Le Personnage Ressemble T Il Au Lecteur

possible la réalité, de peindre le réel sans l’idéaliser. L’auteur raconte souvent la vie d’hommes et femmes dans lesquels le lecteur est censé pouvoir s’identifier. Le conte bleu est lui une histoire d’un style plus populaire, hérité d’une tradition orale, que l’on découvre très tôt dans l’enfance. Il y est souvent question d’histoires extraordinaires, mettant en scène des personnages imaginaires,voire des animaux ou des objets personnifiés. Deux mouvements donc a priori très différents. Paul Valéry prétendait

nouvelle réaliste : Aux Champs de Guy de Maupassant - C’est quoi une nouvelle ?  Un genre qui ressemble au roman mais il est court - C’est quoi le réalisme ?  C’est un courant artistique apparu au XIXème siècle. Selon lui, la fonction des œuvres littéraires est de représenter la réalité. - Quel est le type du texte?  Un texte narratif descriptif. 2. Mise en contexte : - Qui sont les personnages de l’extrait ?  L’extrait présente deux familles : les Tuvache et Les Vallin. - Quel espace

l'ouverture de la pièce, le lecteur peut être frappé par l'abondance et la précision des indications scéniques, et notamment par la longue didascalie initiale, titrée « Décor ». L'examen analytique du texte révélera effectivement l'importance des éléments non verbaux de ce début de pièce. Par ailleurs, on s'interrogera sur l'éventuelle fonction d'exposition de ce passage. 1. Le cadre spatiotemporel Traditionnellement, une exposition théâtrale fournit au lecteur, comme au spectateur, des indications

cour, l 105 à 114.= le lecteur est plongé dans le suspens= +d’accroche B) un récit structuré « Le lendemain »= laisse présager un dénouement prochain. Premier paragraphe= Verbes d’action.= Dénouement. L’extrait en lui-même forme une histoire dans l’histoire. Dernier paragraphe= fonctionne comme une chute où le roi critique sa cour. Elément de résolution : le test du roi. II. Une argumentation indirecte. A) Des personnages traditionnels -Personnages banals : un roi et un

l'ouverture de la pièce, le lecteur peut être frappé par l'abondance et la précision des indications scéniques, et notamment par la longue didascalie initiale, titrée « Décor ». L'examen analytique du texte révélera effectivement l'importance des éléments non verbaux de ce début de pièce. Par ailleurs, on s'interrogera sur l'éventuelle fonction d'exposition de ce passage. 1. Le cadre spatiotemporel Traditionnellement, une exposition théâtrale fournit au lecteur, comme au spectateur, des indications

écrit-prosaï-comi-épique » (prosai-comi-epic writing). Il essaie de déterminer la raison d’être de cet art : « l’aliment que nous proposons ici à notre lecteur n’est autre que la nature humaine ». Il élève donc le roman au rang d’une réflexion sur l’homme en tant que tel. Dans Tom Jones, au milieu de sa narration, Fielding s’arrête soudain pour déclarer qu’un des personnages le stupéfie ; son comportement lui apparaît comme « la plus inexplicable de toutes les absurdités qui soit jamais entrée ds la cervelle de

et démontage entre deux aspects: réel et irréel. Afin de montrer le jeu de l’auteur je vais me baser le personnage d’Hoffemann, le docteur et Arsène, qui sont les « acteurs »ou les outils principaux de l’auteur. En effet, par des descriptions détaillées et multiples, tant au niveau des personnages que du décors, l’auteur procède à un parallélisme contradictoire, à savoir qu’un moment le lecteur à l’impression de comprendre la réalité de l’histoire et un instant après, en changeant de point de vue

1) Les trois unités L'unité d'action: toute la pièce de théatre est organisée autour d'une seule et même action, les actions secondaires sont proscrites pour simplifier l'histoire et ne pas perdre le spectateur (ou lecteur). Les règles dites "accessoires" doivent avoir un rapport avec l'action principale. L’unité de temps : la pèriode représentée dans la pièce ne doit pas excéder « révolution de soleil » (Aristote) pour respecter les règles de bienséance et de vraisemblance. C'est Racine qui s'en

I. Un texte déroutant a) Déchiffrage difficile des voix - Le texte ressemble à une interview (narrateur questionne Tatiana) mais diffère dans la forme traditionnelle question/réponse, si bien que l’on a du mal à discerner les voix. - passage d’un narrateur externe (l …) à un narrateur interne (l …) - pas de repères temporels précis, seulement quelques indications : « au collège » (l 6 et 11), « quand elle connut Michael… » (l 22), « lorsque le bruit… » (l 19) b) des discours contradictoires

œuvre réaliste, on se doit de représenter objectivement le personnage principal : il doit être banal, moyen, avec des qualités éventuelles certes, mais équilibré par des défauts. Dans ces conditions, peut-on appeler Bel-Ami, héros éponyme de cet œuvre naturaliste de Maupassant, un « héros romanesque » ? Ou au contraire on le place dans le type « antihéros » à cause de ces nombreux défauts et l’impression répugnante qu’il donne au lecteur tout au long de son ascension dans la société parisienne. Pour