Motte castrale

ensembles et multiplicité des éléments - Les mottes castrales : les « haut-lieux » les plus discrets et les plus ignorés du Pays ; A la fois urbaines et rurales, elles ont une grande valeur archéologique mais aussi paysagère. En tant que site élevé elles sont des belvédères prisés et certains sites du territoire sont réellement remarquables mais inexploités. Un très grand nombre de villages disposent en leur centre ou à proximité d’une motte toujours en place mais complètement oubliée, qui a déterminé

l'ancien régime, sans perdre son aspect de ville close. La cité naît, dans les terres basses, autour d'un premier château en bois établi sur une motte féodale. Siège d'une puissante châtellenie, le château est transféré au XIIe siècle sur la colline voisine en raison de sa vulnérabilité devant les progrès des techniques militaires. La fondation du bourg castral est confiée aux moines de Marmoutiers qui obtiennent le droit de justice du seigneur et, en 1164, l'élévation du prieuré au rang d'église paroissiale

européenne…. Un voyage à Istanbul en fin d’année sera organisé Audrey SORIA _______ Mardi 14 h 00 13 nouveau DU CHATEAU A MOTTE JUSQU’A VERSAILLES Les Forteresses au cours des siècles : protéger, défendre et garder Les différentes manières de se protéger derrière des murailles Pourquoi des Castels et dans quelles conditions Les premiers châteaux : la motte castrale Les grandes fortifications du Moyen-âge La Renaissance entre défense et agrément De grands noms pour illustrer le propos Les mottes

Un château est à l'origine une construction médiévale destinée à protéger le seigneur et à symboliser son autorité au sein du fief. Les premiers châteaux étaient construits en bois souvent sur une élévation de terre (motte castrale ou féodale), puis en pierre afin de résister aux nouvelles armes de guerre. On les appela les châteaux forts. À la Renaissance, les rois de France, bientôt imités par leurs vassaux, décidèrent de construire ou d'aménager leurs châteaux non plus pour la défense, mais pour

sires. Ils exercent une domination, une seigneurie, dominum, castrale. Seigneurie castrale. A l’époque carolingienne, très peu de châteaux. A partir de la fin du 9ème, augmentation du nombre de châteaux. A partir du milieu du 10ème siècle, augmentation et explose à partir du milieu du 11ème. Modèle culturel pour toute l’aristocratie. Pour certains viennent d’anciennes fortifications, ou forteresse nouvelles. Posé sur une motte castrale. B. Les fonctions des châteaux. C’est un lieu de défense

carolingienne. Ils n’érigent pas des châteaux . Puis on assite fin 9e a une multiplication des château x. Les comtes et les princes construisent des châteaux . Ces châteaux et forteresses sont constitué d’enceinte vaste avec parfois un point fort (donjon ou motte) elles ont une fonction militaire (défense population et s’adapte au nouvelle règle militaire) et c’est l’expression de l’autorité public On y tient des assemblées de justice quand le comte tient assise de justice c’est dans une forteresse et

termine par un travail sur la féodalité et sur ceux qui dominent ces sociétés rurales : les seigneurs et les chevaliers dans un contexte de « mutation féodale » 3 thèmes doivent être envisagés : - de la Motte seigneuriale à la mise en place de château du XIème au XIIIème siècle ; le phénomène castral et sa dimension politique, sociale et économique plus que militaire. - vassalité et relations d’homme à homme dans l’aristocratie. - le développement de la chevalerie et la naissance de l’idéal chevaleresque

réduite. Le don au monastère permet d’inscrire dans l’éternité des liens sociaux vivants. - UN SIGNE DISTINCTIF Il faut ajouter le caractère de marqueur d’une distinction sociale que peuvent remplir --une collégiale ou un prieuré castral. La fondation d’une église ou d’un prieuré surtout associé à un château contribue à façonner l’image d’une élite dominante et à justifier cette domination. (C’est en Flandre, au Xe siècle, que la réunion d’une communauté avec ses reliques et

souverain a besoin d’eux. Ces châteaux sont aux mains de nobles, descendants de l’aristocratie militaire du Xème siècle et qui disposent de leurs propres chevaliers. Chaque principauté connaît des troubles liés a ce que l’on a pu appeler le choc castral (ou châtelain). En Catalogne il se manifeste lors de la minorité du comte Raimond Béranger à partir de 1035 ; mais celui-ci s’impose progressivement en passant des accords de convenientiae (conventions féodales), en rédigeant dès 1068 les Usages de

interne à la classe dirigeante. Il faut donc relativiser ce « choc châtelain », d’abord parce qu’on érige des forteresses dès 888 et parce que l’affirmation des sires est surtout le résultat d’équilibres internes aux principautés. Plutôt que de choc castral généralisé, il vaut mieux parler d’une redistribution permanente des pouvoirs. Quand dans une principauté l’autorité du prince est faible, les comtes ou vicomtes qui lui sont soumis tentent de lui arracher des lambeaux de pouvoir ; mais ils sont exposés