Le Behaviorisme

elles ( ex : entrepreneur doit faire des chiffres, un chiffre d’affaire mais doit aussi assurer la sécurité de l’emploi pour les employés) B- La théorie béhavioriste * Béhaviorisme radical : le comportement s’explique entièrement par l’environnement (récompenses, punition, S-R) WATSON 1913 * Néo-béhaviorisme : la pensée, la motivation et les sentiments sont pris en considération ( S-O-R) SKINNER 1979 * L’apprentissage social * L’échange social C- La théorie cognitive

d'éviter conflit. Jeu international séparé du jeu interne dans les Etats. Qui va contester cette idée ? Deux courants vont réagir au réalisme : marxisme et behaviorisme. .face au marxisme (Wallerstein) Derrière compet puissance, toutes les contradictions du capitalisme. Competition en terme de rapport a la valeur. .face au behaviorisme But des sc sociales est d'appréhender comportement des êtres, dc contredisent vision froide et rationnelle des réalistes qui ne pensent que les Etats et leur

peut pas expliquer la différence entre les sucres lents et rapides, elle désigne très peu d’aliments contenant des sucres lents, ne peut pas désigner de proportion idéale. e. Démarche d’éducation La démarche d’éducation s’appuie sur le concept de béhaviorisme qui implique des encouragements de la part du formateur, il s’intéresse uniquement au comportement de l’apprenant pour permettre d’acquérir des automatismes en utilisant des renforts positifs ou négatifs. Aussi, elle sera basée sur l’apprentissage

XIXème siècle, la Gestaltthéorie repose sur le concept de la forme : la forme percevante permet d'unifier les contenus perçus. Elle est l'expérience première de la conscience, dans le sens où le tout est supérieur à la somme des parties. Si le béhaviorisme a montré que l'environnement extérieur pouvait émettre des stimuli à l'égard de l'individu, la Gestaltthéorie a cherché à décrire la façon sont l'information était traitée par la conscience. Avec ce courant de pensée, l'objectivité a perdu un peu

conscience ne nous livre qu’une connaissance partielle et donc erronée de nous-mêmes, on peut se demander si elle n’est pas plus un obstacle qu’un instrument privilégié dans la connaissance que nous avons de nous-mêmes. C’est là ce que le behaviorisme va affirmer. Le béhaviorisme est un courant psychologique qui : 1. Nie l’existence et la validité de l’introspection 2. Affirme que l’on peut rendre compte du comportement humain comme autant de réponses à des stimuli ou excitants, et cela en toute indépendance

comportementaliste. Rappelons que ce mouvement de psychologie expérimentale, inventé par John Watson en 1910 aux Etats-Unis dont l’hypothèse était « tout être humain peut-être manipuler, dresser comme un animal ». Les publicitaires Américains ont exploité le béhaviorisme dès les années 20 pour donner à leur campagne publicitaire une efficacité scientifique. D’après eux. 

19 20 C h a p i t r e 1 – La psychologie cognitive présentation générale Figure 1.2 1870 1879 1900 2000 Chronologie des grands courants de la psychologie. Structuralisme Gestaltisme Associationisme Cognitivisme Béhaviorisme • fournit des informations sur les méthodes utilisées pour étudier le fonctionne• ment de l’esprit, aide à ne pas commettre les mêmes erreurs que nos prédécesseurs relativement à la nature de la cognition humaine. Bien que depuis toujours

APPRENDRE et APPRENTISSAGE se sont inscrits dans les sillons de CONNAÎTRE et CONNAISSANCE. L’apprentissage est devenu alors un objet de la science. D’abord phénomène d’association en se définissant en terme de conditionnement avec la naissance du béhaviorisme, l’apprentissage s’expliquera par la modification du comportement avec l’apparition du traitement de l’information. KIMBLER (1961) « un changement relativement permanent dans la capacité de se comporter, changement qui apparaît comme le résultat

affirme que le comportement économique du consommateur n'est ni rationnel, ni conscient. Ce comportement est passif, soumis au conditionnement et adopte des réflexes par habitude. La publicité mécaniste se réfère à Pavlov et s'appuie aussi sur le béhaviorisme selon lequel l'homme serait un animal éduqué. -La publicité suggestive :La publicité suggestive se fonde sur une approche psychologique de l'individu. En terme sémiologique on parlera d'une publicité de la connotation (qui suggère, qui ne fait

les présupposés psychologiques des précurseurs (Rousseau, Montessori, Herbart, Decroly, Dewey, Claparède, Freinet, Alain), l'auteur s'intéresse aux implications pédagogiques de la psychanalyse et de la psychologie humaniste, puis aux apports du behaviorisme. Il se tourne ensuite vers le constructivisme de Piaget qui, à ses yeux, introduit une perspective totalement neuve en éducation. Les implications pédagogiques de la psychologie cognitive sont également passées en revue. L'ouvrage se termine sur