Laid

contempler les tableaux.) Je ne suis pas beau. (II décroche les tableaux, les jette par terre avec fureur ; il va vers la glace.) Ce sont eux qui sont beaux. J'ai eu tort ! Oh ! comme je voudrais être comme eux. Je n'ai pas de corne, hélas ! Que c'est laid, un front plat. Il m'en faudrait une ou deux, pour rehausser mes traits tombants. Ça viendra peut-être, et je n'aurai plus honte, je pourrai aller tous les retrouver. Mais ça ne pousse pas ! (Il regarde les paumes de ses mains.) Mes mains sont moites

Depuis l'antiquité les philosophes s'accordent pour penser que tout ce qui existe possède une identité, une apparence, une réalité, et que celle-ci est soumise nécessairement au concept du beau. Tout être peut être qualifié de beau ou de laid avec toutes les nuances intermédiaires possibles. Le philosophe Karl Jaspers, qui après la seconde guerre mondiale tenta, en tant que psychiatre, de trouver un sens à cette atrocité que fut la guerre, fut également amené à réfléchir sur le concept du beau

veux dire qu'elle croira être intelligente parce qu' elle trouvera riquet a la houppe qui est laid , le plus belle homme du monde mais pour cella il faux qu'elle l'aime mais dans tous sa le celle pouvoir que la fée lui donne ces le pouvoir de l'amour parce que si la princesse l'aime comme il est , elle aime donc plutôt sa beauté intérieur que extérieur donc elle serra intelligente de croire que un homme laid peux avoir une autre beauté que celle qui rejette de l'extérieur , ce qui est plaisant aussi

couleurs, discutons-en ! Séquence 3 : LA RENVERSANTE BEAUTE DE LA LAIDEUR ! Séance 1 : DES MOTS POUR LE DIRE… 1. Pour vous, qu’est-ce que la beauté ? Qu’est-ce que la laideur ? 2. Regardez ce tableau : En vous appuyant sur vos critères du beau et du laid, qu’en pensezvous ? Amedeo Modigliani, Nu assis, 1916. Huile sur toile, 92,4 x 59,8 cm. Londres, Courtauld Institute Galleries, Samuel Courtauld Collection. Amedeo Modigliani est né le 12 juillet 1884 à Livourne, en Italie dans une famille bourgeoise

redondance) → antagonisme (=opposition) beauté/laideur ou amour/haine ← alliance des contraires (hugolien) + mètre utilisé → vers pairs (10) et vers impairs (5, rares) + mélange vers courts/longs, pairs/impairs → écho dans la forme - Alliance de beau/laid - l'anaphore → justification → paradoxe 2. Description de l'araignée et de l'ortie : - champ lexical laideur (cf périphrase), renforcé par champ lexical noirceur/obscurité et pléonasme. - champ lexical mélancolie → êtres ignorés, mal-aimés, rejetés

dramaturgique, un élément rythmique ; 6 apparitions dans les didascalies, créant un va-et-vient de Bérenger, perpétuelle tentation pour interroger cette glace, moderne fontaine d’un pitoyable Narcisse qui, a contrario, cherche à se persuader qu’il n’est pas si laid. Les photos et les tableaux eux-mêmes sont à considérer comme des glaces possibles, puisque Bérenger finit par se reconnaître dans les êtres qu’ils sont censés représenter : Oui, je me reconnais ; c’est moi, c’est moi ! l.42. Et ce, jusqu’au dépassement

de charpente de ce visage qui est presque inhumain puisqu'il « échappe aux lois de l'anatomie ». Un autre exemple d'inhumanité que l'on retrouve avec la figurine du magot chinois. L'antithèse renforce le sentiment d'inhumanité car Pons est tellement laid que même sa laideur est inexplicable. Enfin, cette laideur en devient presque comique avec ce nez si majestueux au milieu de ce visage « flasque ». Ce passage relève donc du registre comique mais peut-être aussi burlesque car ce personnage est décrit

; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants, comme sa pauvre et infirme nature ». Il s'agit donc de transformer la réalité en un bel objet qui n'a aucune utilité sociale ou humanitaire. • « L'art est utile [...] parce qu'il est art » ; « Le principe de la poésie est, strictement et simplement, l'aspiration humaine vers une beauté supérieure » Baudelaire. C- Du beau avec du laid • Poème : permet de se libérer

ligne 4 réaffirment cela. Mais Balzac décrit également le personnage comme quelqu’un de laid, pour cela il fait référence à des personnages réels tels que Rabelais ou encore Socrate qui était un personnage très intelligent mais aussi le plus laid de son époque : « comme celui de Rabelais ou de Socrate » ligne11, ceci rend le portrait réel et montre déjà une contradiction, le personnage est à la fois riche et laid : serait-il aussi intelligent que Socrate l’était ? Le portrait est également rendu plus

Néanmoins, bien qu’extrêmement courant, cette source d’inspiration n’est pas la seule, loin s’en faut. I/ b) La laideur comme source d’inspiration : Il faut savoir définir la laideur comme il se doit. Est laid ce qui, d’un point de vue esthétique s’oppose au beau ; mais le laid est ce qui est désagrable et ce qui inspire le mépris ou la désapprobation (selon l’Histoire de la laideur ). Ce thème n’a pas empêché Baudelaire d’en être inspiré : la laideur de la charogne est d’autant plus repoussante