Provinces illyriennes

deux brèves interruptions : l'occupation vénitienne de 1508-1509 et l'inclusion dans les provinces illyriennes napoléoniennes. Plus précisément, la ville (aux noms bilingues de GÖRZ - GORIZIA fait partie de la monarchie autrichienne (empire d'Autriche), puis Autriche-Hongrie (Cisleithanie après le compromis de 1867), chef-lieu du district de même nom, l'un des 11 Bezirkshauptmannschaften dans la province du Littoral autrichien2. Le roi Charles X est mort à Goritz en 1836 et est inhumé dans

prêtres à renoncer à leur foi et détruit tout signe d’appartenance à la religion chrétienne. A Nevers, il promulgue un décret selon lequel toute enseigne religieuse se trouvant sur le domaine publique doit être détruite. Aux portes des cimetières des provinces, il fait dresser l’édifiante inscription : «La mort est un sommeil éternel». ) C’est la Terreur ! C’est à Lyon, en octobre 1793, que Fouché révèle toute l’étendue de ses « capacités ». Fin mai 1793, la ville de Lyon, qui comptait à cette époque

dans le 3è siècle, est secoué par des crises à la fois militaires – Rome est attaquée de partout -, économiques et politiques. Puis, après être passé au bord de l’implosion au milieu de ce troisième siècle, l’Empire s’est relevé grâce aux empereurs illyriens (qui venaient en majorité de la région d’Illyrie, région d’Europe de l’Est). Ces empereurs ont mis fin à l’anarchie qui régnait dans leur nation mais leurs règnes salvateurs furent courts et Dioclétien leur succéda et assura la continuité de leur

ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L'INTERIEUR SECREfARIATGENERAL Rabat, le 6D31 LE MINISTRE DE L'INTERIEUR A MESSIEURS LES WALIS ET GOUVERNEURS DES PREFECTURES ET PROVINCES DU ROYAUME OBJET: Initiative Nationale pour le Développement Système d'information et de suivi Humain Pour d'information tableaux simple permettre la délégation des crédits à l'INDH INDH et le suivi des opérations, un système des et de suivi spécifique est mis en place. Ce système se compose

la démocratisation du système politique en Rd Congo a donné une opportunité aux provinces de jouir de leur autonomie administrative et financière tout en comptant sur la mise en place des institutions comme l'assemblée provinciale et l'exécutif provincial, dont la dernière est instituée par ordonnance présidentielle après élection au suffrage universelle indirecte du gouverneur et son vice par les députés provinciaux. Les prérogatives constitutionnelles dévolues aux assemblées provinciales concernent

juridique, passage de 40 à 100 provinces (plus petites) ce qui permet que par le biais du gouverneur, le prince soit plus présent, plus fort contrôle etc. Cadre géographique : déterminer grandes zones : Nord de la Méditerranée, péninsule ibériques, les Gaules, + territoire qui se construit et qui s'agrandit pendant la période. Certaines logiques : à la base, territoires marqués par sociétés plutôt tribales etc. Interventions : on part du centre du pouvoir vers les provinces. Pas un sujet des réactions

Dans une étude rédigée le 24 août 1959, A Stenmans, sécrétaire du gouvernement, envisageait les avantages et les inconvenients du fédéralisme. A cette date, seules les provinces les moins évoluées d'Equateur, d'Orientale et du Kasai restent fermement attachees aux thèses unitaires. Ailleurs, sous l'influence des colons (Kivu, Katanga), ou de particularismes propres a une region plus évoluée (Bas-Congo), la these federalistes risque de l'emporter. Dès lors, il n'est plus question de conserver

comme par exemple les procès-verbaux, sont rares et souvent incomplètes. Le système de gouvernement repose sur des assemblées et sur des mandataires. Le trésorier-procureur est chargé de tenir les comptes et représenter le village. Rares sont les provinces où les communautés ont vraiment un pouvoir de justice. Les assemblées délibèrent indépendamment de toute autorité. Les seigneurs ne sont pas présents aux assemblées sauf dans les dernières années de l'Ancien Régime. L'assemblée peut débattre librement

L'impôt constitue un prélèvement obligatoire effectué par voie d’autorité par la puissance publique (État, collectivités territoriales, provinces, régions et départements, cantons, pays, communes, etc.) sur les ressources des personnes vivant sur son territoire ou y possédant des intérêts. Ce prélèvement est destiné à être affecté par l'intermédiaire des budgets publics aux services d'utilité générale1. Dans les États démocratiques, le pouvoir de fixer, de lever et d'affecter l'impôt est de la compétence

centralisation : parfaite concentration du pouvoir. L’état est la seule personne publique sur l’ensemble du territoire national et les organes centraux détiennent tous les pouvoirs de décision ==> morcellement départemental pour unifier les provinces et contrôler l’ensemble des activités sur le territoire. La déconcentration : délégation des compétences à des agents ou organismes locaux appartenant à l’administration de l’état. *La déconcentration repose sur un pouvoir hiérarchique, la position