L Amour Malheureux Qui Inspire Les Poétes

c'est ce que les premiers poètes tragiques avaient en vue sur toute chose. Leur théâtre était une école où la vertu n'était pas moins bien enseignée que dans les écoles des philosophes. Aussi Aristote a bien voulu donner des règles du poème dramatique, et Socrate, le plus sage des philosophes, ne dédaignait pas de mettre la main aux tragédies d'Euripide. Il serait à souhaiter que nos ouvrages fussent aussi solides et aussi pleins d'utiles instructions que ceux de ces poètes. Ce serait peut-être un

franchement ». « L’horloge » fait référence au temps qui est éphémère. L’auteur tient également à mettre en garde son amante concernant sa beauté, par ces vers, lui révèle qu’elle n’est qu’éphémère. Enfin, l’auteur affirme que même si les années passent, son amour pour elle sera toujours aussi fleurissant ainsi que sa beauté. 4 « Le Lac » D’Alphonse de Lamartine (1790-1869) Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportée sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan

le texte puis son analyse Bonne lecture ! À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. 1 Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre Et le regard qu'il me jeta Me fit baisser les yeux de honte 2 Je suivis ce mauvais garçon Qui sifflotait mains dans les poches

poème de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici le texte puis son analyse Bonne lecture ! À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. 1 Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre Et le regard qu'il me jeta Me fit baisser les yeux de honte 2 Je suivis ce mauvais garçon Qui sifflotait mains dans les poches

suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris ; J'unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes ; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en

mal-aimé’’ (1909) poème de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici le texte puis son analyse Bonne lecture ! À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. 1 Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre Et le regard qu'il me jeta Me fit baisser les yeux de honte 2 Je suivis ce mauvais garçon Qui sifflotait mains dans les poches Nous semblions entre les

Elisa, adoptée par ses parents. Il abandonne rapidement ses études de droit pour travailler et publie son premier sonnet, Mr Prudhomme, en 1863, et en 1866, il publie son premier recueil qu'il nomme "Poèmes Saturniens". Les évènements heureux ou malheureux de sa vie l’inspirent et le tourmentent. A la mort de la cousine Elisa 1867 il écrit les poèmes de "Fêtes Galantes", recueil paru en 1869 et sombre dans l'alcool. Et lorsqu’il tombe amoureux de Mathilde Mauté, il écrit un nouveau recueil, "La Bonne

les veines de la jeunesse inquiete Goethe lui-même déclara à ce propos : « L'effet de ce petit livre fut grand, monstrueux même, mais surtout parce qu'il est arrivé au bon moment  Dans les années 177à fleurit en Allemagne la revolte de jeunes poétes , qui , sous le nom de « Sturm und Drang (Tempete et passion) recherchent une litterature nouvelle , rompant avec le calme du 18eme siecle Le Romantisme Allemand est une mouvement nationaliste : il shouaite voir naitre proprement Allemande , liberee

lectures éclectiques où il déploya une curiosité d'autodidacte (doublée d'un goût précoce pour la bibliophilie, né de son amitié pour le relieur Jules Gonon). Il se familiarisa ainsi avec la littérature et la poésie, étant d'abord influencé par les poètes unanimistes (Jules Romains, René Arcos, Georges Duhamel, Charles Vildrac) qui étaient animés d'un même esprit de solidarité avec l'ensemble des êtres humains. Très vite, il commença à écrire, et publia, à compte d'auteur (grâce à l'aide financière

domaine familial. Au charme de la nature s’ajoutait la douce influence de ses soeurs et surtout de sa mère qui, très pieuse, lui donna une éducation catholique, et le confia à l’abbé Dumont. Après s’être échappé d’une pension lyonnaise où il était malheureux, il fit de bonnes études au collège des jésuites de Belley : il goûta Virgile et Horace, lut Chateaubriand et éprouva une grande ferveur religieuse. Au sortir du collège, marqué par la Révolution, ne voulant pas servir «l’usurpateur», il mena à