre Dumas rappelle la biographie légendaire des Médicis que la famille s'est elle même forgée en faisant remonter son plus lointain ancêtre au temps de Charlemagne : Averard de Médicis aurait été à la fin du viiie siècle en Italie un chevalier au service

inconnu, avance que Léonard a fait le portrait de messire Giocondo, et non de son épouse. Le deuxième, le cardinal d’Arago qui rencontre Léonard en 1517, mentionne le portrait « d’une dame florentine, fait au naturel sur ordre de feu le magnifique Julien de Médicis. » La troisième, le peintre et théoricien aveugle Lomazzo, complique le mystère en indiquant un modèle napolitain « et évoquant deux tableaux printaniers où sont rendus à merveille la bouche entrain de sourire ». La première hypothèse de Vasari