Mâle dominant

aux hôteliers extérieurs. S’agit-il d’une pratique anticoncurrentielle ? 5ème question : Une société française de jeux de hasard, en position dominante a subordonné l’agrément à ses détaillants, de l’acquisition de deux éléments de mobilier de comptoir, dont elle était le fournisseur exclusif à un prix surélevé. S’agit-il d’un abus de position dominante ?

distorsions de concurrence : Les articles 85 à 94 du traité de Rome définissent les pratiques incompatibles avec le marché commun, car faussant le jeu de la concurrence. Sont ainsi visés les ententes entre entreprises, les abus de position dominante, les pratiques de "dumping" ainsi que les aides accordées par les Etats, même si ce dernier principe admet quelques exceptions. La Commission européenne est chargée de veiller à l’application de ces règles, et elle le fait avec une très grande vigilance

pouvons donc affirmer que cette autorégulation est efficace de par ses mécanismes mais celle-ci n’est pas fiable dans le domaine de l’offre publique, cette structure connait des limites dans le cas ou il peut laisser place à des abus de positions dominantes qui doivent être corrigés par l’Etat.

d'abus de position dominante. - un rôle juridictionnel : le conseil a le pouvoir de sanctionner les pratiques anti concurrentielles le conseil à un pouvoir d’instruction de décision et de sanctions. 2 types de pratiques non concurrentielles : ART L420-1 les ententes illicites entre opérateurs économiques L420-2 les abus de dominations : déclinés en 2 possibilités abus de position dominante ou exploitation abusive d’un état de dépendance économique Abus de position dominante : Canal + condamné

inefficacités du marché. En effet, il se pose en garant de la libre concurrence en luttant contre les comportements anticoncurrentiels qui peuvent être par exemple des ententes entre entreprises pour en éliminer d autres ou des abus de position dominante pour les plus grandes entreprises… ;De plus, l’Etat adopte depuis quelques années différentes mesures obligeant les entreprises à mieux protéger l’environnement écologique.il incite par exemple les industriels à produire des biens et des emballages

œuvre de PPP. Un tel litige relèvera alors de la compétence judiciaire (TC, 4 mai 2009, Sté Ed. Jean-Paul Gisserot). Enfin le droit de la concurrence serait violé si un acte administratif en lui-même constituait une entente ou un abus de position dominante comme l’agrément que donne l’administration à une entente entre professionnels ou à une convention collective dont les clauses ont pour effet d’empêcher, restreindre ou fausser le jeu de la concurrence, ou encore CE, 30 avril 2003, Syndicat professionnel

I. Organisation et rôle de chacun 1- De la commission technique des ententes et des positions dominantes à l’Autorité de la Concurrence a) De la Commission technique des ententes au Conseil de la concurrence b) La création de l’Autorité de la concurrence 2- L’organisation de l’Autorité de la concurrence a) Une autorité indépendante b) Composition ➢ Les membres de l’Autorité de la concurrence ➢ Le rôle du commissaire du gouvernement ➢ Le rôle

réglementées b) L’action en concurrence déloyale Partie 2 : Le droit de la concurrence a) Le jeu de la concurrence b) Les autres pratiques anticoncurrentielles Conclusion Annexes Introduction : L’abus de position dominante est illégal car il fausse le jeu de la concurrence. Cette position peut entrainer la hausse des prix des produits. Une étude montre que les Français plébiscitent la concurrence, qui leur apporte des biens de meilleure qualité à moindre cout : billets

ne doivent pas être contraires aux solutions communautaire selon le principe de primauté du droit communautaire.   Section1 : Le droit communautaire de la concurrence   §1. Principe d’interdiction des ententes et des abus de position dominante   En droit communautaire (Directives et Art 81 et 82 Traité CE)    Principe de primauté du droit communautaire donc une entente qui est interdite sur le terrain communautaire ne pourra être mise en œuvre sur le territoire français. Règle

termes duquel le règlement est directement applicable dans tout Etat membre, peut s'appliquer à tous les litiges dans un Etat membre, litiges verticaux ou horizontaux ET articles 101 et 102 TFUE qui sanctionnent les ententes et les abus de position dominante, dispositions qui ont pour destinataire les entreprises. On pourrait citer aussi l'article 267 TFUE qui instaure le renvoi préjudiciel : si un juge national peut poser une question à la Cour de justice, cela sous-entend que les particuliers vont