La Nature Et La Culture Selon Michel Leiris

286 1 Découvrir les mouvements littéraires Livre de l’élève, pp. 12-23 Instructions officielles – Programme des classes de Seconde et Première Les finalités propres l’enseignement du français sont : – la constitution et l’enrichissement d’une culture littéraire ouverte sur d’autres champs du savoir et sur la société ; – la construction progressive d’une conscience historique de la littérature […]. Dans la continuité du Socle, les compétences visées répondent directement à ces finalités. […] Il

âge » (v. 2), et « la blessure » (v. 12) ou la « folie » (v. 11). Mais le mouvement même du texte opère, en dépit de tout, un spectaculaire renversement du procès en promesse, n 3. Figures de la nature et de la mythologie (questions 3 et 4) Le sonnet croise ici subtilement les motifs de la nature angevine à ceux de la mythologie antique. Dès les trois Chapitre 3 • La poésie • 143 premiers vers, les fleurs évoquées, anémone et rose (v. 1), connotent successivement la figure mythologique de

Bergson, je ne connais pas ! (...) Pourtant, aujourd’hui encore je me vois accrocher ces étiquettes-là : Proust et Bergson ! » 3 Jacques Aumont, Michel Marie, l’Analyse des films, deuxième édition, Paris, Nathan, 1999, (Nathan, 1988, première édition), p121 4 Cinéma 80, Spécial Alain Resnais, no259-260, juillet et août, 1980, p68 5 Claude Bailblé, Michel Marie, Marie-Claire Ropars, Muriel, histoire d’une recherche, Paris, Galilée, 1974 6 Robert Benayoun, Alain Resnais, arpenteur de l’imaginaire

et que ce fait — en lui-même privé de sens — retombe cependant sur lui, comme sur ses frères noirs, chargé d’une très lourde et insupportable signification ? « Ainsi, ce docteur en médecine, ce psychiatre, trébucherait sur un simple préjugé ? Sa culture et son titre ne lui prouvent-ils pas assez qu’il est maintenant un homme comme nous, et qu’il n’y a plus pour lui de monde « blanc », puisque ce monde est devenu le sien ? N’est-il pas désormais, quant à l’essentiel, un Blanc parmi les Blancs ? »

La liste des écrivains qui apparaissent sur la couverture. De gauche à droite et de haut en bas : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. Michel de Montaigne Jean-Baptiste Poquelin dit Molière Madame de Sévigné Voltaire Denis Diderot Jean-Jacques Rousseau François-René de Chateaubriand Honoré de Balzac Victor Hugo Charles Baudelaire George Sand Arthur Rimbaud Marcel Proust Albert Camus Nathalie Sarraute Jean-Paul Sartre Marguerite Duras Patrick Modiano Pour les Nuls

............................................................... 12 III. L’autofiction .................................................................................................................... 13 IV. L’analyse sémiologique du personnage selon P. Hamon ............................... 21 II- La deuxième partie : L’analyse du roman .................................................................... 29 I) Analyse du système des personnages .................................................

La liste des écrivains qui apparaissent sur la couverture. De gauche à droite et de haut en bas : 1. Michel de Montaigne 2. Jean-Baptiste Poquelin dit Molière 3. Madame de Sévigné 4. Voltaire 5. Denis Diderot 6. Jean-Jacques Rousseau 7. François-René de Chateaubriand 8. Honoré de Balzac 9. Victor Hugo 10. Charles Baudelaire 11. George Sand 12. Arthur Rimbaud 13. Marcel Proust 14. Albert Camus 15. Nathalie Sarraute 16. Jean-Paul Sartre 17. Marguerite Duras 18. Patrick Modiano

L'auteur décrit la montée du capitalisme et l'absorption par la bourgeoisie d'une noblesse incapable de s’adapter 1850) aux réalités nouvelles. Intéressé par les êtres qui ont un • Les Chouans, 1829 destin, il crée des personnages plus grands que nature, • La Peau de chagrin, 1831 au point qu'on a pu dire que, dans ses romans, « chacun, même les portières, a du génie ». • Eugénie Grandet, 1833 • Le Père Goriot, 1835 Ses opinions politiques sont ambiguës : s’il affiche des convictions légitimistes

un oncle-tuteur et se refuse à cette vie étouffante. Passionnée, veule, c’est une jeune fille au caractère entier, impérieux, possessif et très critique, libérée du conformisme bourgeois et de toute dépendance à l’égard de quoi que ce soit, qui vit selon ses instincts, dans l’immédiateté de l’instant, qui piétine, sans même s’en apercevoir, toute règle de vie en commun ou même de savoir-vivre. Elle voue une amitié farouche et exclusive à Françoise qui l’admire, mais, en même temps, ne peut la supporter

un oncle-tuteur et se refuse à cette vie étouffante. Passionnée, veule, c’est une jeune fille au caractère entier, impérieux, possessif et très critique, libérée du conformisme bourgeois et de toute dépendance à l’égard de quoi que ce soit, qui vit selon ses instincts, dans l’immédiateté de l’instant, qui piétine, sans même s’en apercevoir, toute règle de vie en commun ou même de savoir-vivre. Elle voue une amitié farouche et exclusive à Françoise qui l’admire, mais, en même temps, ne peut la supporter