Le Mendiant Hugo

l’isolement, la marginalité, le travail nocturne dans la solitude. On est assez proche ici de l’image de l’artiste exclu de la société, vivant misérablement. Le nom « fou » insiste sur la particularité du personnage puisqu’il est incompris (cf. texte de V. Hugo). La présence de la lampe unique évoque la pauvreté, mais elle le rattache aussi à l’univers lumineux dont il semble être maintenant le centre. Le verbe « veille » fait naître l’idée du travail nocturne mais également celle de la vigilance : le poète

Lamartine, en 1820, aux Contemplations de Victor Hugo en 1856. Ce mouvement esthétique européen fait une place toute particulière au lyrisme et à l’effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie : les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l’amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du fantastique

pour faire passer des messages, faire prendre conscience à tous des défauts, vices et travers de la société. • Au XIXème siècle, Victor Hugo dans Notre‐Dame de Paris reprend le rire dans l’élection du pape des fous (cf saturnales romaines) Dans L’Homme qui rit, V. Hugo fait peser un énorme soupçon sur le rire puisque « le meurtde‐ faim » rit, le mendiant rit, le forçat rit, la prostituée rit, ainsi que l’orphelin pour gagner sa vie, l’esclave rit le soldat et le peuple rient ; la société humaine

quelconque protection (ceux-ci étaient considérés comme des petits adultes vis-à-vis de la loi). Les Misérables de Victor Hugo est un très bel exemple de la condition des enfants de cette époque en illustrant le sort de la malheureuse Cosette. Les jeunes délinquants étaient placés dans des maisons pénitentiaires pour les séparer des adultes en prisons et les enfants vagabonds, mendiants étaient mis dans des écoles de réforme dont la gestion était prise en charge par l’État. A la fin du XIXème siècle

 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Les misérables’’ (1862) roman de Victor HUGO (1490 pages) pour lequel on trouve un résumé puis une analyse de : - la genèse (page 16) - l’intérêt de l’action (page 19) - l’intérêt littéraire (page 29) - la langue (page 29) - le style (page) - l’intérêt documentaire (page 71) - l’intérêt psychologique (page 87) - l’intérêt philosophique (page 109) - la destinée de l’œuvre (page 118) - des commentaires de passages (pages 125-) Bonne

d'identifier le vrai Jean Valjean qui se fait appeler Champmathieu. Celui-ci va d'ailleurs bientôt être jugé à Arras. Javert demande à M. Madeleine d'être destitué de ses fonctions à cause de son erreur, mais Madeleine refuse. Ce n'est que maintenant que Hugo dévoile enfin le personnage de Madeleine : « Le lecteur a sans doute deviné que M. Madeleine n'est autre que Jean Valjean. »5 En même temps, il lui faut s'occuper de Fantine, qu'il fait soigner dans son hôpital. Il écrit plusieurs fois aux Thénardier

Bug-Jargal, écrit par Hugo à l’âge de 16 ans, est un roman qui se rattache au genre du roman noir et frénétique. L’action se déroule dans l’Ile de Saint-Domingue en 1791 et retrace la révolte des noirs de l’Ile. Puisque Hugo soutiendra quelques années plus tard que, dans une œuvre littéraire, le laid et le sublime doivent coexister, il est normal de le voir peupler ses romans de monstres (Voir le Clin d’œil N°2) et même faire du monstre un héros de roman, comme dans Bug-Jargal. Pour Hugo, le monstrueux

intellectuels estiment qu’il faut abolir la peine capitale…D’une part, elle ne laisse aucune chance de repentir pour la condamné qui peut être, au fond un bon citoyen, qui a commis une erreur comme c’est le cas du personnage principal dans le roman de Victor Hugo…D’autre part, cette peine punit non seulement le condamné mais elle détruit toute sa famille. Ainsi, la mère du narrateur, sa femme ainsi que sa fille Marie sont restées ‘orpheline’. Une vie dure attend la fille qui grandira sans père, ni mère. Elle

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Victor Hugo LES MISÉRABLES Tome II – COSETTE (1862) Table des matières Livre premier Waterloo ........................................................... 7 Chapitre I Ce qu’on rencontre en venant de Nivelles ................. 8 Chapitre II Hougomont ............................................................. 11 Chapitre III Le 18 juin 1815 ...................................................... 20 Chapitre IV A. ......................

rose10 Veni, vidi, vixi11 Melancholia12 Épitaphe18 A qui donc sommes-nous?19 On vit, on parle20 Préface :Les « Contemplations » de Victor Hugo, est un recueil de poésie, publié en 1856. Ce recueil regroupe 158 poèmes, eux mêmes rassemblés en 6 livres. Chacun de ses livres à un thème qui lui est propre : I. Aurore : Ce livre évoque la jeunesse de V. Hugo, ses souvenirs, ses premiers amours, ou le début de ses luttes littéraires. L'âme en fleur : Ce livre parle particulièrement d'amour.