Laid

influencé a-Jeanne Duval b- Mme Sabatier c-Marie Daubrun Les représentations de la femme chez Baudelaire a- Des réalités abstraites b- La femme fantasmée c- Ambivalence de l'amour d- Du beau dans du laid et du laid dans du beau conclusion Introduction: Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. Fils de Francois Beaudelaire qui mourra alors qu’il n’avait

représentation de tout. L'art est la célébration de la nature a-t-on dit. Mais se borner à ne peindre que le beau ou que le laid ne reviendrait-il pas à la nier en partie ? L'art doit rendre hommage à tout ce qui la remplit. Le romantisme, en s'affranchissant des règles académiques et des moeurs de son époque, reconditionne l'esthétisme. Le beau est loué autant que le laid jusqu'à la création de nouvelles valeurs morales : la pureté de la nature contre les artifices de la société. Certes il ne s'agit

mouvement horizontal, qui correspond à notre regard suivant l’évolution de l’oiseau posé sur les planches. Parallèlement, deux temps s’opposent : passé qui rime avec beauté, et présent, synonyme de laideur. « Lui naguère si beau, qu’il est comique et laid » vers 10. Pourquoi Baudelaire mêle-t-il la notion de comique et celle de laideur ? Cela n’est pas sans rappeler le thème du clown triste. Si le clown fait rire, lui ne rit pas, et son masque ou son maquillage de clown pourrait bien servir à cacher

l'infirme (vers 12). Ces oppositions sont soulignées par des antithèses : - " roi " (vers 6) ? " maladroit " et " honteux " (vers 6) ; - le " voyageur ailé " (vers 9) ? "gauche " et " veule " (vers 9) ; - " naguère si beau " (vers 10) ? " comique " et " laid " (vers 10) de plus, ici, la rime intérieure croisée associe encore à l'idée de l'albatros celle d'un animal ayant perdu son rang et son titre de " roi " ; - " infirme " ? " volait " (vers 12). B- Le jeu sur les sonorités ---- Les sonorités Le

qu'il s'agit de Jeanne Duval, baptisée par Baudelaire comme la Vénus noire_ et la beauté qui exerce sa fascination et répulsion su le poète. Comment Baudelaire renouvelle le topos du mementomori en réussissant grâce à son art à extraire la fleur du laid? Conclusion : S'inscrit tout d'abord dans la tradition des poèmes amoureux à la manière de Ronsard. Il procède donc a une sorte de réécriture. En effet, il ne célèbre ni la beauté de la femme, ni celle de la nature mais extrait la beauté de

quelqu’un d’extrêmement laid : nez = problème Cyrano dit qu’il ne peut même pas être aimé d’une laide, (v.494-5) « Qui j’aime ?... Réfléchis, voyons. Il m’interdit Le rêve d’être aimé même par un laide,  » Mise en valeur du « même » car il est après la césure. Le rêve s’oppose à la réalité. Il s’interdit de rêver = Lucide + réaliste, reconnait ses défauts Ici, Cyrano va se montrer, se dévoiler, Il ne se met pas en valeur = Fait ressentir de la pitié. Il se sent seul et laid « Mon ami, j’ai

enfoncés, un nez épaté. “. Ainsi, on peut dire, comme tout le monde le sait, que l’esthétique d’un objet est relatif à la personne qui le regarde. Donc, une poésie peut être esthétique pour l’un, laid pour l’autre. Peut-on dire que la beauté vient de la laideur ? Est-il possible d’une poésie traitant un sujet laid peut-il procurer une beauté spécifique? Je pense, moi, qu’il est possible de produire un effet comme celui-ci, comme dans les fleurs du mal qui part de ce principe; surtout, dans le poème la

oreilles, dans le cou et sur les joues, qui le défigurèrent et le rendirent encore plus laid que jamais“. Mais à d’autres moments cette laideur est relativisée, et semble se dissoudre dans une absence totale de carac- téristiques . Ainsi p. 28 : “Pourtant, objectivement, il n’avait rien qui pût faire peur. Le temps passant, il ne devint pas particulièrement grand, ni fort ; il était laid, certes, mais pas laid à faire peur.“ Recueilli et rhabillé par le marquis de Taillade-Espinasse, Grenouille se

des propositions simples, construites sur un simple attribut du sujet " Que c'est laid, un front plat (…) mes mains sont moites (…) je suis un monstre"). Il parle en phrases averbales : "Ah ce corps trop blanc et poilu!" comme si son éducation scolaire et rhétorique n'avait servi à rien. Béranger parle comme un enfant, simplement et dans un niveau de langue familier, comme en témoigne le gallicisme "Que c'est laid, un front plat!". Du héros classique, Béranger n'a plus rien: socialement il n'est

Introduction Problématique : Comment Charles Baudelaire pressent-il qu’au fond de la laideur peut germer l’ébauche de la beauté d’un monde gracié ? En quoi cette présentation paradoxale crée-t-elle de l’ironie ? Explication du texte I – La fusion du laid et du beau et l’ironie qui s’en dégage 1.1 Le choc des oppositions - Antithèses et rimes antisémantiques : « beau matin d’été si doux » -> « charogne infâme » + « mon âme » qui désignent la femme et rime avec « infâme » - Oxymores à effet ironique