La Vérité Est Elle Tyrannique

Olympe de Gouges rédige une déclaration empreinte de passion, elle conteste avec vigueur dans son avant-propos la réaction première masculine et utilise tout au long de ce Texte un lexique Juridique et Politique : « souverain empire, opprimer, empire tyrannique » .On y retrouve donc bien les formes de l’emprise des femmes dans la société. L’auteur dénonce ainsi ce siècle à part entière, « un siècle des Lumières » rempli de philosophe avec si peu d’avancé pour les femmes.

vision pessimiste de l’homme. (phrase d’introduction de la partie avec rappel du thème lors de la rédaction) a) Florence, ville hypocrite. Lorenzaccio veut défaire le pouvoir en place, le duc Alexandre de Médicis, qu’il juge corrompu, vicieux et tyrannique : « l’effet que produisait sur eux la tyrannie »(l.372). Ce mal s’étend et pèse sur toute la ville. Cependant, il n’a pas une plus haute vision des opposants, des républicains :  « J’ai vu les républicains dans leurs cabinets »(l.370), « j’ai bu

place de Suzanne. Ainsi, le Comte sera pris sur le fait, entre autre par sa femme la comtesse et Suzanne. Personnage séducteur, égoïste, jaloux et tyrannique, le Comte Almaviva permet à Beaumarchais de montrer l'immoralité de l’aristocratie.→ Dans cette œuvre, le stratagème est utilisé à but éthique, moral voir empathique, car il cherche à révéler la vérité et à protéger sa fiancée. Cyrano de Bergerac (1897) Edmond Rostand Cyrano est amoureux de sa cousine Roxane mais son nez le

dans la libre pensée et le raisonnement individuel de ce siècle. Il devient dès lors possible de se confronter au pouvoir religieux et à celui tyrannique du roi. Cette grande période de l’Histoire amène le triomphe de la raison et la liberté de pensée, l’apparition de l’esprit critique et les études civilisent et améliorent l’homme qui, en cherchant la vérité, trouve enfin la liberté et sort de son ignorance. Au regard de l’Ingénu de Voltaire, je pense qu’au départ, sa naïveté et ses lacunes le

n'étais pas né?'' - connecteurs logiques: '' donc''- peur qui monte → les vers sont coupés + répliques de plus en plus brèves jusqu'à ce qu'il soit réduit au silence 3) Le Loup: rhétorique de l'injustice- langage châtié pour masquer une force tyrannique- juge + parti: ''Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage?'' → il le condamne depuis le début, ça ne sert à rien de continuer à argumenter- niveau de langue soutenu- '' il faut que je me venge'' → droit légitime- construction en chiasme: ''Et

meurt d’une maladie. Les trois auteurs ont voulu intégrer une certaine morale dans leurs œuvres ; Hugo a voulu montrer une double dimension politique, ruy blas sauve l’état en sauvant la reine mais aussi sa liberté en s’affranchissant de son maitre tyrannique (don salluste) par une mort violente. Ainsi, l’amour passe avant tout. Camus lui, a voulu démontrer que l’homme est insatisfait, a soif de pouvoir, Il dénonce aussi l’absurdité de la condition humaine, l’être humain ayant une vie, qu’il n’a point

despotique en tant que les sujets y sont esclaves, c’est-à-dire dépourvus de tout moyen juridique de résistance ; il est par conséquent aussi arbitraire puisque le souverain n’y reconnaît aucune loi. Mais cela ne suffit pas à en faire un pouvoir tyrannique car l’arbitre, absolument souverain, peut user au mieux de ses formidables prérogatives pour récompenser et punir sans délais ceux qui le méritent, sans qu’aucun imperium in imperio ne puisse prétendre l’en empêcher à des fins égoïstes de corps

- La ferme des animaux , Orwell - Puis comme ouverture : La métamorphose , Kafka Intro : L'apologue est un récit d'un fait vrai ou fabuleux dans lequel on a pour but de présenter d'une manière indirecte une vérité morale et instructive. C'est un procédé très répandu depuis l'Antiquité puis qui s'épanouit particulierement aux XVIIiem et XVIIIiem siècle. L'apologue regroupe des récits tels que les contes philosophiques, les fables, les utopies ainsi que les

pouvoir, dont les désirs tyranniques ne sauraient être contredits, et les faibles ou les soumis, qui n'osent ou ne peuvent faire entendre leur voix. 2. Trois textes du corpus sont des apologues, c'est-à-dire des récits porteurs d'un enseignement ou d'une morale. Seul l'article « Autorité politique », rédigé par Diderot dans l'Encyclopédie, développe une argumentation directe : le locuteur, assimilable à Diderot lui-même, déploie, sous la forme d'un discours au présent de vérité générale, ses idées sur

de son discours (ch. lexical de la force/contrainte : « art tyrannique », « forcer les cœurs », « parla fortement », « tonna », « figures violentes », « exciter les hommes ») exprime l’importance de son sujet : le « commun salut », i.e. l’avenir d’Athènes. On peut deviner, aux expressions employées par La Fontaine, que le discours du personnage use principalement de la persuasion. V. 3-4 : opposition à la rime, entre « tyrannique » et « république », qui met en relief le choix inapproprié de