Rhapsode

savais pas ce que sont les enfers ; et ne pouvant juger lequel des deux vaut le mieux, j’ai préféré une misérable goriole à la vie. Aujourd’hui je sais ce qu’il en est, combien cette gloire est inutile ; et malgré ce que chantent là haut tous ces rhapsodes, les morts sont tous égaux. Notre beauté, Antiloque, notre force ne nous suit pas ici ; nous sommes campés, tous semblables dans les mêmes ténèbres, sans que rien nous distingue. Les ombres des Troyens ne me craignent plus, celles des Grecs ne s’inclinent

organisées par Pisistrate en 566 av. J.-C. et étaient inspirées des jeux olympiques. Pisistrate y ajouta également des compétitions de poésie et de musique, présents dans les jeux néméens mais absents des jeux olympiques ; par exemple, un concours de rhapsodes où l'on récitait des poèmes homériques. Ce fut également le tyran qui distingua Panathénées annuelles et Grandes Panathénées, fêtes à l'opulence plus renforcée encore et qui avaient lieu tous les quatre ans. L'itinéraire emprunté débutait en dehors

nature d’un individu d’être déjà un artiste accompli ? I- L’artiste est-il un élu ? - Dans les sociétés humaines, les artistes ont toujours eu une place particulière, une place comparable à bien des égards à celle des individus de religion. Du rhapsode grec au poète romantique du 19e siècle, les artistes se donnent comme « inspirés », « habités », ils ont été choisis pour entretenir une relation à la vie purement esthétique, sacrifiant tout à l’idéal de beau (Ion, Platon). - Si, comme c’est le

Agaristè Périclès Zeus libérateur - Eleuthérios Maiandros (Samos) – Télésarchos Kypsélos Périandre Mélissa Thrasybule Lieux Mégare Sicyone Delphes Thèbes de Béotie Samos Corinthe Milet Noms communs Politique Tyrannie Rhétorique Prytane prytanée Rhapsode Héroon Agora Aisymnètes - Tyrannie élective Viager Exilé Proclamer Régent Téménos Despote sceptre talent (unité) sacerdoce peste héraut dépôt Tyrannie, in Lexique Dalloz : Dans la pensée grecque antique, désigne le régime politique dans lequel

bouleutes, éphèbes et métèques. Les femmes se trouvaient sur les gradins les plus élevés. La tragédie : La tragédie, ou le “chant du bouc”, met en scène le héros à l’instant le plus tragique de sa destinée. L’épopée : Elle trouve son origine des rhapsodes qui, aux VIe et Ve siècles, chantaient des passages saillants de l’Iliade et de l’Odyssée. La comédie : La comédie, ou “chant du cosmos” (cortège de Dionysos), fait prendre conscience au spectateur des problèmes majeurs de l’existence par le rire

Homere > 750 av n. è. - 323 av n. è. 1488 : 1ere impression en grec. Aède > chanteur qui compose et s'accompagne d'un instrument : pharminx L'Odyssée > 12 000 vers, hexametre > 6 mesures. / dynamique de l'oral Rhapsode > chantaient les vers d'Homère. Homère veut recréer un monde héroïque et archaique dont la valeur est plus poètique qu'historique. Epopée > long poème où le merveilleux se mêle au vrai, celebrer un heros ou un gd fait epique. L'Odyssée : frontiere minime entre

conserver plus facilement un savoir: poésie didactique. Elle contient et transmet un enseignement. Dans l’antiquité, on a écrit des traités en vers: Traité de l’agronomie, par Caton l’Ancien, Traité d’astronomie; L’épopée d’Homère. Au départ les rhapsodes apprenaient par coeur les récits pour les déclamer. La poésie apparait donc avant la prose grâce à la forme stricte des rythmes, etc.. pour permettre de retenir les choses. Les muses par exemple, sont les filles de la mémoire. Valéry dit: «La poésie

On a donc pu parler de l'« invention » d'Homère. Pour Martin L. West, le personnage a été inventé par les érudits athéniens du VIe siècle av. J.-C. Pour Barbara Graziosi, il s'agit plutôt d'un mouvement panhellénique, lié aux représentations des rhapsodes à travers l'ensemble de la Grèce. Œuvres Les 7 premiers vers de l'IliadeL'Iliade et L'Odyssée sont attribués à Homère dès le VIe siècle av. J.-C. On lui reconnaît également l'œuvre épique comique Batrachomyomachia (littéralement « la bataille

l’aurait dansée après la victoire des dieux sur les Géants. Frise des Panathénées montrant les sportifs B . Les concours de musique et de poésie . Les concours de poésie consistaient à réciter des poèmes d'Homère*, et aussi des concours de rhapsodes, où l'on récitait des poèmes homériques. Il y avait des concours de chants de cithare ou de flûte, des danses de la pyrrhique par des éphèbes nus, et d'autres formant un chœur cyclique . C . Les récompenses . Une Amphore panathénaïque. Page

l'interprète "vulgarise" et partager avec autrui le fruit de sa science, cette capacité propre à entrer dans l'intimité du signe reste une prérogative mystérieuse et pour une part irrationnelle. C'est pourquoi Platon finit par décerner à Ion, le rhapsode, le titre d'homme divin plutôt que d'homme de a science ou de l'art. L'ambition de l'interprète est donc de porter le message recelé dans les signes à une transparence optimale : la bonne traduction est celle qui ne laisse de côté aucun détail et