La Grande Puanteur

conscience La première prise de conscience liée à la pollution à lieu à Londres en 1858 où a lieu ce que l’on appela « la Grande Puanteur » qui conduisit a la création d’égouts à grande échelle et à la mise en place d’une nouvelle politique appelée « révolution sanitaire », D'autres catastrophes contribueront également à la prise de conscience internationale comme le Grand Smog de Londres et bien d'autres comme celui de New-York ou de Pékin qui sont toujours d'actualité. Note : Un smog est une

à Londres). B – L’expansion des problèmes sanitaires Cette explosion de la population urbaine n’est pas sans conséquences sur les conditions sanitaires dans les grandes villes européennes. La promiscuité favorise la propagation rapide des maladies et les épidémies se succèdent à un rythme régulier. Presque toutes les grandes villes d’Europe vivent dans la peur du choléra, la peur bleue, mais les épidémies de variole, de typhoïde, de tuberculose, de syphilis et les grippes tuent bien davantage

faciliter le commerce. Marchandises directement chargées et déchargées dans les docks londoniens de West India, East India et Surrey. Plan public au développement au début du XIXe s: l’architecte John Nash pour repenser la ville de Londres. 1817-1823 : grandes avenues dans la West End -> Regent Street. Regent’s Park, St James Park. Parcs. Construction des Terraces. (7) Nouveaux quartiers West End pour les bourgeois (1830-1880) : Chelsea, Notting Hill Trafalgar Square commence à être construit en 1830

dans les villes une puanteurs à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l'urine, les cages d'escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces d'habitation mal aérés puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de cambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries

dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient líurine, les cages díescalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces díhabitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries

|SEQUENCE 2 : P. Süskind, Le Parfum, 1985 | |Texte 1 : Lecture analytique l’incipit de : "Au XVIIIème siècle vécut en France" à "qui ne fût accompagné de puanteur" (première partie,| |chapitre 1, p. 5,6) | |Introduction | Le roman au XXème siècle est un genre toujours plus

cbcvparticulier aux bureaux et aux paperasses, que la puanteur d’un renard n’y aurait pas été sensible. Le plancher était déjà couvert de fange1 et de neige apportée par les clercs.Près de la fenêtre se trouvait le secrétaire à cylindre du Principal, et auquel était adossée la petite table destinée au second clerc. Le second faisait en ce moment le Palais. Il pouvait être de huit à neuf heures du matin. L’étude avait pour tout ornement ces grandes affiches jaunes qui annoncent des saisies immobilières

Patrick utilise les temps du passé (passe simple , imparfait) . La narration est a la 3eme personne .Il a un point de vue omniscient .L’incipit du roman est narratif ,descriptif ; il évoque la saleté , la puanteur de Paris au 18eme siècle .Le cadre spatiaux temporel est décrit dans Aurélien : Les lieux décrit dans le roman de Louis Aragon : « la ville de Paris» , « Césarée » , « guerre», « tranchées ».L’absence d’ élément temporel précis « en vers qu’il

sont alors associées aux dangers, et notamment à la mort (et même au vice). Ces travaux aboutissent à accentuer la vigilance olfactive, et à multiplier les débats médicaux à ce sujet. L’angoisse liée au putride devient alors un fait historique de grande importance car il va « dessiner la figure d’une nature typique de la socialité ». On commence alors à dénoncer les odeurs qui sont de vraies menaces pour les hygiénistes telles que celles du cadavre, de la charogne ou de l’excrément, ce qui marque

Fouque. Au travers d’un vaste cycle romanesque de 20 volumes, il met en scène dans chacune de ces œuvres des membres de cette branche, touché par le « débordements des appétits », soit de leur désir. Le ventre de Paris est le roman des Halles, le grand marché d’approvisionnement de Paris, et celui qui actualise véritablement le combat entre les gras, incarnant la réussite de la bourgeoisie dans son égoïsme et ses satisfactions matérielles, et les maigres malheureux, aspirant à la justice, à la fraternité