Liste des seigneurs puis ducs de Bourbon

mais acheta, grâce à un héritage, un office de trésorier des finances; il put ainsi mener une vie calme et solitaire et observer les hommes de son temps. À quarante ans, il entre dans la maison de Condé comme précepteur de M. le Duc (le duc de Bourbon). Les Condé ne sont pas gens d'humeur facile et régulière, et deux années de préceptorat ne lui apportent guère de satisfaction. Pourtant, après la mort du « Grand Condé », le plus estimable et celui qui l'aimait le mieux, il reste au château de Chantilly

Histoire : Dossier Belgique, sous la domination des ducs de Bourgogne (1384-1482) Table des matières PRESENTATION Première partie : Le cadre politique I. Introduction II. Politique d’un point de vue externe  1. Rassemblement territorial de nos régions 2. La conquête de l’indépendance a) La neutralité b) La préservation de l’autonomie - vis-à-vis de la France - vis-à-vis de l’Angleterre - vis-à-vis de l’Empire c) Etablissement des protectorats III. Politique d’un point

 Histoire : Monsieur de Crayencour Les ducs de Bourgogne et nos régions entre 1384-1482 L’équipement de l’armure et l’artillerie (canons) et la poudre à canon entre le XIVème et XVème Siècle Ecu de Jean Sans Peur Sebastian Dardenne Février 2012 PRESENTATION Ma méthode de travail a été de réunir le plus d’informations possible, pour ensuite en faire une synthèse avec des éléments pris dans des ouvrages de la bibliothèque du collège Saint Pierre de Uccle. Ce travail

fondements dans les rapports qu'ont entretenus les ducs d'Orléans, premiers princes du Sang, et la haute aristocratie confrontée aux affaires du royaume depuis la Régence. Depuis la mort de Louis XIV en 1715, suivie de la Régence confiée à Philippe, duc d’Orléans, une coterie s’était organisée autour de la branche d’Orléans une opposition à l’absolutisme qui réunit alors de grands aristocrates. Le courant « orléaniste » se développa face à la royauté, puis s'estompa. Durant la Révolution de 1789, le duc

en français, on retrouve également de nombreux seigneurs. Mais ils sont nettement plus nombreux que dans les archives latines du siècle précédent. Ainsi, on compte dans le Bas-Maine (Mayenne) 13 familles de miles au XIIIe siècle, contre plus de 130 aux XIVe et XVe siècles. On peut distinguer parmi ces seigneurs différentes nuances sociologiques : • le « haut et puissant seigneur » est l'héritier du miles des archives latines. • Le « seigneur de… », écuyer ou chevalier ne trouve pas d'équivalent

ennemis de Dieu, de faire régner la justice et la miséricorde. SCEAU DE PHILIPPE Ier 2. L’electio, vestige de l’ancienne « élection » par acclamation des rois francs. L’archevêque de Reims « élit » le roi, avant de se tourner vers les évêques puis vers les grands laïcs, enfin vers le peuple présent. Tour à tour, ces individus, ainsi que le peuple, approuvent, acclamant le roi en criant trois fois de suite : Fiat, fiat, fiat (nous approuvons ; nous voulons qu’il en soit ainsi). 3. L’onction

MODERNES Comprendre le droit, et le comparer (dans l’espace, et dans le temps). Pour avoir les codes, les références. La façon de découper l’histoire n’est pas objective. Il y a toujours un point de vue. 4 périodes selon les historiens : préhistoire, puis histoire avec l’écriture (-3000 en Mésopotamie). La charnière dépend des endroits. L’histoire commence par l’Antiquité, qui s’arrête en 1476. L’antiquité classique, gréco-romaine, est la plus importante pour le droit français. Les Romains dominent

accords avec des Seigneurs. Delà apparait la notion de relation d’homme à homme qui ont pour but de garantir la sécurité. C’est le début de la féodalité. Pour traduire juridiquement ces relations on crée les contrats vassaliques ( un contrat entre un seigneur et son vassal). Ce contrat vassalique synallagmatique ( qui impose une réciprocité entre les deux partis). La plupart de ces contrats sont des contrats de signature rituelle ( le vassal se met a genoux devant le seigneur pour montrer son accord

France, poursuivis par tous les capétiens depuis le XIIe rencontre des difficultés : interruption dans la lignée des héritiers d’Hugues Capet, guerre de Cent Ans, émergence de cours princières distinctes de la cour royale, guerre entre Armagnac et Bourbon. C’est le temps des principautés (apanages…). Selon Aeneas Silvius Piccolomini, « le roi se dit empereur en son royaume et le duc roi en son duché ». En 15 ans, le roi reprend ses droits et fait entrer tous les apanages dans son domaine royal.

du Royaume : est souverain celui qui peut conserver l’indépendance du territoire, la population, ses richesses, ses cultures. Cette culture se répètera par son petit-fils Clovis, et puis Charlemagne, et Pépin le Bref, puis Hugues Capet, et une dernière fois avec Philippe de Valois. Aux Valois succèderont aux Bourbons en la personne d’Henri IV pour échapper à l’invasion espagnole. Pour être légitime, il doit être capable de défendre son pays. Ces institutions ne vont s’épanouir et porter le