Légitimisme

surévaluer le caractère "étranger" des doctrines de Mussolini et de Salazar. Ce dernier s'affichait maurassien, il entretenait d'ailleurs une correspondance régulière avec le "sage de Martigues", et au fond son régime était typique d'un certain légitimisme catholique fort bien représenté en France aussi au XIXe siècle[27]. Même le fascisme avait des racines françaises: Mussolini était un grand lecteur de Sorel et il avait reçu sa formation politique dans un environnement très proudhonien…[28]

jusqu'en 19051,. Triomphante, l'Église catholique était pourtant complètement sclérosée. Elle rejetait la modernité en bloc, elle rejetait son temps. Elle avait perdu tout contact avec la vie de l'esprit depuis que les romantiques avaient renoncé au légitimisme, c'est-à-dire depuis trente ans en 1860: il suffit de penser aux cochonneries qu'elle proposait aux fidèles en guise d'imagerie, ce que l'on appelle habituellement "l'art sulpicien" (du nom des nombreuses boutiques de bondieuseries sises auprès

précédents en ce qu’ils relèvent d’une attitude, active ou passive, de soutien politique. Les formes principales en sont le légalisme et le légitimisme. Le respect spontané du droit facilite l’exercice du pouvoir, de même que l’inclination à soutenir les gouvernants en place moins pour ce qu’ils font que, simplement, « parce qu’ils sont là ». Le légitimisme peut aussi être un soutien actif aux valeurs qui fondent le régime. La stabilité d’un système politique est directement conditionnée par l’importance

Diderot. Les Lumières apportent la longévité. {34} Reymer, Gardeil, Tanié et Melle de la Chaux sont les héros de Ceci n'est pas un conte de Diderot, et Mme de La Carlière et Desroches ceux de Mme de la Carlière. {35} Cette phrase exprime bien le légitimisme de Diderot, soucieux de respecter les lois de son pays. Il les critique, dans l'espoir de les réformer, mais s'y soumet néanmoins. Il est donc réformiste, et non révolutionnaire. {33} 

Diderot. Les Lumières apportent la longévité. [35] Reymer, Gardeil, Tanié et Melle de la Chaux sont les héros de Ceci n'est pas un conte de Diderot, et Mme de La Carlière et Desroches ceux de Mme de la Carlière. [36] Cette phrase exprime bien le légitimisme de Diderot, soucieux de respecter les lois de son pays. Il les critique, dans l'espoir de les réformer, mais s'y soumet néanmoins. Il est donc réformiste, et non révolutionnaire.

des fous qu'à être sage tout seul. Disons-nous à nousReymer, Gardeil, Tanié et Melle de la Chaux sont les héros de Ceci n'est pas un conte de Diderot, et Mme de La Carlière et Desroches ceux de Mme de la Carlière. 35 Cette phrase exprime bien le légitimisme de Diderot, soucieux de respecter les lois de son pays. Il les critique, dans l'espoir de les réformer, mais s'y soumet néanmoins. Il est donc réformiste, et non révolutionnaire. - 60 34 mêmes, crions incessamment qu'on a attaché la honte, le

centre-droit; Charles Sévère de La Bourdonnaye et Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière et un libéral; Jacques Gabriel du Chaffault qui siégea à gauche. La Chouannerie est étroitement lié au monarchisme, aussi bien constitutionnel qu'absolutiste, au légitimisme et au conservatisme. Elle fut également très liée à la franc-maçonnerie, les loges maçonniques de l'ouest furent de véritables viviers de chouans. Dans les années qui suivirent la Chouannerie, et ce jusqu'au XXe siècle, la population de l'Ouest

directe La situation la plus courante, c’est l’abstentionnisme. Les citoyens ne se mobilisent pas trop pour voter. Pour un référendum conduisant à l’adoption ou l’abrogation d’une loi, si l’abstention est très forte, elle pose un problème de légitimisme. La loi ne sera pas très représentative. Le plébiscite : ce sont les représentants qui vont se servir de leurs procédés dans leurs intérêts. Ces procédés sont donc instrumentalisés par les représentants. C’est une situation bien connue en France

points de convergence au niveau institutionnel (monarchie, corps intermédiaires, anti-libéralisme et anti-capitalisme), son analyse et l'analyse maurrassienne doivent être nettement séparées. L'auteur italien serait sans doute plus proche d'un legitimisme qui conserve une conception sacrale de la monarchie et renoue souvent avec le thème de la décadence comme avec la nostalgie d'un Age d'Or. Mais il refuse aussi, comme Guenon, le culte du pré carré, quel qu'il soit : pour ces auteurs, l'appartenance

théoricien de la lecture Vincent Jouve) 54 Lecture dernière période (LDP) (presse écrite) 54 Lecture d’un numéro moyen (LNM) (presse écrite) 55 Lecture régulière confirmée (LRC) (presse écrite) 55 Légitimation Voir aussi « Violence symbolique » 55 Légitimisme 55 Lévi-Strauss Claude 55 Licence (sociologie des professions) 55 Lien social 56 Linton (Ralph) 56 Lisant Voir « Lectant » 56 Liu (Michel) (sociologie des organisations) 56 LNM Voir « Lecture d’un numéro moyen (LNM) » 57 Locus of control