La Théorie De La Gouvernance Partenariale

2 GROUPE PIGIER ABIDJAN  La réduction d’incertitude (théorie comportementale de la firme) : toute organisation cherche en priorité à éviter l’incertitude et le risque, et ne saisit donc pas toujours les opportunités qui s’offrent à elle. Dans ce schéma, c’est la logique managériale qui l’emporte sur la logique entrepreneuriale.  La théorie de la poubelle : les théories les plus extrêmes sur la décision (comme la théorie de la poubelle de March, Cohen et Olson) vont parfois jusqu’à rejeter

intégrer dans des dispositifs globaux et continus, ouverts sur le territoire, privilégiant l’action, et faisant du développement des compétences individuelles et collectives l’élément moteur de l’anticipation. L’objectif est d’expliquer, au plan de la gouvernance et au plan managérial, les conditions du développement d’une attitude de veille et de prévention, d’un partage de l’information parmi les acteurs, et de la mise en œuvre d’actions propices à l’émergence d’intentions stratégiques et de démarches

penchés sur la question Deux voies d’analyse sont privilégiées par les économistes pour juger de pratiques qui relèvent, du choix d’un mode de « gouvernance » d’une « transaction » (i.e. coordination de deux activités entre deux unités techniquement séparables): La première est celle de l’économie néo-institutionnelle dans sa branche de la théorie des coûts de transaction (Coase [1937], Williamson [1975, 1985]) qui stipule qu’une entreprise décidera de « faire » elle-même (internalisation)

Rassemblement de firmes de toutes tailles, concurrentes ou non.  Principe : recherche d’un profit mutuel via la mise en commun de ressources.  Cluster dans un segment à fort dotation technologique. 1.1. Qu’est ce qu’un cluster ?  Porter & la théorie économique : cercle vertueux de clusters.  Collaboration bénéfique pour le développement économique des firmes et de la région concernée.  Plus le degré de sophistication de sa production est important, plus sa productivité est importante

AUDITING Mémoire de fin d’études du Cycle Normal de l’ISCAE Option : Finance & Comptabilité Sous le thème Le commissaire aux comptes et la gouvernance d’entreprise Réalisé par : LABO NOMA Adamou Sous la direction de : M. EL MAGUIRI Issam Expert Comptable DPLE Année Universitaire 2009-2010 Le commissaire aux comptes et la gouvernance d’entreprise Mémoire de fin d’études du Cycle Normal LABO NOMA Adamou 2010 “ L'autorité d'un seul homme compétent, qui donne de bonnes

divulgation volontaire d’informations 26 CHAPITRE 2.: Gouvernance d’entreprise et divulgation volontaire 33 Section 1. La gouvernance d’entreprise 35 Section 2.Influence de la gouvernance d’entreprise sur la divulgation volontaire d’informations 48 CHAPITRE 3.Divulgation volontaire des entreprises tunisiennes cotées 61 Section 1. Echantillon et Méthodologie de recherche 63 Section 2. Analyse de l’influence des mécanismes de gouvernance sur la divulgation volontaire des entreprises 71

créant des pôles de compétitivité : ils sont aujourd’hui au nombre de 71. Ces « clusters » sont la combinaison sur un territoire donné d’entreprises, de centres de formation et d’unités de recherches publiques ou privées, engagés dans une démarche partenariale destinée à dégager des synergies autour de projets communs. Après une première phase de politique de pôles de 2005 à 2008, une deuxième a vu le jour en 2009 pour continuer à les améliorer. S’ils paraissent apporter de nombreux avantages, on peut

UNIVERSITE MONTESQUIEU - BORDEAUX IV ECOLE DOCTORALE ENTREPRISE, ECONOMIE, SOCIETE, (E.D. 42) UNIVERSITE DE TUNIS INSTITUT SUPERIEUR DE GESTION DE TUNIS DOCTORAT ès SCIENCES ECONOMIQUES Rim BOUSSAADA L’IMPACT DE LA GOUVERNANCE BANCAIRE ET DE LA RELATION BANCAIRE SUR LE RISQUE DE CRÉDIT : CAS DES BANQUES TUNISIENNES Thèse en cotutelle dirigée par M. Daniel LABARONNE, Maître de conférences, HDR et M. Abdelwahed OMRI, Professeur Soutenue le 14 septembre 2012 Jury: Mme Fatma Wyem BEN

groupe Attention vas et viens du W contrôle extérieur responsabilité Maslow et Mc Grégor : théorie des besoins : Pyramide des besoins de Maslow : 5 : besoin d'accomplissement de soi, 4 : besoin d'estime et de reconnaissance, 3 : besoin d'appartenance et d'affection, 2 : besoin de sécurité et de protection, 1 : besoin psychologiques primaires. Théorie X : l'homme éprouve une aversion naturelle pour le W, la direction doit contraindre contrôler menace, l'homme préfère

création de la valeur ............................................... 38 Figure 4 : Chaine de valeurs ................................................................... 42 Tableau 2 : Principales distinctions entre firme « actionnariale » et firme « partenariale » ..................................................................... 44 Tableau 3 : Tableau récapitulatif des attentes des « stackes holders » .................................................................................................