Le Monstre Buzzati

ce travail par la lecture de textes documentaires courts consacrés au cyclope et à sa généalogie. Le reste de la séquence est consacré à la lecture analytique du texte , on s’attache à relever les différences et points communs entre Ulysse et le monstre. On termine la séance par la lecture de l’épisode entre David et Goliath. SommaireExemples lecture, écriture, des apprentissages culturels : L’Odyssée en classe de sixième 8 Iconographie sur le pays des morts Exemple 1 Lecture des pages 74 et

Kessel 90 Jalna de Mazo de la Roche - x 91 J'irai cracher sur vos tombes de Boris Vian 92 Bel-Ami de Guy de Maupassant - x 93 Un sac de billes de Joseph Joffo 94 Le pavillon des cancéreux d'Alexandre Soljenitsyne 95 Le désert des Tartares de Dino Buzzati - x 96 Les enfants de la terre de Jean M. Auel – x 97 La 25e heure de Virgil Gheorghiu 98 La case de l'oncle Tom de H. Beecher-Stowe - x 99 Les Thibault de Roger Martin du Gard 100 Le silence de la mer de Vercors - Mrs Dalloway de Virginia

► Cadre stéréotypé ; ancrage merveilleux 2) L.28 à 72 : Quels sont les registres dominants du passage ? Quel est l’effet recherché par l’auteur ? Le registre fantastique - champ lexical de l’horreur («  cauchemar,29 ; panique,34 ; monstre,37 ») - champ lexical de l’obscurité ( « nuit,30,40 ; noire,59 ; soleils noirs,61(oxymore) ; ténèbres si profondes,66 ») - description effrayante du dragon renforcée par les figures de style : comparaison (l.32) métaphore (l.31)

stéréotypé ; ancrage merveilleux 2) L.28 à 72 : Quels sont les registres dominants du passage ? Quel est l’effet recherché par l’auteur ? • Le registre fantastique - champ lexical de l’horreur («  cauchemar,29 ; panique,34 ; monstre,37 ») - champ lexical de l’obscurité ( « nuit,30,40 ; noire,59 ; soleils noirs,61(oxymore) ; ténèbres si profondes,66 ») - description effrayante du dragon renforcée par les figures de style : comparaison (l.32)

ne relève, que nul sentiment moral n'ennoblit. Aucune place dans cette oeuvre pour le remords ou pour la pitié. L’auteur a réussi ce tour de force d'intéresser le lecteur à l’infernale aventure sans l'émouvoir un seul instant. On admire ces beaux monstres ; on ne les plaint pas. Carmen est satanique ; don José est envoûté. L’œuvre, forte et dure, peint la passion nue, muée presque en instinct . On peut néanmoins voir dans “Carmen” une oeuvre morale plus que moralisatrice, comme l’est une tragédie

Poe, N ouvelles Histoires extraordinaires , « Le Portrait ovale », Frederic Brown, « Fatale erreur »Chapitre 2 : Lectures apéritivesL’écrivain & son lecteur : portraits L’auteur à son miroir Dino Buzzati, Le K , « Le secret de l’écrivain ». Julio Cortazar, Les Armes secrètes , « Les Fils de la vierge », préambule Patrick Süskind,  Un combat

télévision est l’instrument de pouvoir n°1, il n’y aurait rien d’étonnant à voir la raison d’état mettre son nez dans la fiction quand le débat politique n’intéresse plus personne depuis belle lurette. P260 Une chose est sure : nous avons engendré un monstre. Qu’il serve le pouvoir en place, la crise ou les marchands de vanille, tout ce merdier nous dépasse. P264 L’homme saga est résolument proche des siens parce qu’il n’a plus d’idéal, et pourtant, tout son discours pourrait se résumer en une seule

il y a toute une série d'indices qui permettent de croire qu'il a tué Alphonse) et une explication par des causes surnaturelles (le maléfice de la déesse Vénus qui se perpétue à travers le temps, la statue qui s'anime : c'est donc une histoire de monstre). Le narrateur joue son rôle habituel dans une histoire fantastique : son entremise concourt à l'accréditer. Le texte a un caractère très littéraire, marqué qu'il est d'usages quelque peu archaïques («se guinder», «roide», «famé») l'emploi de l'imparfait

écrivaient sur des tableaux en or avec des crayons de diamant et apprenaient tout très facilement, soit par coeur soit par leur raison ; on voyait tout de suite que c'étaient des princes… Extrait n° 2  « Les souris » Dino BUZZATI. Si tu les voyais, ce sont des monstres, oui : noirs comme du charbon, les poils aussi drus que des branches…Et si tu veux le savoir, les chats : eh bien, ce sont eux qui les ont fait disparaître…C’est arrivé pendant la nuit. On dormait depuis un bon bout de temps quand

de Caligula III. Fin : Caligula apparaît en ouvrant le rideau : Non, Caligula n'est pas mort. Il est là, et là. Il est en chacun de vous. Si le pouvoir vous était donné, si vous aviez du cœur, si vous aimiez la vie, vous le veniez se déchaîner, ce monstre ou cet ange que vous portez en vous. Notre époque meurt d'avoir cru aux valeurs et que les choses pouvaient être belles et cesser d'être absurdes. Adieu, je rentre dans l'histoire où me tiennent enfermé depuis si longtemps ceux qui craignent de trop