Le Discobole

Définitions[modifier | modifier le code] Discobole grec - iie siècle après J.-C. Jeu de paume à Paris au xviie siècle Le terme de « sport » a pour racine le mot de vieux français desport qui signifie « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit »1. En traversant la Manche, desport se mue en « sport » et évacue de son champ la notion générale de loisirs pour se concentrer sur les seules activités physiques. La langue allemande admet le terme « sport » et sa définition anglaise en

Archimède  MEDECINE : Hippocrate  THEATRE : Eschyle, Sophocle, Euripide 3- LE CULTE DU CORPS Les jeux sportifs : LES JEUX DE DELPHES : tous les 4 ans, en l’honneur d’Apollon. LES JEUX D ’OLYMPIE : tous les 4 ans, en l’honneur de Zeus.  Exemple : Discobole de Miron La représentation du nu masculin :  Pédérastie admise Les temples. Colonnes + chapiteau + entablement : Construction classique des Grecs, le tout surmonté par un fronton triangulaire ( ex. Le Parthénon ) Un modèle repris depuis la Renaissance

6 Économie du sport 7 Notes et références 8 Voir aussi 8.1 Bibliographie 8.1.1 Ouvrages généraux 8.1.2 Histoire du sport 8.1.3 Culture du sport 8.1.4 Critiques du sport 8.2 Articles connexes 8.3 Liens externes Définitions [modifier] Discobole grec - iie siècle après J.-C. Jeu de paume à Paris au xviie siècle Le terme de « sport » a pour racine le mot de vieux français desport qui signifie « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit »1. En traversant la Manche, desport se mue

http://www.arena-stadium.eu.org/2500-ans-histoire/4-contemporain/1-les-debuts.html http://www.almendron.com/tribuna/27112/faire-entrer-lolympisme-dans-le-xxie-siecle/ http://fr.wikipedia.org/wiki/Jeux_olympiques Annexes [pic] Le discobole. Les sculptures grecques nous laissent un bon héritage des Jeux olympiques. En effet, la perfection mathématique du corps laisse deviner l’importance que les Grecs conféraient à ce dernier. http://www.artdumuscle.com/?page=15 [pic] L’actrice

pelote de laine déposée le long du chemin, Myron est né à Éleuthères en Attique, dans la première moitié du Ve siècle av. J.-C., est l'un des plus célèbres sculpteurs grecs. Il est l'auteur de nombreuses statues d'athlètes, la plus connue étant le Discobole, mais réalise également des effigies de divinités et d'animaux pour des commanditaires béotiens, d'Asie mineure, siciliens et athéniens. * Effets recherchés Montrer le minotaure et en garder une trace. * Une comparaison avec un héros

constituent des références pour les périodes qui suivront. Le discobole de Myron, qui nous est parvenu sous de nombreuses copies, se retrouvera pleinement inscrite dans le premier classicisme, bien qu’il reste encore pour certains dans l’esprit du style sévère. Aucun original ne nous est parvenu, si ce n’est quelques bronzes. Le discobole devait être initialement en bronze. Myron va expérimenter les premières attitudes d’athlètes. Le discobole réalise un mouvement, s’apprêtant à lancer son disque. Il

| |-bare |  |pression |isobare | | |-bole |  |qui lance |discobole | | |-carpe |  |fruit |péricarpe | | |-cène |  |récent

1.2.1 – Héritages intellectuels et artistiques 6 Initiation à l’histoire de la civilisation occidentale 330-910-RE (60) Sculpture Figure 3. Kouroï, statues de Cléobis et Biton, 6e siècle avant notre ère. Photo : Adam Carr Figure 4. Discobole, copie romaine d’un original grec attribué à Myron. Photo : Marie-Lan Nguyen Les artistes grecs font évoluer la sculpture de façon remarquable. Ils sont les premiers à sculpter, de façon réaliste, une statue en ronde-bosse, c’est-à-dire développée

de la vérité : Les romains ont ensuite poursuivi le développement artistique initié par les Grecs. Ces sculptures représentent la divinité, l'idéal. D'abord très abstrait, très formel, cet art se fait de plus en plus concret et réaliste. Le Discobole La sculpture ci-dessous représente Laocoon, un prêtre de Troie qui pressentait que le cheval laissé par les Grecs était un piège. Pour le faire taire, la déesse Minerve, alliée des Grecs, envoya deux serpents de mer qui le dévorèrent, lui et ses

élan, D’abord avec une main, puis avec l’autre. On additionnait alors les deux lancers pour obtenir la performance de l’athlète. Cette méthode durera jusqu’en 1910. En 1956, l’espagnol Felix Erausquin conçoit une méthode de lancer à la façon d’un discobole (mouvement rotatif) en coinçant le javelot entre son avant-bras et son torse, et en l’enduisant de savon noir pour qu’il glisse. Il arrive à des distances de plus de 100m grâce à la force centrifuge, alors que les records actuels étaient de 85 m