La Moisson rouge

auteur d'une gigantesque œuvre: la comédie humaine (Le père Goriot, Eugénie Grandet...) -Henri Beyle, plus connu sous le nom de Stendhal. Il est devenu un des représentants du roman français au XIX grâce à certaines de ses œuvres principales: Le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme... -Flaubert, qui a laissé son empreinte dans la littérature française par ses profondes analyses psychologiques et la force de son style, que l'on retrouve dans: Madame Bovary, L'éducation sentimentale... Le

souligne aussi le fait que le plus souvent, les manifestations du second degré sont des événements qui « n’existeraient pas sans les médias » (ibid., p. 204). Lorsqu’un petit commando de personnes squatte un immeuble (DAL) ou asperge de la peinture rouge sur un médecin conseiller médical du CNTS (Act Up Paris), ces actions n’ont pour une grande part de raison d’être que parce qu’elles se déroulent en présence de journalistes avertis au préalable par les manifestants, et notamment devant des caméras

naturalisme, le symbolisme entre autres. Le romantisme qualifie un mouvement littéraire artistique de XIXe siècle ce mouvement exulte la liberté, l’imagination et considère le « Moi » comme une valeur absolue. Les écrivains : ➢ Stendhal ( le rouge et le noir). ➢ Victor Hugo. ➢ Musset. Sont des chefs de file du romantisme. Le réalisme qualifie un mouvement artistique qui s’inspire de la réalité : Chefs de file : Balzac, Maupassant. C’est un refus de l’idéalisme du monde réel et

8 mois de deuil. B) Que représente la mort pour les Romains ? Pour les Romains, la mort était tout d’abord vue comme une souillure pour la famille qui la subissait. La maison du mort devait être signalée par des rameaux de cyprès teintés de rouge. Le deuil, d’abord familial, était ensuite public. C’était là l’occasion de montrer par une cérémonie grandiose la gloire que la famille acquérait par le mort et par les ancêtres. En effet, malgré son caractère funèbre, le cortège montrait la richesse

narrateur suggère celle de la germination « poussée », « moisson », « semence », « germait », « ferait éclater la terre ». Ce n’est pas du blé dont il parle, mais des hommes prêts à réclamer leurs droits face à ceux qui les emplois. 4° Il utilise « mais », il fait allusion aux changements possibles. * Les antithèses (2 choses différentes) : la nuit (misère/mine), le soleil (= rouge et jaune/germination), incendies et meurtres (= rouge/sang) : avant de connaître la libération, il y aura la

sculptés de 200 grenades. Pourquoi des grenades et que représentent elles ? Dans ma jeunesse, un jour ma mère nous a ramené du marché, un fruit étrange, qui m’était inconnu, de la taille d’une petite orange, à la peau dure, jaune avec des reflets rouge, évoquant une aumônière avec sa petite couronne. C’était une grenade du nom latin « punica granatum », fruit d’un arbre de 2 à 5 m de haut qui s’accommode de terrains arides, pierreux. Les racines du grenadier sont profondes permettant d’aller chercher

en relief le symbolisme de la mort et de la résurrection. Cette ville de la Grèce Antique était vouée au culte de Déméter, Déesse de la Fertilité, représentant la terre nourricière. Son alter-égo dans la mythologie romaine CERES, est la Déesse des Moissons. Cette dialectique de la mort, des ténèbres et de la lumière domine toutes traditions initiatiques, ésotériques ou religieuses. Elle remonte à la plus haute antiquité. Nous trouvons trente siècles avant l’ère vulgaire la légende de Tammouz, Roi

Monsieur Caignet suivie par celle de l’abbé Mathieu aux chapitres IV et V. L’abbé Mathieu qui arrive en carrosse avec des cavaliers porte « une croix de diamants sur la poitrine », (p.28) il pose « ses mains garnies de bagues sur sa canne en bois rouge à pommeau d’argent » ce qui s’oppose à « Sainte Colombe (…) posa ses mains nues sur le dossier d’une chaise étroite et haute ». Pascal Quignard insiste bien sur l’opposition entre les deux personnages, les mains garnies de bagues s’opposent aux mains

son foyer : ces objets sont liés au travail féminin de maitresse de maison. DIAPO : bouquet de moisson 1973 en paille, Pas de Calais. Le bouquet de moisson renvoie à la clôture symbolique la moisson. Exécuté en vannerie à partir de paille tressé il peut prendre des formes complexes. Il est offert aux femmes qui préparent le repas de la fin de moisson ou à l’église lors de la messe de clôture de la moisson. Ce Cadeau renvoie au processus d’échange, les femmes préparent un repas et reçoivent ce bouquet

avec plaisir. La fille passait pour coquette, et ses parents n’étaient pas du pays. Mais Jan voulait son Arlésienne à toute force. Il disait : – Je mourrai si on ne me la donne pas. Il fallut en passer par là. On décida de les 61 marier après la moisson. Donc, un dimanche soir, dans la cour du mas, la famille achevait de dîner. C’était presque un repas de noces. La fiancée n’y assistait pas, mais on avait bu en son honneur tout le temps... Un homme se présente à la porte, et, d’une voix qui tremble