Lésion cérébrale

plus pour définir la mort. La mort cérébrale fut l'œuvre de nombreux long débat, permettant de répondre a 3 questions: - quel concepte de mort faut il adopter? - quel est le statut légal des patients en mort cérébrale? - comment diagnostiquer la mort cérébrale? Un patient en réanimation coûte environ 10000 euros par jours (et devient un fardo pour la société) ainsi il faut définir quand qq est mort ou pas. Aujourd'hui cette notion de mort cérébrale posera souci dans 2 cas: - lors dun

Anatomie fonctionnelle du cerveau Anatomie fonctionnelle du cerveau Le cortex cérébral renferme dix milliards de neurones interconnectés entre eux, cet ensemble est responsable de ce qu'on appelle la pensée, le moi. Cependant certaines zones du cerveau sont spécialisées dans certaines fonctions. On individualise ainsi une aire motrice, une aire sensitive, une aire visuelle, une aire auditive. A proximité de ces aires s'étendent des régions moins bien délimitées, ce sont les centres d'association

nerveuses descendantes, surtout vers les noyaux moteurs spinaux (groupes de motoneurones), qui contrôlent des effecteurs : les muscles respiratoires, dont le principal est le diaphragme ; Des centres nerveux, qui se localisent en majorité dans le tronc cérébral. 1. Les afférences : Les plus efficaces sont celles qui sont véhiculées par les fibres afférentes des IXémes (glossopharyngien, pour les chémorécepteurs des corpuscules carotidiens), et Xémes paires crâniennes (nerf vague ou pneumogastrique, pour

progressive. EPIDEMIOLOGIE A. Age: Généralement entre 55 et 60 ans. B. Sexe – Race: Touche toutes les races et les 2 sexes sans distinction. C. Etiologie: Inconnue. ANATOMIE PATHOLOGIQUE La lésion fondamentale est la perte des neurones pigmentés dopaminergiques, responsable de l'effondrement du taux cérébral en Dopamine. DIAGNOSTIC CLINIQUE A. Phase de début: Le début est insidieux avec : 1. Le plus souvent un tremblement de l'activité du membre supérieur. 2. Plus rarement une bradykinésie (diminution

histologie La sclérose en plaques a été diagnostiquée pour la première fois en 1868 par le docteur Jean-Martin Charcot, mais la lésion anatomique de la moelle a été décrite dès 1838 par Robert Carswell[2]. En 1885 Joseph Babinski lui consacre un traité. Les causes de la sclérose en plaques sont imparfaitement connues. Elles associent des facteurs génétiques (la famille d'un malade a plus de risque d'être touchée que la population générale), des facteurs environnementaux (les pays tempérés sont

La découverte de l'aire du langage Le neurologue Paul Broca a identifié une aire cérébrale qui, lorsqu’elle est lésée, entraîne une perte de la parole. 
En localisant ainsi une zone du langage, il ouvrait la voie à la localisation des fonctions cognitives. Jean-Claude Dupont J’offre 500 francs à celui qui m’apportera un exemple de lésion profonde des lobules antérieurs du cerveau sans lésion de la parole. » Le médecin Jean-Baptiste Bouillaud lance ce défi singulier en 1848 à l’Académie royale

L'activité volontaire est un acte voulu et conscient, qui met un jeu le cortex cérébrale principalement. Elle implique dans la plupart des cas une phase sensorielle, une phase centrale et une phase motrice. L'activité volontaire peut être d’ordre moteur, intellectuel ou affectif. Aire d'arrivé des messages nerveux La commande d'un geste volontaire Les techniques d'étude L'analyse des lésion cérébrales : elle repose d'abord sur une observation très précise des troubles moteur

rétine et se croisent au niveau du chiasma optique, pour arriver dans le cortex visuel, qui se trouve dans le lobe occipital du cerveau. Lorsque ces nerfs se croisent, ceux de la moitié nasale vont dans l'hémisphère cérébral opposé, et autres restent dans leurs hémisphères cérébraux. Ceci permet à l'humain de voir de chaque côté avec ses deux yeux en même temps. Chaque partie du cortex visuel s'occupe d'une propriété du stimulus visuel différente, comme la perception des couleurs, qui est traitée

l’hypothalamus la fonction plus précise de centre capital pour la coordination des composantes végétatives et somatiques des comportements émotionnels. Il procéda à une expérience afin de prouver ses dires. Il enleva à des chats leurs deux hémisphères cérébraux (y compris le cortex, la substance blanche sous-jacente et les ganglions de la base). Les chats semblaient alors enragés (on parle de « rage factice » car celle si est dépourvue d’objectif). Ils présentaient les réactions végétatives habituelles

Introduction Plasticité cérébrale/ neuronale/ axonale Professeur Pascale Pradat-Diehl Assistance Publique des Hôpitaux de Paris Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière Université Pierre et Marie Curie ER 06 pascale.pradat@psl.aphp.fr limites • Hypothèses • Démontrées ou non dans le domaine de la recherche • Simplification des processus (plasticité de la synapse; niveau d’excitabilité) • Évolution des concepts • Application clinique? Définitions Apprentissage moteur Le terme « plasticité » désigne