Réquisitoire Contre La Peine De Mort

Victor Hugo, Le Dernier jour d’un condamné, préface de 1829. l.1 « disent », il ne s’implique pas, il n’y a qu’eux, ce ne sont que des mort, ils n’ont pas la même valeur que des extraits. « ceux », il montre du doigts, met à distance. Thèse = idée / position / opinion (défendue) Thèse réfutée Thèse défendue, soutenue. = remise en cause, = ou niée, = ou opposé (bof…). Antithèse = l’opinion opposée à celle énoncée par la thèse. 4 alinéas. Le 3ième alinéa n’est pas amorcé

CHAPITRE 1 : LA PEUR INSPIRE PAR L’INFRACTION, TROUBLE A L’ORDRE PUBLIC. S1. Période Classique La répression a été synonyme de vengeance, mais avec le temps, il a évolué vers celui de justice. P1. La répression vengeresse. a. la vengeance La peine causée par l’offenseur pour la satisfaction personnelle de l’offensé. La vengeance est une faiblesse, se sont les faibles qui cherchent à se venger. Sentiment presque animal, mais c’est pourtant par la réaction de vengeance qu’est né le droit pénal

d’acuité que chez Beccaria qui lui accorda une importance inédite. • L’Etablissement des bases et des limites du droit de punir par la recommandation de proportionner la peine au délit. En dénonçant la cruauté de certaines peines comparées aux crimes commis, il juge barbare la pratique de la torture et de la peine de mort et recommande de prévenir le crime plutôt que de le réprimer. • L’ébauche du principe de la Laïcité quand il préconise la séparation des pouvoirs religieux et judiciaires

on a couramment recours à la peine de mort, et l’on n’hésite pas à infliger le châtiment suprême à quiconque commet une faute qu’elle soit mineure, telle qu’un simple vol, comme dans Claude Gueux, ou plus importante telle qu’un meurtre. Cependant, Victor Hugo s’y oppose et rédige plusieurs ouvrages dans lesquelles il en plaide l’abolition. Le dernier jour d’un condamné, qu’il écrit en 1828 alors qu’il n’a que vingt six ans, est un réquisitoire contre la peine de mort, prenant partie pour un condamné

il a mis son art au service d'idées sur lesquelles il cherchait à éclairer l'opinion ( telle est la fonction des Châtiments) et traitait des problèmes actuels dans ses œuvres (il a publié, par exemple, Le dernier Jour d'un Condamné, réquisitoire contre la peine de mort). II Pourquoi cet engagement ? En 1848 a éclaté une nouvelle révolution, entraînant alors l'abdication de Louis-Philippe. Hugo, persuadé que la régence de la duchesse d'Orléans serait une solution pour la France, est descendu sur

moment : cf hyperboles Þ intensité de la découverte (« un instinct formidable comme une vague » + comparaison ici, « aveuglément entêté », « bien plus vertigineuse…. ». Journée fondatrice : marque l’engagement de Tarrou ¹ tout ce qui peut donner la mort. 2/ Une rhétorique persuasive : a) Long discours destiné à susciter la sympathie de Rieux et derrière du lecteur pour l’inculpé : Ø Présenté sous les traits d’un être faible, inspirant la pitié (« petit », « pauvre »), et jeune (« une 30aine

On comprend bien ce qu’était la discrimination raciale et les violences faites au peuple noir. Citation : « Les hommes du Klan étaient vraiment très dangereux. Ils pouvaient vous blesser ou vous tuer sans aucune raison et on ne pouvait rien faire contre cela. J’avais peur de marcher sur la route la nuit, à cause des hommes du Klan. Il n’y avait aucun revêtement sur les routes en ce temps-là. Quand je marchais le long d’une route la nuit, je passais mon temps à me retourner. Quand une voiture arrivait

Commentaire Le texte que nous allons étudier est un extrait de Le Dernier jours d’un condamné. Un  roman de Victor Hugo publié en 1829 chez Gosselin, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. Il met en scène les réflexions d’un condamné a mort avant son exécution. Ce roman à pour but de critiquer la peine de mort à une époque où la question de l’abolition s’est posée. On pourra donc nous demander comment l’auteur arrive à nous retranscrire l’état d’esprit du condamné avant

à la curée et finit par intervenir, vibrant d'indignation. Présentation du passage : il s'agit d'un violent réquisitoire, aux accents épiques et romantiques, contre la corruption et la vénalité des Grands d'Espagne qui pillent le royaume d'Espagne, au détriment d'un peuple accablé et exploité. Problématique : Comment RB dénonce-t-il l'infamie des Grands d'Espagne ? I) Un violent réquisitoire ... a) Une cinglante apostrophe – Ironie féroce de l'apostrophe initiale fonctionnant par antiphrases « Bon

polémique. Victor Hugo avoue hautement que le dernier jour d’un condamné n’est autre chose qu’un plaidoyer direct ou indirect pour l’abolition de la peine de mort. Il voulait que son texte soit la plaidoirie générale et permanente pour tous les accusés présents et à venir. Il attend d’être reconnu pour avoir dénudé et posé la question de la peine de mort. II- Les arguments de Victor HugoIl veut faire connaître ses idées, il soutient la thèse de l’humanité. Il cherche à convaincre les juges de modifier