La Mort Est Elle Pensable

• « la mort » : le substantif iciutilisé semble renvoyer à une réalité précise, qu'il serait d'emblée possible de distinguer de ce qui n'est pas elle. Mais est-ce bien légitime ? Peut-on parler de la mort comme d'une réalité distincte, nettement identifiable et séparable ? Si oui, de quelle mort s'agit-il ? Les situations d'emploi du terme lui confèrent des significations très variées : si, en biologie et en médecine, on parle de « mort clinique », on parle aussi, en physique, de « mort thermique

les misères de l'homme, ce n'est pas la mort, mais la crainte de la mort ? Il y a plus de morts que de vivants, ce sont les morts qui dirigent les vivants. Pourquoi serait-il plus difficile de mourir, c'est-à-dire de passer de la vie à la mort, que de naître, c'est-à-dire de passer de la mort à la vie ?   [Jules Renard] Si la mort n'est pensable ni avant, ni pendant, ni après, quand pourrons-nous la penser ? Vivre, c'est naître sans cesse. La mort n'est qu'une ultime naissance, le linceul

concrètes qui viennent appuyer des affirmations. Une opinion basée sur des faits à d'autant plus de valeur que certaines autres qui ne s’appuient sur rien ou sur des expériences personnelles, car les faits sont prouvés et indiscutables. Il ne serait pas pensable d'accorder la même 'importance à l’opinion d’une personne qui prône le suprémacisme blanc. Les opinions sont facilement réfutables si l'on se base en fonction des valeurs d'une société quelconque, prenons par exemple une personne provenant d'une

imaginé. L'inimaginable se traduit aussi comme l'impensable, alors de quelle définition l'inimaginable se rapproche? Toutes ces questions montrent la difficulté de traiter la notion d'inimaginable car comment définir ce qui n'est ni imaginable ni pensable? Cette aporie montre l'aspect inutile car vain de la recherche d'une caractérisation de l'inimaginable. Nous ne pourrons dire ce qu'il y a dedans parce qu'à partir du moment où nous définirions un objet comme appartenant à l'inimaginable, sa définition

peut se comprendre par l'intelligence ou l'intellect, comme par exemple la loi de la gravitation universelle qui n'est pas visible mais pensable. Pour se faire, l'âme doit alors concentrer toutes ses forces mentales sur l'objet examiné, comme le fait le mathématicien quand il veut résoudre un problème. La philosophie voit l'âme comme immortelle, donc après la mort, l'âme de ceux qui auront philosophé droitement pourra se défaire de toute attache avec le corps et ils pourront ainsi fréquenter les

s’intéressent donc pas aux hommes et toutes attentions envers eux ; offrandes, prières ne sont que des superstitions. Ensuite, Epicure soutient que la mort n’est pas à craindre. En effet, toutes sensations de bien-être ou de mal-être sont dans les sensations, or la mort est privation de sensation. Il n’y a donc n’y douleur, n’y plaisir dans la mort et aucune raison de la craindre. De ce fait, les hommes peuvent jouir de la vie en se débarrassant du désir d’être immortel. Le troisième remède dicté

signifiant relier. Ce serait ainsi une tentative d’apaisement. Mais Freud conteste cette idée, car pour lui l’origine de la religion est la peur, la dépendance de l’enfant et son besoin de protection paternelle car l’homme à peur de destin et de la mort. Dans l’Avenir d’une illusion, Freud nous explique que la religion ne serait qu’un moyen de supporter la vie. Elle rassure car elle donne une explication claire du monde et de la vie, elle représente une attention paternelle, la promesse d’une finalité

vital a) la survie de tous : ligne 1 « ça n’est suffisant ni pour les uns ni pour les autres Il faut ajouter quelques tranches de viande » Il veut privilégie la survie avant tous b) la mort : Ligne 4 «  si nous voulons survivre » ils n’ont plus assez à manger sur leur camp, Donc ils sont tous peur de la mort. c) Manger un être vivant : ligne 17 «  Manger ça je veux dire », ligne 25 «  cette viande est séchée », cela montre bien que ses pour eux un choix vital. II franchir l’interdit (voir

Vivre. Est –il pensable, ou non, de décider de mettre fin à sa vie ? Doit-on défendre cette idée, en être neutre, ou au contraire, la refuser totalement ? Il faut toujours analyser tous les points de vue, sans quoi on perd la richesse de plusieurs avis. Alors voilà. Le pour. Et le contre. Seuls les personnes ayant déjà été malheureuses, véritablement malheureuses, trouveront un sens à mes mots ; les autres ressentiront peut être quelque chose en elles, mais très peu, comparé à l’écho du vécu

auquel elles participent. Cela n’est pas un engendrement physique, mais permet de faire exister le sensible en le rendant nommable et pensable. Il y a donc participation entre l’image sensible et son modèle intelligible. Il ne peut y avoir rupture entre les deux mondes, mais bien communication, participation, car l’intelligible est cause du sensible. En rendant pensables les formes, l’intelligible est cause de sens. Il y a une dépendance ontologique de l’image et de l’intelligible. C’est la théorie de