Pinacothèque de Brera

fin et des zones industrielles. Mais la réalité est toute autre, en effet, les amoureux des villes trouveront leur compte dans cette métropole innovante d'1,3 million d'habitants à la vie culturelle intense. Le Duomo, la Scala, les pinacothèques Ambrosienne et de Brera, La Cène de Leonard de Vinci entreposée dans Église Santa Maria delle Grazie, feront le bonheur des passionnés d'art gothique, baroque ou encore des amateurs d'architecture. Pour ce qui est des fins gourmets ils trouveront leur bonheur

Il participa également au cycle monumental Quadroni di San Carlo du dôme de Milan avec le tableau Il solenne ingresso di San Carlo in Milano. 2 autres oeuvres : Milan, Ospedale Maggiore : Portrait de Filippo Pirogalli, vers 1677 Milan,pinacothèque de Brera : Autoportait Peintures: Filippo Abbiati Milan Milan Milan, 1643 ca. - Milan, 1715The Miracle of the Mule Portrait de Filippo Pirogalli 1677 .

clairement référence à Ludovic Sforza : outre les trois blasons qui surmontent la fresque, une main anonyme a rajouté sur la Crucifixion de Giovanni Antonio Donato Montorfano, les figures agenouillées et de profil (comme dans la Pala SforzescaN 3 du musée Brera de Milan) de Ludovic Sforza et Béatrice d’Este, accompagnés de leurs deux fils, Massimilo et François. Léonard commence à se mettre à l’ouvrage en 1494 ou 1495, alors qu’il travaille encore à la statue équestre de Francesco Sforza, il Cavallo. Matteo

san francesco, Le tempio malatestiano, Rimini 1450-1468 >>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Temple_Malatesta Filippo Brunelleschi (1377-1446) Piero della francesca, la sainte conversation, huile sur bois 248X150 cm. 1472 milan, pinacotheque de Brera Boticellli, (boticello = petit tonneau qui devait etre le prenom de son frere- Il a commencé dans un atelier d’orfevrerie qui pratiquaient encore la tehnique de la Niellure >> sur une plaque de metal (or arg ou cuivre) on fait des

lignesSujet amené : (20-30 min)A. Présentez les deux œuvres en vous appuyant sur la fiche technique des œuvres et le contexte de création (le courant, l’époque)Le souper d’Emmaüs , Caravage, 1606, huile sur toile, 141x175cm, Milan, Pinacothèque de Brera. Ce n’est pas sa première représentation du sujet, il l’avait déjà fait en 1601. Rembrandt Harmenszoon van Rijn, Les pèlerins d’Emmaüs, 1628, huile sur panneau, 39x42cm, Paris, Musée Jacquemart-André

vibration des couleurs à travers la lumière. La multiplicité des angles aigus et des lignes ascendantes sert une composition pleine de mouvement et d’une réelle force plastique. * Auto + Vitesse + Lumière (1913, Milan, Pinacothèque Brera). * Vitesse abstraite (Une automobile est passée) (1913, coll. Privée). Sans utiliser la couleur, BALLA évoque, ici, la rapidité de l’automobile. La vitesse est le sujet de ces 2 œuvres, dont la composition repose

dans sa mélancolie et dans sa tristesse. L'œuvre est pleine de significations allégoriques qui font référence aux idéaux patriotiques du Risorgimento et il existe trois autres versions créées par Francesco Hayez. L'œuvre est située dans la Pinacothèque de Brera à Milan. Le Baiser est une peinture amour très appréciée de Gustav Klimt, un peintre autrichien. Le tableau amour montre un couple enlacé, entouré de robes aux motifs colorés. La femme, abandonnée dans l'étreinte, a une expression délicate

coiffure très complexe. Front épilé. Carnation blanche qui contraste avec celle de son mari. Véritable mariage d'amour entre les 2 et elle mourra en mettant au monde leur fils. Le retable de Brera. Vierge à l'Enfant et des saints vénérés par Federico. 2m48x1m70. Conservé à la pinacothèque de la Brera à Milan. 1472-1474, huile sur bois. Ce serait une des dernières œuvres de Pierro de la Francesca. C'est une Sainte Conversation monumentale (Vierge et Enfant et saints discutant). 6 saints et 4 anges

Athéna, déesse du Savoir dompte le Centaure, symbole de la brutalité et de l’ignorance. Pallas et le Centaure, Botticelli ( 14451510 ), Musée des Offices, Florence. Le mariage de la Vierge, Raphaël, peinture sur bois, 170 x 117 cm , 1504, Pinacothèque de Bréra, Milan. http://www.abcgallery.com/R/raphaël/raphaël/raphaël7.ht ml Un art inspiré de l’Antiquité : Aux XVème et XVIème siècles, les architectes italiens se passionnent pour l’Antiquité gréco-romaine. Ils délaissent l’art gothique et reviennent

diverses : vers un faste princier _comme Galeazzo Maria Sforza luxueusement paré par Piero Pollaiuolo (Offices de Florence, vers 1471)_ ou même intégré dans une Sainte conversation, comme la Pala de Montefeltre de Piero della Francesca (Milan, Pinacothèque de la Brera). Mais ce mode de représentation évoquant le faste princier n’est pas systématique : à la même époque, Frédéric de Montefeltre privilégia une mise simple sur le recto du diptyque réalisé par Piero della Francesca (Offices de Florence,