Mondes possibles

CANDIDE - Voltaire Chapitre 1 De "Il y'avait..." à "...toute la Terre" Introduction Dans ce début de chapitre 1 de Candide, Voltaire donne l'image du meilleur des mondes possibles, avec des préjugés sur l'innocence (cf. Eden), et plein d'illusions sur la réalité. C'est l'incipit du conte, et il a pour fonction de présenter les personnages, le contexte, la situation initiale. Cela se fait par petits paragraphes successifs, correspondant à peu près chacun à un personnage; le chapitre est

sauvé un autre homme. Vanderdendur, négociant escroc. Prococurante, homme riche et cultivé, pourtant malheureux et blasé de la vie. Le jeune Candide, dont le nom traduit à la fois la naïveté et la crédulité vit dans le "meilleur des mondes possibles" chez son oncle, le baron de Thunder-ten-Tronckh. Enfant naturel, Candide mène une existence heureuse dans cet univers idyllique : Le baron et la baronne de Thunder-ten-Tronckh possèdent en effet "le plus beau des châteaux". Candide est ébloui

donc le monde n'est pas parfait, or, comme Dieu est bon, le monde qu'il a créé est forcément le meilleur possible. Cette théorie a ensuite été simplifiée et critiquée par Voltaire dans Candide13 : Voltaire y invente un personnage nommé Pangloss, censé représenter la pensée leibnizienne, et qui tout au long du conte philosophique parle de « meilleur des mondes possibles ». Le mot « possible » souligne bien le fait que les optimistes ne croient pas en la perfection du monde. La critique de la

l’ouest de l’Allemagne. Le nom du château est une fantaisie, « thunder » veut dire tonnerre en anglais, « ten » est un article germanique et « tronckh » est bizarre. Le fantastique du lieu se fait à travers les expressions «  dans ce meilleur des mondes possibles » (l27) et « le château de Monseigneur le baron était le plus beau des châteaux » (l27-28). c) Les éléments traditionnels Comme dans les contes, celui-ci commence par « Il y avait ». Il y a aussi la présence d’un narrateur la phrase

son âge et de son caractère. Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolonigologie. Il prouvait admirablement qu'il n'y a point d'effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux, et madame la meilleure des baronnes possibles. Il est démontré, disait-il, que les choses ne peuvent être autrement ; car tout étant fait pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin. Remarquez bien que les nez ont

seigneur de la Vestphalie » « la meilleur des baronnes possible » « haute en couleur fraîche, appétissante » « Vestphalie » « Thunder-ten-tronck » « l'esprit le plus simple » « 350 livres » « fraîche, grasse, appétissante » II « Il n'y avait point d'effet sans cause » « admirablement » « ce meilleur des mondes possibles » « le plus beau des châteaux » « la meilleur des baronne possible » - Candide - le baron - la baronne - Cunégonde

donc le monde n'est pas parfait, or, comme Dieu est bon, le monde qu'il a créé est forcément le meilleur possible. Cette théorie a ensuite été simplifiée et critiquée par Voltaire dans Candide13 : Voltaire y invente un personnage nommé Pangloss, censé représenter la pensée leibnizienne, et qui tout au long du conte philosophique parle de « meilleur des mondes possibles ». Le mot « possible » souligne bien le fait que les optimistes ne croient pas en la perfection du monde. La critique de la

son âge et de son caractère. Pangloss enseignait la métaphysico−théologo−cosmolonigologie. Il prouvait admirablement qu'il n'y a point d'effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux et madame la meilleure des baronnes possibles. « Il est démontré, disait−il, que les choses ne peuvent être autrement : car, tout étant fait pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin. Remarquez bien que les nez ont

que Dieu donc le monde n'est pas parfait. Or, comme Dieu est bon, le monde qu'il a créé est forcément le meilleur possible. Cette théorie a ensuite été simplifiée et critiquée par Voltaire dans Candide. Voltaire y invente alors un personnage nommé Pangloss, censé représenter la pensée leibnizienne, et qui tout au long du conte philosophique parle du « meilleur des mondes possibles ». Le mot « possible » souligne bien le fait que les optimistes ne croient pas en la perfection du monde. Lors du siècle des

lire ou de relire Candide de nos jours. Tout d’abord, il est important de precise que Voltaire donne le nom de Candide a son personnage principal, dont le nom traduit a la fois la naivete et la credulite, qui pense vivre  dans le « meilleur des mondes possibles » chez son oncle, le baron de Thunder-ten-Tronckh. Je vais vous demontrer que dans Candide, Voltaire accuse implicitement le mal dans lequel se trouve la societe. Il se sert donc d’arguments economiques, raciaux, sociaux, religieux et politiques