Points De Convergences Entre Taylor Et Fayol

------------------------------------------------- Taylor Création de la Taylor Society en 1890 – mort en 1915 Question de départ de Taylor La conservation des ressources naturelles de l’Amérique. Il faut enrayer les gaspillages dans les entreprises qui résultent d’une mauvaise organisation de la production et de la maladresse des hommes. La philosophie taylorienne  La finalité de son travail scientifique réside dans la paix sociale et la coopération au sein de l’entreprise. Taylor met en garde contre les cadences

l’école moderne qui ont permis l’évolution de la perception de la GRH. * * L’école classique : * La théorie de Fayol (1910) s’appuie sur les points suivants: Spécialisation des tâches Standardisation des opérations Unité de commandement Centralisation de la prise de décisions Organisation par département. * * La théorie de Taylor (1911) s’appuie sur les points suivants: La spécialisation Décomposition La recherche de la meilleure méthode pour réaliser une tâche La mise en place

transforme des ressources : fonction de production * Organisation qui gère des moyens : fonction de répartition et d’allocation des facteurs de production (revenus) Critère de taille (nombre de salariés, 2008) * Rôle important : 94% entre 0 et 99 sal ; 5% entre 100 et 499 sal ; 1% + de 500 sal. * Taille réduite = difficulté pour se trouver des ressources et se développer Critère de secteur d’activité (INSEE, 2009) * Service = 50% * Commerce = 20 % * Industrie et construction =

à une préoccupation majeure du management, pourtant elle ne se traduit pas souvent dans la recherche en contrôle de gestion. Ceci peut être dû à l’une des deux raisons suivantes. D’une part, il semble que l’apparence première de simplicité du lien entre contrôle de gestion et communication s’accompagne d’une certaine incapacité à en saisir concrètement des éléments opératoires pour résoudre les problèmes qu’ils posent dans l’entreprise. D’autre part, l’intangibilité et la multidimensionnalité de la

à une préoccupation majeure du management, pourtant elle ne se traduit pas souvent dans la recherche en contrôle de gestion. Ceci peut être dû à l’une des deux raisons suivantes. D’une part, il semble que l’apparence première de simplicité du lien entre contrôle de gestion et communication s’accompagne d’une certaine incapacité à en saisir concrètement des éléments opératoires pour résoudre les problèmes qu’ils posent dans l’entreprise. D’autre part, l’intangibilité et la multidimensionnalité de la

différences qu’il y a dans le milieu des affaires et pourquoi tous les individus ne négocient pas et ne conclue pas des contrats de la même manière. Selon Guy-Olivier Faure1, dans son article « Stratégie Chinoises de Négociation » évoque les différences entre la négociation chinoise et la négociation chinois. La culture en entreprise chinoises est influencée par le confucianisme basé sur des valeurs de loyauté, courtoisie, modestie ect. Lors des négociations, la hiérarchie est verticale et hautement

logique d’adaptation de l’organisation au regard aussi bien de son environnement que d’elle-même. Les individus sont rationnels. Ils agissent de telle sorte qu’ils puissent maximiser leurs bénéfices et minimiser leurs risques. Toute action collective entre de tels acteurs devient un problème d’organisation. La motivation occupe une place essentielle dans la conduite du changement et fait appel à un degré plus ou moins important de communication. K.E. Weick part des postulats suivants : - les organisations

consuméristes Source : Michel Godet, 1997 Les forces qui commandent la concurrence au sein d'un secteur Entrants Potentiels Menace de nouveaux entrants. Fournisseurs Pouvoir de négociation des fournisseurs. Concurrents du Secteur Rivalité entre les firmes existantes Clients Pouvoir de négociation des clients. Menace de produits ou services substituables. Substituts © M PREURE 2008 Source : Michaël Porter L’entreprise est un lieu de production et d’échanges de biens et services

Source : Michel Godet, 1997 Les forces qui commandent la concurrence au sein d'un secteur Entrants Potentiels Menace de nouveaux entrants. Fournisseurs Pouvoir de négociation des fournisseurs. Concurrents du Secteur Rivalité entre les firmes existantes Clients Pouvoir de négociation des clients. Menace de produits ou services substituables. Substituts © M PREURE 2008 Source : Michaël Porter L’entreprise est un lieu de production et d’échanges de biens

Le but pour l’Homme est la recherche du meilleur salaire possible / temps de travail. Quant à lui les capitaux ont pour objectif de mettre les profits de l’entreprise au maximum. Une bonne entreprise résulte donc de l’équilibre qui peut être fait entre le travail et le capital. Qu’est-ce que le bien commun ? Le bien commun correspond au bien qui met tout le monde en accord dans l’entreprise. Le bien pour lequel chacun travail. Ce bien correspond au client. Satisfaire celui qui commande dans l’entreprise