La Belle Noiseuse

(Penthesilee), A. Garcia-Valdès (Les trois sœurs, Comme il vous plaira), Laurent Pelly (Peines d’amour perdues), Patrick Pineau (Les barbares, Peer Guynt) Au cinéma : Avec A. Robbe Grillet (La belle captive), Raoul Ruiz (Régime sans pain, Richard III…), Krystof Rogulski (Les enfants du vent), Jacques Rivette (La belle noiseuse), Gérard Kraswyck (Fanfan la tulipe), Karl Zéro (Le tronc)  Thierry Bosc, comédien, Hamm Il a travaillé Au théâtre : Avec Jacques Nichet (Le rêve d’Alembert, le triomphe de l’amour)

DU SOIR.............77 XXIII. LA SOLITUDE..................................78 XXIV. LES PROJETS..................................78 Charles Baudelaire – Les Fleurs du Mal Charles Baudelaire – Petits poèmes en prose (Le Spleen de Paris) XXV. LA BELLE DOROTHÉE....................79 XXVI. LES YEUX DES PAUVRES.............80 XXVII. UNE MORT HÉROÏQUE................81 XXVIII. LA FAUSSE MONNAIE.................83 XXIX. LE JOUEUR GÉNÉREUX................83 XXX. LA CORDE..............................

Renommer avec les articles « Économie », « spé- culateurs », « crise » « énergie », « performance, « loi de la Jungle »... La nature occupe d’ailleurs une place essentielle dans Renommer : une partie entière lui est consacrée. Le végétal a la part belle chez Sophie chérer — quelques exemples : • La fleur de vanille est la principale protagoniste de VC • La botanique est également un sujet central • VC présente les plantes comme des êtres au moins aussi intelligents que les hommes : cf. le langage

l'histoire d'un jeune homme trichant sur son identité, est le plus connu. Cocteau découvrit le spectacle avec les Ballets russes, qui jouèrent son argument, Parade (1917), les Enfants terribles (1929), les Parents terribles (1938), le Sang d'un poète, la Belle et la Bête . Le reste de son théâtre oscille entre la modernisation de sujets antiques ou historiques (la Machine infernale, 1934 ; l'Aigle à deux têtes, 1946), Orphée (1950), le Testament d'Orphée (1960) et des monologues très contemporains (la Voix

sombres paysages ? » C’est à Balzac que revient d’avoir senti le premier la « vraie poésie » de Paris. Il s’attache à décrire les panoramas et les vues dont la plus connue se situe au début de La Fille aux yeux d’or. Les Illusions perdues offrent une belle description du Palais-Royal et La Peau de chagrin, une contemplation des toits de la capitale. Mais surtout, Balzac possède un regard curieux qui lui inspire ses fictions romanesques. Il préfère parfois une rue insignifiante, laide, à partir de laquelle

la ville de Las Vegas. 1995 – THE AMERICAN PRESIDENT (Le président et Miss Wade) De Rob Reiner avec Annette Bening, Michael Douglas, Martin Sheen, Michael J. Fox Le président des Etats-Unis, un jeune veuf séduisant, tombe sous le charme d’une belle avocate engagée par une organisation écologique pour défendre ses intérêts à la Maison Blanche. 1999 – AMERICAN BEAUTY De Sam Mendes avec Annette Bening, Kevin Spacey, Thora Birch, Mena Suvari, Wes Bentley Lester Burnham semble mener une vie de

CONTENTS xiii 253 254 256 258 260 262 264 264 265 266 267 268 269 270 270 270 271 273 274 275 276 276 277 278 280 280 281 282 283 284 284 285 287 288 288 290 293 294 296 1850–1914 The moralizing school of manners Boulevard theatre of the Belle Époque Naturalist theatre Symbolist theatre Melodrama Conclusion The novel 1800–30 The ‘personal’ novel Mainstream fiction Romantic fiction to 1830 1830–48 The roman libertin Colonial fiction Foreign imports Stendhal Balzac Mérimée Sand 1848–90 The Goncourts