Registre sensoriel

LE REGISTRE FANTASTIQUE REGISTRES LITTERAIRES On appelle registre littéraire (ou « tonalité », « ton ») l’ensemble des caractéristiques d’un texte qui provoquent des effets particuliers sur le lecteur ou le spectateur. Le registre littéraire indique ainsi l’émotion que l’auteur cherche à susciter chez le récepteur : rire ou sourire, joie, exaltation, admiration, indignation, colère, tristesse, pitié, doute, peur, angoisse, … Dans un même texte, on peut trouver plusieurs registres et aucun

collective… 1. Les prémices de la guerre (vers 14 à 16 région de l'invasion, vers 6 à 9 les verbes de mouvement = préparatifs de guerre, champ lexical de la guerre et désignation des soldats et des armées adverses, allitérations en [m], [r]) 2. Le registre épique (pluriels, champ lexical du combat, de la mort, gradation, ampleur de la guerre « artères ferrovières », champ lexical de l'apocalypse dans la troisième strophe…) 3. Les figures du sujet (le sujet naïf = le poète, ses sentiments ; le sujet

« il faut que je lui sois fidèle »(l.84), en rejetant toute responsabilité sur Don Juan , et non sur lui.  c) Un personnage ridicule mais attachant. Niveau de langage parfois familier : « pourceau »(l.65), « billevesées »(l.67), « épouseur »(l.72) registre pathétique évoquant sa souffrance qui ne provoque pas la pitié mais le rire : « qu’il me fait voir tant d’horreurs que je souhaiterais qu’il fût déjà je ne sais où »(l.82-83), réflexion absurde et peu précise. Foi religieuse reposant sur la peur et

rimes sont croisées. En quoi peut-on dire que ce poème appartient au romantisme ? Nous allons étudier l'emploi des registres dans ce poème Le poète exprime son « moi » profond Victor Hugo exprime ses sentiments et se plaint tout au long de son poème → « Je suis seul, je suis las » V.17 Cela apporte donc de la tristesse et une certaine mélancolie à celui-ci. Il emploi le registre lyrique et élégiaque → « Je suis triste, et je marche au bord des flots profonds » V.11 Le poète exprime son passé

genre, de la tonalité, des visions du texte. Etablir une sorte de "carte d'identité" du texte, en le replaçant : dans une forme de discours (narratif, descriptif, argumentatif, explicatif). dans un genre (roman, théâtre, poésie, essais). dans un registre (lyrique, tragique, polémique, pathétique, comique, fantastique, réaliste, épique). dans un mouvement culturel ou littéraire, un courant esthétique (humanisme, classicisme, romantisme, surréalisme, nouveau-roman). dans des contextes : historique

rapport à l'Antiquité. On remarque que nous sommes en présence de beaucoup de présent, d'adverbe, de marques à la première et à la deuxième personne du singulier on peut donc voir que l'on est en présence d'une poésie de discours. «Tu es las» c'est un registre soutenu, le refus de la tradition se retrouve aussi dans la déictique (mot renvoyant à la situation de départ). c) L'intégration de la modernité. On a une intégration de la modernité avec le Tour Eiffel qui est une sorte de muse, c'est l'éloge de

Faire devenir son valet noble et le faire aimer de la reine pour se venger. Pardonne. C'est la dernière scène : le dénouement. Mort, amour, Le personnage n'a pas peur de la mort. Texte C : Approche de la mort. N'arrive pas à s'y faire. Autre registre : comique de répétitions, de langage «Un porc qu'on egorge». Exprime sa detresse en criant sa mort au peuple. «Au secours ». Il a peur. Le roi se rabaisse. Question : Quelle est l'attitude des personnages face à la mort ? Penser au genre, aux

à un apologue c’est-à-dire l’exposé d’une pensé morale illustrée par un récit, l’extrait porte la morale Implicite développée (la bonté, la tendresse, la vertu du monstre), l’extrait encourage la belle de se défier de toute forme de préjugé. Le registre pathétique est prédominant notamment dans le dernier paragraphe : « pauvre monstre, épouvantable, grande conception, bien dommage ».

à son fils, au frère de Simon et Jeanne. . Dans la «Lettre au père», le bourreau est vouvoyé, les paroles sont lourdes de mépris, faites comme pour atteindre, blesser le destinataire Dans la lettre adressée au fils le destinataire est tutoyé, le registre est davantage poétique par le recours aux images, les effets de répétition, d'anaphore:« Je t’ai cherché en regardant le ciel, Je t’ai cherché au milieu des nuées d’oiseaux » (lignes 1,2). Cette anaphore traduit la quête vaine qu’à mener Nawal pour

temps verbaux et leurs valeurs. Point de vue adopté par le narrateur ? Commentez la construction des phrases, le lexique employé, identifiez les champs lexicaux s’il y en a, présentez le cadre spatio-temporel, évoquez la tonalité du texte et les registres de langue, etc. Pour les questions : - Il faut répondre de manière rigoureuse en classant les éléments de la réponse - Il faut rédiger les réponses Organisation du devoir    Introduction :   - Annonce du thème, phrase d'ouverture qui intègre