Monologue De Carmen

Accablé sous le poids de la haine de Bérénice, Antiochus n’attend plus pour partir que la tombée de la nuit et la confirmation que la reine n’a pas, par désespoir, cherché à attenter à ses jours (III, 4). Acte IV. Au début de l’acte IV un bref monologue de Bérénice nous révèle son profond et douloureux désarroi : Phénice ne revient pas assez vite lui annoncer que Titus accepte de la rencontrer (IV, 1). Au retour de Phénice, elle refuse de se laisser apprêter par elle, l’image visible de son désespoir

femme. Une femme fatale, cette « belle dame sans merci » désignée par Keats. Praz en retrace la lignée qui traverse le romantisme. La Matilda de Lewis qui engendrerait d’un côté la Velleda de Chateaubriand et la Salammbô de Flaubert, de l’autre la Carmen de Mérimée et quelques-unes encore. Swinburne, aussi proche des préraphaélites que des romantiques français, gardera le modèle pour mieux opposer – Sade encore – la vertu apathique et opprimée au vice actif et triomphant. Ses Pœms and Ballads sont

rencontrées. * Le texte à traduire doit être court, plus ou moins 30 pages suivant la difficulté, et si possible contemporain. * Les difficultés linguistiques à traiter et à commenter pourront être liées au type de texte (choix des temps dans les monologues intérieurs….), à des figures de styles récurrentes (la répétition, l’énumération…), ou encore à un état de choses particulièrement représenté (les sentiments, le déplacement…) Séminaire 2 (2h par semaine au 2ème semestre) M. Gray Analyse du

dont il donne une vision cosmique, matérialisant ainsi sur la scène le désespoir de Platonov. Il est tourmenté par quelques questions existentielles, la réflexion pointant (mais n’émergeant pas) dans ses rapports avec les autres et à travers ses monologues intérieurs. Il est entouré de jeunes trentenaires qui sont des artistes et intellectuels blasés, plus névrosés les uns que les autres, proches de l'hystérie ; autrefois socialistes, il ont déjà renoncé aux idéaux de leur jeunesse pour adopter des

triomphale commença seulement en 1885, après qu'une suite renfermant ses motifs eut familiarisé le public avec cette partition pleine de trouvailles délicates, de motifs folkloriques et d'audacieuses nouveautés harmoniques préludant à celles de ‘’Carmen’’. Léopold Marenco a tiré de ‘’L’Arlésienne’’ un livret en trois actes et quatre tableaux, mis en musique par Francesco Cilea (1866-1950). Il fut représenté en 1897 à Milan. ____________________________________________________________ _____________________

- 4 FRA1D-C-Me.1 - 2 - 3 FRA1D-T-Con.2 - 3 - 6 - 7 - 8 - 11 Notes de planification Se procurer des enregistrements de contes et de romans (p. ex., de la bibliothèque municipale pour ce qui est des romans). Se procurer des enregistrements de monologues (p. ex., C. Desrochers, Y. Deschamps, R. Devos). Se procurer des textes narratifs de genres divers (contes, romans, nouvelles). Prévoir du temps pour faire une période au laboratoire d’informatique et au centre de ressources. Préparer des activités

apparus au XVIII siècle avec Rousseau et ils sont récupérés par les romantiques. On reconnait à l’auteur mais il y a une partie de fiction. Souvent, les auteurs écrivent la même matière romanesque parce qu’ils sont euxmêmes qui sont derrière. Le « monologue intérieur » a d’importance. Un autre genre est le journal intime et les mémoires. Les mémoires mélangent l’histoire personnelle et l’histoire politique comme c’est le cas de Chateaubriand avec les Mémoires d’Outre-tombe. La poésie est le grand

cénacles choisis, nommés camerata, où l’on discute tout à la fois de philosophie, d’art et de musique sous l’égide de monarques éclairés. À Florence, à Mantoue, les cerveaux sont en ébullition dans la seconde moitié du XVIe siècle. Ce chant magique – carmen, en latin – est tout à la fois musique et poésie. Pour retrouver Orphée, tenter de recréer le miracle de sa voix, il faut trouver un mode de diction qui soit intermédiaire entre le chant et la voix parlée, et incarner cette émission vocale nouvelle

Théâtre2 de Hardy, fervent défenseur de la tragédie, en 16283. La tragédie classique – ou pré-classique – délaisse les personnages protatiques, les longs discours sentencieux et les Chœurs. La dramaturgie du « Grand Siècle » raccourcit également monologues et tirades ; elle favorise nettement le dynamisme de la représentation. En somme, à l’opposition théâtre de la parole / théâtre d’action, il semble préférable de concevoir la dramaturgie humaniste comme la représentation des effets d’une passion

plusieurs personnages. Les « types de parole » sur scène : quelques définitions La réplique est le texte prononcé par un personnage à destination d’un (ou plusieurs) autre(s) personnage(s). La tirade est une longue réplique sans interruption. Le monologue est une tirade prononcée par un personnage seul en scène (ou qui croit l’être). Le dialogue est un échange verbal entre deux ou plusieurs personnages. L’aparté (mot masculin) est une réplique prononcée par un personnage à l’insu d’un autre, pour