Rhapsode

137 Aède: poète grec qui chante en publique des poèmes épique qu'il improvise en s'aidant d'un fond de légende et d'un formulaire existant. Chanteur qui s'accompagne d'un instrument: le phormyx (sorte de lyre). C'est aussi un créateur. Rhapsode = chanteur grec qui récite des poèmes appris par coeur. QU'EST-CE QUE LA QUESTION HOMERIQUE? CF: La querelle des Anciens et des Modernes. C'est la remise en cause de l'existence d'Homère, de l'unité internes de ses poèmes et de l'authenticité

Sophiste ⇾ Socrate relativisme, il n’y a pas de vérité, la parole des sophistes est la parole des hommes profane, pas dans l’idée de dieu ne sont pas inspirés Rhapsode ⇾ quelqu’un qui chantait, qui interprétait, qui découpait les textes qu’il avait choisi transcendance (se réfère à qqch qui dépasse le poète, et encore plus le rhapsode), il ne comprend pas vraiment ce qu’il dit Poète ⇾ transcendance, la poésie est originairement la parole de Dieu vérité transcendante, mais ne la comprend

le trompe avec Arès. L’Iliade Référence voir fiche 2 L’Iliade nom d’une épopée, d’un chant qui est récité par le poète l’Aède accompagné d’une lyre. Il faut 27h pour chanter entièrement le poème qui est inspiré pal la divinité, la Muse. Rhapsode = récitent avec la lyre, mais n’invente pas. Homer est le premier poète de la mythologie, il créa l’Iliade et ‘Odyssée. Mais nous ne sommes pas sure de son existence. A cette époque les poètes étaient au service des aristocrates et du peuple qui

Les panathénées : Les premières grandes panathénées furent organisées par Pisistrate en 566 av. J.-C. et étaient inspirées des jeux olympiques. Pisistrate y ajouta également des compétitions de poésie et de musique; par exemple, un concours de rhapsodes où l'on récitait des poèmes homériques. Ce fut également le tyran qui distingua Panathénées annuelles et Grandes Panathénées, fêtes à l'opulence plus renforcée encore et qui avaient lieu tous les quatre ans. A_ procession du péplos : Les festivités

lecteurs. Le nain, figuration de cet auteur multiple et anonyme, n’a pas de nom : son nom est “Fable”. Il n’est pas auteur, mais rhapsode : il coud ensemble des chants d’origines diverses. Son chant ne lui appartient pas, puisqu'il n’en invente pas la matière. Mais ce chant n’est pas non plus un plagiat, car cette matière ne devient oeuvre qu’au moment où le rhapsode la profère. Sans le support de la voix, elle n’est qu’un limon déposé dans la mémoire collective ; sans forme fixe, puisque sans auteur

fortes et puissantes mais seule la beauté n’est évoquée en émettant des allusions sur la culture de l’Antiquité gréco-latine. Qui-plus-est, les poèmes se composaient obligatoirement Ainsi, il est parfois difficile de différencier les textes de ces « rhapsodes » comme l’atteste de nombreux poèmes du recueil L’Olive (1550) de du Bellay et de Sur la mort de Marie (1578). Dans ce cas-ci, les contraintes données par le mouvement poétique sont un obstacle quant à l’expression libre mais surtout originale

 ce serait tellement beau d’y croire !   Résolument, le poète ravive les espérances ! Analysée seule, la conception du poète­professeur est attestée par de nombreux  exemples.  Victor Hugo en est l’un des plus ardents promoteurs, lui qui voit dans le  rhapsode un guide qui montre aux hommes la voie de la vérité et leur enseigne des  secrets que lui seul est à même de percevoir, tel le philosophe de Diderot : « Peuples !  Écoutez le poète ! ».  Une telle notion n’est pas neuve et semble même inhérente au genre poétique

original poem was composed in an oral tradition by an aoidos (epic poet/singer), perhaps a rhapsode (professional performer), and was intended more to be sung than read. [ 1 ] The details of the ancient oral performance, and the story's conversion to a written work inspire continual debate among scholars. Le poème original a été composé dans une tradition orale par un Aède (poète épique / chanteur), peut-être un rhapsode (interprète professionnel), et était destiné à être chanté plus que de lire. [1] Les

mythes et légendes, ici mis en parallèle avec le poète. L’élément sans doute essentiel est le pronom « je » du troisième vers. En se définissant joueur de « fango-fango », le poète prend position, respecte les coutumes et poursuit l’entreprise des rhapsodes antiques. Le rôle du poète est celui d’un historien. Par la « description des paysages », on songe aux peintres qui accompagnaient les explorateurs pour croquer ou peindre les découvertes des voyageurs. A cela s’ajoute la « relation des contrées

conduire à une vie vertueuse et au bonheur de la communauté humaine. Si l’Iliade et de l’Odyssée ne peuvent être avec certitude attribués intégralement à un homme précis, Homère (IXe siècle av. J. -C), mais correspondent à toute une tradition orale de rhapsodes qui récitaient par cœur ces épopées, il en va tout autrement des dialogues de Platon. Il s’agit de textes écrits, qui étaient publiés et qui circulaient à Athènes. Sur vingt-sept titres qui nous ont été transmis, vingt et un portent le nom d’un homme