La Belle Noiseuse

incapacité à finir sa propre toile, La Belle Noiseuse, qui monopolise l’essentiel de son art depuis dix ans, mais sans atteindre à cette perfection absolue qui est son idéal artistique, travail qui doit montrer l'âme du modèle, tout en reflétant celle de l'artiste. Frenhofer est obsédé par le désir de représenter la beauté féminin dans sa pureté élémentaire. Mais où trouver le modèle parfait ? Poussin propose au vieux maître de faire poser la femme qu’il aime : la belle Gillette, et Frenhofer accepte

Il était très proche d'André Bazin. Jacques Rivette, né en 1928 à Rouen. Brillant critique et rédacteur en chef (de 1963 à 1965) des Cahiers du cinéma, il est le réalisateur de la Nouvelle Vague demeuré le plus marginal jusqu'au succès de la Belle Noiseuse (Grand Prix du festival de Cannes 1991). Oeuvre marquée par le goût des sociétés occultes, du complot, du secret, et goût pour

propre chef-d’œuvre La Belle noiseuse à laquelle il travaille depuis dix ans, le modèle en art idéal, une femme qui lui inspirerait la perfection vers laquelle il tend sans jamais l’atteindre. Ce futur chef-d’œuvre, que personne n’a encore jamais vu, serait le portrait de Catherine Lescault. Nicolas Poussin offre au vieux maître de faire poser la femme qu’il aime : la belle Gillette, ce que Frenhofer accepte. La beauté de Gillette l’inspire à tel point qu’il termine la Belle Noiseuse très rapidement. Mais

propre chef-d’œuvre La Belle Noiseuse à laquelle il travaille depuis dix ans, le modèle en art idéal, une femme qui lui inspirerait la perfection vers laquelle il tend sans jamais l’atteindre. Ce futur chef-d’œuvre, que personne n’a encore jamais vu, serait le portrait de Catherine Lescault. Nicolas Poussin offre au vieux maître de faire poser la femme qu’il aime : la belle Gillette, ce que Frenhofer accepte. La beauté de Gillette l’inspire à tel point qu’il termine la Belle Noiseuse très rapidement. Mais

propre chef-d’œuvre La Belle Noiseuse à laquelle il travaille depuis dix ans, le modèle en art idéal, une femme qui lui inspirerait la perfection vers laquelle il tend sans jamais l’atteindre. Ce futur chef-d’œuvre, que personne n’a encore jamais vu, serait le portrait de Catherine Lescault. Nicolas Poussin offre au vieux maître de faire poser la femme qu’il aime : la belle Gillette, ce que Frenhofer accepte. La beauté de Gillette l’inspire à tel point qu’il termine la Belle Noiseuse très rapidement. Mais

ce n’est pas du tout le cas. Le chef d’œuvre est inconnu non parce que il a été détruit ou soustrait à la reconnaissance du public mais plutôt parce qu’il est impossible de le reconnaître. 1/ Cette nouvelle est aussi illustrée d’un film « La Belle Noiseuse », ce serait intéressant de lire la nouvelle puis de regarder le film. Cela vous donnera une deuxième vision de l’histoire. Surtout ne faites pas le contraire, ne regardez pas le film avant de lire le livre, sinon vous aurez des images toutes

propre ouvrage, La Belle Noiseuse, toile à laquelle il travaille depuis dix ans, le modèle en art idéal, une femme qui lui inspirerait la perfection vers laquelle il tend sans jamais l’atteindre. Ce futur chef-d’œuvre, que personne n’a encore jamais vu, serait le portrait de Catherine Lescault. Poussin offre au vieux maître de faire poser la femme qu’il aime : la belle Gillette, ce que Frenhofer accepte. La beauté de Gillette l’inspire à tel point qu’il termine La Belle Noiseuse très rapidement. Mais

seul disciple Frenhofer. (personnage réel seulement cité dans l’histoire) * Peintures * Marie l’égyptienne : sujet du tableau (fictif) de Porbus, retouché par Frenhofer et recopié par Poussin. * Catherine Lescault surnommée « le Belle Noiseuse » : Création de Frenhofer, le fameux chef d’œuvre inconnu dont le peintre est épris. * Résumé : L’histoire se déroule à Paris en 1612, nous somme en Décembre. Nicolas Poussin décide de se rendre chez Maître François Porbus, peintre du roi

(préservée dans l’atelier de l’artiste dans le mythe premier), elle est dans nos récits nommée, marque d’une identité propre et indépendante de son « créateur », et sera même « dévoilée ». En effet, Porbus et Poussin seront invités à découvrir la Belle Noiseuse de Frenhofer (p 49-50), la jeune Gretchen de la Toison d’or se mettra à nue devant Tiburce (p 217 « la chaste fille fit tomber ses vêtements »), tout comme Nyssia successivement devant Candaule (p 253 «  à peine couverte d’un nuage de tissu plu

reprises : « Frenhofer, c’est moi » ; que Picasso a habité la maison de la rue des GrandsAugustins où, d’après Balzac, loge François Porbus, donc où Nicolas Poussin rencontre Frenhofer ; que le cinéaste Jacques Rivette a adapté cette nouvelle (La Belle noiseuse, 1991)… Le discours sur l’art que présente cette nouvelle se compose de deux parties : 1 la leçon de peinture de Frenhofer, 2 la découverte du « chef-d’œuvre » par Porbus et Poussin. II.1. La leçon de peinture (G.F. p. 46 à 58) vous