Monothéisme

Islam comme religion „proche“ du Christianisme D’un point de vue phénoménologique, l’Islam est un système de symboles relativement «!proche!» du Christianisme: - lien de parenté (Islam naît à partir d’éléments du Judaïsme et Christianisme) - monothéisme (plus marqué dans l’Islam) - idée de l’eschatologie - religion du livre - éléments communs (Abraham, Jésus, beaucoup d’éléments bibliques sont repris par Muhammad) - on parle (avec le Judaïsme) des «!religions Abrahamiques!» Muhammad (ca. 570

sont toutes « cosmiques » dans le sens où elles décrivent la nature, les lois et les limites du monde. Toute religion est un récit de l’origine et du sens du monde. 4) Types de religions et d’irréligion a) Animisme, polythéisme, mythologie, monothéisme, déisme et « religion naturelle », théisme ° En projetant sa compréhension de lui-même sur le monde qui l’entoure, l’homme prête à tous les objets qu’il rencontre des volontés, des désirs, des sentiments comme il les éprouve lui-même. Ainsi le

surgit à la surface de la mémoire l’inconscient. Mais il se méfie de l’hypnose et va travailler par association libre. C’est le père de la psychanalyse. Bibliographie : « Totem et tabou » 1913 « L’avenir d’une allusion » 1927 « Moïse et le monothéisme » 1939 Ne parle pas du contenu de la religion mais de la démarche. Il ne s’intéresse pas à casser le contenu de la religion. La religion n’a pas réussi à rendre les gens heureux. Appartient à l’enfance de l’homme et donc à l’humanité. Religion=

qu’intellectuels et sociales. La religion répond aux grands besoins existentiels de l’être humain. Les conceptions de la divinité Einstein « Définissiez-moi d’abord Dieu et je vous dirai si j’y crois ». Polythéisme : croyance en une pluralité de dieux. Monothéisme : la conception selon laquelle il n’existe qu’un seul Dieu. Panthéisme : il assimile la divinité au cosmos tout entier. Dieu est imminent : chaque élément de la nature (nous y compris) est une parcelle de divinité alors que le monothéiste conçoit

Les Ulémas et les Philosophes En passant du paganisme au monothéisme, puis, d'un univers tribal à l'administartion d'un immense empire, les arabes ont vécu en l'espace de quelques décennies un formidable bouleversement de leurs repères. Dès la deuxième moitié du 7ème siècle, ils affrontèrent des défis qu'ils n'avaient pas imaginés, à une échelle totalement nouvelle pour eux. L'Islam leur a imposé des obligations résonnées, fondées sur des principes de responsabilité personnelle et de solidarité

mécanismes du monde naturel. L'histoire naturelle de la religion étant tout entière l'histoire de la superstition, le théisme dont il est question dans cet écrit comme ayant son origine dans le polythéisme n'est donc pas celui des philosophes. C'est le monothéisme populaire sur lequel les prêtres assoient leur pouvoir, c'est-à-dire principalement le théisme chrétien, comme religion prétendument révélée. La religion naturelle est donc entièrement extérieure à l'objet propre de L'histoire naturelle. Mais

l'interprétation de ce qui se présente comme la Parole de Dieu.  Dans les trois religions centrées sur l’exigence éthique, la spiritualité -l’esprit- s’oppose à la recherche effrénée du pouvoir, de la richesse, et des plaisirs charnels. «Le monothéisme se substitue progressivement aux divinités largement anthropomorphisées du polythéisme babylonien. On passe à la transcendance radicale d’un dieu unique qui échappe à toute représentation. La Loi est commune aux trois textes fondateurs, explique

meilleur. C’est d’ailleurs pourquoi on n’hésite pas à confier à un sage reconnu le soin de rédiger la Constitution de la Cité. Il est donc évident que les règles juridiques quoique respectables sont d’origine humaine. Avec l’apparition du monothéisme apparaît l’idée que tout est l’oeuvre d’un dieu unique, créateur et tout puissant. Dès lors rien de ce qui existe sur terre ou dans les cieux ne peut échapper à sa volonté, l’organisation politique comprise. Pour résumer cette conception par une

léthargie intellectuelle…. Au niveau collectif, il n'y a qu'à regarder autour soi et dans les livres d'histoire : guerres de religions, inquisition, fanatisme, intolérance, misogynie, frein au progrès, confiscation du pouvoir politique… Le monothéisme, par sa conception même d'un Dieu unique, porte en lui le germe de l'intolérance. "Le bon (c'est-à-dire le vrai) Dieu, c'est le mien". Tout est dit. Comme dans l'économie de marché, la pire des choses, c'est le monopole d'une religion, à un endroit

question est intéressante car, Poser une question concernant Dieu peut déjà émettre un problème en soit... est-ce qu'il existe ? Ici on suppose que Oui. Et la divinité à laquelle on fait référence dans la question est très certainement celui des monothéismes. J'entend par la, qu'il s'agit ici, Du Dieu unique, avec un grand D. Et peu importe que ce soit celui de la religion catholique, de l'islam ou du judaïsme. Aujourd'hui, dans l'esprit de la plupart des gens, on a tendance à voir ce Dieu, comme