Reinette

de 200 à 500 tonnes pour ses premières années. * En 1996, la coopérative été représentée par un commercial, et un chauffeur. * En 2000, une deux nouvelles productions viennent s’ajouter aux activités de la coopérative, celles de la pomme reinette et la châtaigne. * L’oignon doux des Cévennes bénéficie de l’AOC (appellation d’origine contrôlée) depuis octobre 2003. Actuellement : * la coopérative compte parmi ses effectifs 13 salariés : un chef de station, un agréeur, un chauffeur

l’âge du personnage ( + de 50 ans ) - périphrase «  plus d’un demi-siècle » permet d’insister sur son âge - « articulation noueuse » insiste une fois de plus sur son âge = maladie articulaire* - comparaison de son visage avec la pomme de reinette (l 4-5) «  plus plisser qu’une pomme … » comparaison hyperbolique. Ici, paradoxe car normalement la pomme renvoit à la fraicheur, la grâce = Ironie Flaubertienne (regard ironique et méchant non sur le personnage de Catherine Leroux, mais qui s’attaque

Acidocétose Hyperglycémie (> 4g/L) Polydipsie Cétose Acidose - Respiration de Küzssmaul Glycosurie massive (> 100g/L/24h) (gde respi, arrêt) Odeur pomme - Nausées, vomissements Reinette surie de Polyurie l’haleine + urines Diurèse osmotique (eau va du milieu intra vers le milieu extra C’R) Perte de liquide + électrolytes Hypo perfusion rénale Déshydratation intra et extracellulaire Le coma acidocétonique

ses pauvres vêtements . Un peintre n'aurait qu'à suivre à la lettre ces brèves indications : il y trouverait jusqu'aux dimensions et aux couleurs . ses mains ; Le visage est maigre, plus plissé de rides qu'une pomme de reinette flétrie . → compare ce visage à une pomme de reinette On voit quelle scrupuleuse exactitude Flaubert apporte dans les moindres détails . Pour expliquer l'aspect sale de ces mains → rappelle quelques-uns des pénibles et rebutants travaux de la ferme ; et il use de termes à

physique de la servante : son visage et ses mains. Ces deux éléments signalent, à leur tour, l’importance du travail et l’usure de la servante. Ainsi pour évoquer son visage, le narrateur emploie la comparaison : « plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie » l.4-5 (2 adjectifs : « plissé » / « flétrie » + substantif « rides » + comparatif de supériorité). Les mains, outil de travail, sont le seul élément physique à émerger des vêtements. Longues, les mains se singularisent par leur aspect

expression. 4/ Les éléments descriptifs sont les traits du visage « visage maigre plissé de rides » mais aussi sa tenue vestimentaire « un béguin sans bordure, sa camisole rouge ». 5/ La métaphore employée ici est « plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie ». Puis la comparaison «  à force d’avoir servi, elles restaient entrouvertes, comme pour présenter d’elles-mêmes l’humble témoignage de tant de souffrances subies ». 6/Le registre que Flaubert a choisi est le registre réaliste. On le déduit

» v. 30-31, « le serpent » v. 34 et « le péché originel » v. 35) ; à la mythologie (les pommes d’or du jardin des « Hespérides » v. 33) ; à l’agronomie et à la culture agricole (les différentes variétés de pommes : « Canada », « la Normandie, la Reinette et l’Api » v. 33, la pomme d’ « arrosoir » v. 32, les arbres fruitiers en « espalier » et la pomme de terre avec « Parmentier » au même vers), à la science (avec Isaac Newton et sa théorie de la gravitation universelle v. 38-39), à l’histoire (avec

région du Languedoc-Roussillon par ses produits. A) Evolution de la coopérative En 1991, l’appellation « Origine Cévennes » est née, 30 producteurs là représentaient. Les produits étaient et le sont encore ; l’oignon doux, la pomme reinette et la châtaigne. Puis une coopérative a été crée en 2000, grâce au regroupement des producteurs de la région. Leur volonté était de réunir leur production, mettre des moyens à leur production afin de mieux la valoriser. Ils ont su valoriser leurs

l'auteur évoque ses porpres pensées, faisant évoluer la focalisation jusqu'à présent externe en focalisation omnisciente. Il décrit son physique d'après lui, usé par le travail; d'abord son visage « maigre », « plus plissé de rides qu'une pomme de reinette flétrie », l.4 et 5, avant de s'attarder longuement sur ses mains « encroûtées, éraillées, durcies », « sales », l.7 et 8, celles-ci étant visiblement « l'humble témoignage de tant de souffrances subies » l.10, dans le passé. Il finit ensuite par

personnage en question est décris minutieusement et aussi des fois construit avec des méthaphoes ou des comparaisons comme dans le texte de Flaubert l.3 " Son visage maigre,entouré d’un béguin sans bordure,étais plus plissé de rides qu´une pomme de reinette flétrie" ou soit dans le texte de Marcel Proust "elle était rongée comme une de ces belles tetes antiques trop abimées" et dans l’amant l.82 "Le corps est mince,presque chétif,des seins d’enfant encore" .ou ils insistent sur la description anatomique