La Romanisation Des Provinces

(aujourd'hui au musée du Louvre, RF 129)Le nom de la France est issu d'un peuple germanique, les Francs, attesté dès le IIIe siècle sur la rive inférieure droite du Rhin. Leur roi Clovis, puis ses fils, conquirent, entre 481 et 535, presque toute l'ancienne province romaine de Gaule, et au-delà, c'est-à-dire une grande partie du territoire de la France actuelle. Si le nom de France ne fut employé de façon officielle qu'à partir de 1190 environ, quand la chancellerie du roi Philippe Auguste a commencé à employer

historique : la fin des guerres puniques entre Rome et Carthage qui eurent notamment pour motif le contrôle de la Sicile (de 264 av. J.-C. à 146 av. J.-C.), la prise et la destruction de Carthage (146 av. J.-C.) et enfin la réduction de la Grèce en province romaine après qu'Attale III de Pergame eut légué son royaume à Rome (133 av. J.-C.). Elle correspond également à l'introduction de la loi Aebutia (vers 134 av. J.-C.) qui généralise un nouveau système de procédure, la procédure dite « formulaire

H sont égaux. Mort de l'esclavagisme. Dt provinciale : Rome conquiert, commerce. De nvx usages, coutumes étrangères. Edit de caracalla donne la citoyenneté romaine à toutes la pop° comprises dans le limes de l'Empire. Don de la citoyenneté aux provinces les + éloignées. Section 2 : Universalisme juridique de Rome Le monopole de l'Empereur, tout vient vers un seul. Universalité du dt romain impérial, tout vient vers un centre. Universalité présente dès le concept d'impérium. Universalité : dés

ambitieux, intelligents et très cultivés. Le faste des ducs de Bourgogne s’accorde à merveille avec l’opulence des villes du Nord passées sous leur souveraineté. Leur règne ouvre à d’innombrables échanges commerciaux, spirituels, artistiques, des provinces de bonne race, en plein essor. Dans une période aussi vivante, les vocations ne peuvent manquer d’y naître, favorisées encore pour la musique étroitement liée à l’aristocratie par les goûts et les besoins de la plus brillante des cours. L’épanouissement

majoritaire. N'ont pas de réserves. – Il faut exploiter de nouvelles terres. C'est devenu alors l'un des motifs de la conquête : recherche de terres. – Insuffisant, car les plus-values. Il y a d'autres moyens de s'enrichir. Seuls les produits (de province) commercialisés sont : – Le sel (via salaria) – L'huile d'olive. – Le vin : rapporte beaucoup d'argent. Le vin est commercialisé à grandes échelles, mais spéculations : réserves financières que les romains n'ont jamais, sachant que les oliviers sont

du droit romain. Au Moyen-Age elles prennent le nom de corpus iuris civilis. C : le renouveau de la coutume dans le bas empire. L’immensité de l’empire ne permet pas au droit de l’empereur de s’appliquer partout et par intermédiaire des provinces, la coutume va de nouveau faire son apparition dans l’ordre juridique romain et cela dès la fin du haut empire. En effet les peuples vaincus à Rome conservent leur coutume locale, et même après la reconnaissance de la citoyenneté romaine à tous les

magistrat supérieur. - L’annalité : les fonctions des magistrats durent 1 an, sauf les censeurs élus pour 5 ans mais leur fonction ne dure que 18 mois. Un problème s’est posé avec le développement des conquêtes. Difficile d’assurer l’administration des provinces donc mise en place de la prorogation des fonctions (promagistrats). - la reddition des comptes : l’obligation pour les magistrats de rendre des comptes à la fin de leur fonction devant le Sénat. 4) Les divers magistrats ⁃Les magistrats supérieurs :

demeure pas moins insuffisante. Beaucoup d'élément ne permettent pas l'application d'une loi générale sur l'ensemble du territoire de l'empire (taille de l'empire, disparation de relai créateur du droit préteur, la législation est mal adapté aux provinces de l'empire, persistance des coutumes). Des usages créateurs de droit vont s'instaurer qui parfois assouplissent et parfois éliment et qui surtout échappent au contrôle de l'autorité impériales. Concrètement la coutume prend deux formes, d'une part

identitaire, un label incontestable 15. Le voici repris dans une présentation (par le site Internet de Berbère-Télévision) d’un ouvrage récent de Camille Lacoste-Dujardin (2005): Alors que le gaulois, par exemple, a disparu après quelques siècles de romanisation, la langue et la culture berbères, après treize siècles d’arabisation16, se maintiennent vivantes depuis la préhistoire, au Sahara et, surtout, dans les montagnes d’Afrique du Nord proches de l’Atlantique et de la Méditerranée… 14 Driss Chraïbi

par l'edit de Thessalonique qui fait de la religion chrétienne la religion d'état.  À partir de 380, ce sont les anciennes religions qui sont combattus et  persécutées. Cette reconnaissance de l'église chrétienne entraine d'une part  une christianisation de l'état et une romanisation de l'église. 1/ La christianisation de l'état Alors qu'à l'origine de Rome le droit et la religion sont séparés, les  empereurs chrétiens s'efforcent de faire passer de la religion dans le droit. La  législation romaine se modifie sous l'influence de l'église