Légitimisme

en définitive, un intermédiaire d’ordre pratique. Le parlementarisme s’est développé en Europe au XIXe siècle dans un contexte économique de Révolution Industrielle et dans un contexte politique de lutte entre les valeurs de l’ancien régime (légitimisme, absolutisme etc.) et celles véhiculées par les Révolutions (française, américaine etc.) comme les Lumières. Pour ces raisons, l’enjeu est crucial : en finir avec l’arbitraire, les privilèges et l’oppression des peuples par des royautés de droit

« affaire du drapeau blanc », il y a toute la définition du légitimisme et le conflit idéologique contre les orléanistes. Impossibilité historique, pour qu’il y ait la fusion, il faut que le Comte de Chambord devienne roi d’abord (puis les descendants du Comte de Paris) mais il refuse le drapeau tricolore : il ne veut pas à tout prix la restauration, le royalisme français est face à une aporie. Comte de Falloux, grande figure du légitimisme. Le comte de Chambord fait échouer ces tractations politiques

rédaction des lois de 1875, la France vit dans un système de régime provisoire. L’idée d’instaurer un nouveau régime possible est laissé de côté faute de solution et de peur d’un nouveau conflit entre les différents partis ( républicain, monarchisme, légitimisme, orléanisme … ) . Par conséquent, on préfère rester dans cette transition temporaire jusqu’au moment ou on réalise qu’il était temps de promulguer une nouvelle constitution votée par l’Assemblée Nationale. C’est le début de la IIIème République 

révolte de mai 68 / le référendum mais ce n’était pas la solution, / la dissolution (art.12) Pour éviter les crises constitutionnelles internes : o l’alternance réussie. La Ve traverse très bien l’alternance, aucune crise, ni de coup d’Etat. / légitimisme réciproque, l’acceptation profonde de la Ve, / dissolution o la cohabitation supportée. Cette Ve qu’on l’aime ou qu’on l’aime pas, elle dure !!

d'opportunisme politique. La ferveur avec laquelle Chateaubriand défend la liberté d'expression est à cet égard exceptionnelle. Cependant, ce mouvement tourné vers le passé a aussi poser la première pierre d'un futur grand mouvement de droite : le légitimisme. En effet, selon René Rémond, « ce n'est pas l'épisode manqué d'une réaction avortée, c'est la naissance d'une droite ». Repères chronologiques : 4 juin 1814 : Proclamation de la Charte 5 septembre 1816 : dissolution de la « Chambre introuvable

d’Orléans. Pour ces derniers, l’orléanisme est vu en tant qu’héritière des rois français. Cette période a connu également le mouvement d’adhésion de Louis Philippe, celui-ci tachait à appliquer un libéralisme conservateur tout en s’opposant au légitimisme. Le principe majeur sur lequel se base l’orléanisme est de garantir un exercice des libertés dans le cadre d’une monarchie constitutionnelle tout en s’accoudant sur un parlement bicaméral. Les orléanistes tiennent aux institutions républicaines

alors l’occasion de jouer son propre jeu par les divisions des deux camps : la gauche est agitée par le débat sur l’opportunité ou non d’une insurrection, et la droite est composée des deux branches irréconciliables du royalisme, l’orléanisme et le légitimisme. Un courant en faveur du prince-président émerge alors, qui se veut à la fois l’avocat du peuple et qui préconise un pouvoir fort. Un « parti de l’Élysée » se constitue avec, notamment, les principaux chefs de l’armée. Au printemps 1851

sous la Restauration ou « La Réforme » sous la monarchie de Juillet. APPARITION DE DEUX DES PRINCIPALES FAMILLES DE LA DROITE FRANÇAISE Le légitimisme : Le légitimisme est issu d’un mouvement contre-révolutionnaire. Fondé sur le romantisme politique, le motif de la régénération après les erreurs de le Révolution de 1789. Très conservateur, le légitimisme prône les valeurs des traditions, de la famille et du respect de l’ordre, de la noblesse et du clergé. L’orléanisme : L’orléanisme est fondé

droit de propriété) (méfiance envers l’Eglise et l’Etat). Benjamin Constant en est le principal théoricien. L’indifférence à l’égard du régime est totale tant que la masse ne gouverne pas. b)Les légitimistes : de l’ultracisme (1815-1830) au légitimisme (1830). Partisans de la Contre-Révolution, ils rejettent toute constitution écrite. Ils s’appuient sur la petite et la moyenne noblesse, les châteaux et les presbytères. Journal : La Gazette. Le Vicomte de Bonald et Joseph de Maistre en sont

poussant les puissances à intervenir En premier lieu, Le christianisme des insurgés rallie les puissances. En effet, La défense d’un peuple chrétien opprimé par un peuple musulman, qui plus est jugé « barbare », va primer sur le principe de légitimisme issu de la Sainte-Alliance. En somme, cela n’est guère étonnant, dans la mesure où le christianisme fait partie intégrante des principes de la Sainte-Alliance.