La Tête dans le sac

matin à 7H30, nous commençons par madame D. Avant d’entrée dans la chambre, l’aide soignante prend sur le charriot, qui est déposée dans le couloir, une bassine où elle dispose la protection, une paires de gants jetables et serviettes et un petit sac poubelle. En rentrant dans la chambre de madame D, l’aide- soignante me demande de fermer la porte pour préserver l’intimité de la patiente. Après avoir fermé la porte je réalise une friction des mains avec du gel hydro-alcoolique ce qui n’est pas

elle pleurait, de ces lamentations perçantes, de ces cris aigus, qu’elle aima tant faire à tout moment de la journée. Mais en cet instant, où je ne voulais que du silence, de la paix, ces hurlements m’agaçaient plus que tout, ils rentraient dans ma tête, et résonnaient dix fois à l'intérieur, j’allais devenir folle... Celle-là, depuis qu’elle était arrivée à la maison, depuis qu’elle était devenue “le nouveau membre de la famille”, je la détestais, elle ne faisait que pleurer, pleurer, et encore pleurer

homme plus jeune assis deux sièges plus loin s'occupait en écoutant de la musique avec son portable. Enfin, une jeune femme, assise de l'autre côté de la pièce, qui portait des lunettes noirs de marque D&G, les cheveux bruns, une robe blanche, un sac blanc essayait tant bien que mal de retenir son jeune garçon qui avait approximativement trois ans, qui portait des lunettes rondes, rouges avec un tee-shirt bleu orné d'un spider-man et un bermudas vert, qui voulait absolument observer les poissons

de moi, j'attrapais une canette de Coca Cola et la sirota les yeux rivés sur le ciel. Je sortis de mes songes lorsque je me rendis compte que ma main qui tenait ma canette était trempée de mes pleurs. -Vous allez bien mademoiselle ? Je tournais la tête vers mon voisin de siège. Je ne pris pas la peine d'essuyer mes larmes. -Est-ce que j'ai l'air d'aller bien ? Rétorquai-je violemment. Je n'attendais pas de réponse et me retournais vers le hublot. -Excusez-moi, je voulais pas être désagréable.

3 Le sac lady Dior Lady Dior est un sac à main reprenant les codes graphiques de Dior, il est le plus souvent décoré d’un cannage. Ce sac est composé de 130 pièce au total, rectangulaire, rigide avec les quatre lettre D-I-O-R accrochées à l’anse ainsi que le logo de la maison Dior. Il est disponible dans différente matières

Figaro, avec une toise1, mesure le plancher. Suzanne attache à sa tête, devant une glace, le petit bouquet de fleurs d'oranger appelé chapeau de la mariée. SCENE 1 Figaro, Suzanne. FIGARO. - Dix-neuf pieds2 sur vingt-six. SUZANNE. -Tiens, Figaro, voilà mon petit chapeau : le trouves-tu mieux ainsi ? FIGARO lui prend les mains. - Sans comparaison, ma charmante. Oh ! Que ce joli bouquet virginal, élevé sur la tête d'une belle fille, est doux, le matin des noces, à l'œil amoureux

pistoles à donner au frère de la jeune femme pour qu'il annule le mariage ( scène 5). Comme Argante refuse, arrive le prétendu frère -- en fait Silvestre, complice de Scapin, déguisé -- qui ne parle que de rompre le cou à Argante. Caché au fond du sac de Scapin, Argante, terrorisé, finit par verser les deux cents pistoles ( scène 6). A Géronte, Scpain raconte que son fils a été enlevé, sur mer, par des Turcs qui exigent cinq cents écus de rançon. Après avoir proposé de vendre quelques fripes et s'être

pays-ci, et vous allez vous enfoncer dans d’étranges épines. ARGANTE. – Tu as raison, je le vois bien; mais quelle autre voie? SCAPIN. – Je pense que j’en ai trouvé une. La compassion que m’a donnée tantôt votre chagrin m’a obligé à chercher dans ma tête quelque moyen pour vous tirer d’inquiétude; car je ne saurais voir d’honnêtes pères chagrinés par leurs enfants que cela ne m’émeuve; et, de tout temps, je me suis senti pour votre personne une inclination particulière. ARGANTE. – Je te suis obligé

clignotait… Mais c’était surement moi qui perdais la tête. Je la fourrai au fond de mon sac. Je ne voulais plus la voir… Une fois chez moi, je déposais mon sac dans le salon. Plus tard, son image me hantait toujours mais je ne parvenais pas à la sortir de mon sac pour la regarder...

mal aux pieds. Sylvie POILLEVÉ (1960 – … ) La rentrée de Poème C’est un petit mot Tout propre et tout beau Qui ne veut ni école Ni sac sur le dos. Il préfère les flaques d’eau Et les feuilles qui volent, Il préfère les étoiles Et les bateaux à voiles… Pourtant les enfants l’aiment Le petit Poème, Alors, tout propre et tout beau, Son sac sur le dos, Il court sur les cahiers Des petits écoliers Christine FAYOLLE Les habits neufs Pour le jour de la rentrée Maman m’a acheté