Les Brsa

au verre : tout un savoir-faire Le marché français des BRSA est estimé à 2,5 milliards d’euros* et représente en France 3,6 milliards de litres en 2008. Les ventes se répartissent, comme suit. Grande, moyenne et mini distribution, GMS et magasins de proximité Hors domicile 79% 21% Supérettes GMS Hors domicile (cafés, hôtels, restaurants, boulangeries, stations services, cinémas…) Hard discount 55% 4% 20% 21% Les BRSA, un secteur dynamique de l’industrie agro-alimentaire française

Le titre de l’article est « Trois marques préemptent les boissons rafraichissantes ». Il a été écrit par Caroline Faquet et vient du magasine LSA Hors série de Septembre 2010. Le secteur des boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) est l’un des plus importants rayons des produits de grande consommation, et progresse beaucoup plus que la moyenne de ceux-ci. Dans ce secteur, les marques nationales s’imposent à 80%, laissant une faible part aux marques de grande distribution. Trois groupes sont

détail tous circuits, le marché des boissons sans alcool – soft drinks, sirops, jus de fruits et eaux aromatisées - est un marché en phase de reconquête de valeur. BOISSON SANS ALCOOL : QUI GAGNE ? Les quatre marques gagnantes de ce palmarès des BRSA sont sans conteste : Teisseire (Britvic), qui, cette année, a innové avec un flacon doseur pour ses sirops et profite de l’engouement des enfants pour ses boissons Fruit Shoot. Sa performance lui fait gagner une place et devancer Schweppes, une marque

ce produit premium entend surfer sur toutes les tendances des BRSA. L’hydratation d’une part, un thème déjà exploité par Danone Eaux à travers la création de son propre observatoire en France. La santé d’autre part, grâce à son ingrédient phare : l’eau de coco. Très en vogue aux Etats-Unis en raison de sa texture fluide et de ses vertus nutritionnelles, cette boisson naturelle attise déjà les convoitises de nombreux acteurs des BRSA. Coca-Cola et PepsiCo en tête. Les deux géants des soft-drinks

EPICIER_JUIN_JUILLET_07 12/06/07 15:07 Page 20 C LE MARCHÉ DES BOISSONS NON ALCOOLISÉES Total monde (boissons rafraîchissantes) : 535 milliards de dollars CONSOMMATION Si le marché français des Boissons Rafraîchissantes Sans Alcool (BRSA) affiche en apparence un certain dynamisme (+ 5,4 % en valeur), il connaît une atonie préoccupante en terme de volumes vendus. Cette situation s'explique traditionnellement par une consommation par habitant inférieure aux autres pays européens, du

D o s s i e r BTS Management des unités commerciales* BTS Négociation relation client* BTS Commerce international* BTS Assistant(e) de manager* BTS Assistant(e) de gestion PME - PMI* d e c a n d i d a t u r e Alternance en interentreprises BTS Profession immobilières BTS Comptabilité et gestion des organisations* DCG - Diplôme de comptabilité et de gestion DSCG - Diplôme supérieur de comptabilité et de gestion * Peuvent se préparer en milieu bancaire - dossier spécifique, nous consulter

de l'eau embouteillée investissent des segments périphériques face au ralentissement de la croissance du marché en Europe de l'Ouest (eaux fonctionnelles, « aquadrinks » comme Taillefine Fizz, Perrier Fluo, Contrex Frisson...). I. L’offre des BRSA Le marché concerné est le marché des boissons rafraichissantes et plus particulièrement des boissons sans alcool et des eaux. C’est un marche enregistrant sur les trois dernières années (2007-2009) une croissance confortable (8.9% et 3%). C’est

PESTEL BRSA Politique: Les plus : - Le gouvernement lance des campagnes pour sensibiliser à la déshydratation tous les Eté, ce qui augmente les ventes. Les moins : - Les campagnes gouvernementales pour lutter contre l’obésité ont fortement freiné les ventes des BRSA à forte teneur en sucre. - Le gouvernement oblige les entreprises à être de plus en plus transparente envers leurs consommateurs. Economique: Les plus : - BRSA est un des secteurs les plus dynamiques de l’agroalimentaire

COMMUNICATION Il est aujourd’hui admis par tous que les entreprises doivent communiquer. En effet, si certains consommateurs peuvent leur reprocher d’augmenter leurs prix de vente pour financer les budgets de communication, il convient aussi de noter que cet investissement, qui contribue à développer le volume des ventes, conduit donc à baisser le prix de revient et, donc, le prix de vente de ces produits. En France, les investissements en communication des entreprises ont été multipliés par

Consommation, Septembre 2014, P1 à P50 Évaluation de la source ? Pertinence- fiabilité Pertinence : Ces documents nous parlent bien du sujet demandé, c'est-à-dire les BRSA. Ceux-ci conviennent parfaitement car ils nous donnent par exemple beaucoup d’information et de chiffre tant au niveau des valeurs de des volumes au sujet des BRSA. Fiabilité : Ces sources sont fiables. LSA est le magazine de la grande consommation en France (sondages et enquêtes sur la baisse du pouvoir d’achat et le prix à