Schizophrénie

EVALUATION 3.1 ET 5.2 Date, motif d’entrée et/ou prise en charge Me I. Corinne est entrée le 13/05/11 à l’unité Charcot pour décompensation d’une schizophrénie paranoïde avec errance pathologique et trouble du comportement. En effet, dernièrement, le 7/05/11, elle a été retrouvée nue dans le tramway et les pompiers l’ont directement transporté au Service d’Evaluation de Crise et d’Orientation Psychiatrique du centre hospitalier de Charles Perrens afin que un médecin évalue sur place sa situation

suite à sa schizophrénie. Elle est née le 26 juin 1943 à Montigné le brillant, elle à aujourd'hui 71ans. Après avoir obtenu le niveau BEPC, elle a travaillé pendant 16 ans comme employée de bureau. Elle à ensuite travaillé à l'URSSAF à Laval jusqu'à sa retraite. Elle a toujours été célibataire et n'a pas eu d'enfant. Elle n'a donc pas de famille proche, seulement une amie. Mme B. est entrée en psychiatrie pour des crises d’épilepsie généralisée ainsi qu'une psychose. La schizophrénie est un trouble

|VRAI. | | |Trouble bipolaire ou trouble maniaco-dépressif. | | |Schizophrénie. | | | |Vrai ou faux ? La Fluoxétine (le Prozac) agit beaucoup|Définition de concept. Comment appelle-t-on

par des troubles des relations interpersonnelles, peu d'intérêt pour autrui, intérêt parfois compulsif pour certains objets, langage pauvre, comportements stéréotypés, angoisses primitives, absence de jeu etc.... Winnicott parle d'autisme ou de schizophrénie infantile ou psychose infantile. Angoisses primitives : « d'anéantissement, d'annihilation », « de morcellement », « de vidage ». Air transitionnel : Espace intermédiaire entre la psyché maternelle et la psyché de l'enfant. Elle correspond à

Les schizophrénies touchent 1% de la population mondiale, sans variations notables d'un pays, d'une culture ou d'une époque à l'autre. L’hérédité (?) est un facteur qui accroît le risque à mesure que le bagage génétique augmente. Ainsi, l’enfant naissant voit son risque augmenter de : 5 % s’il a un parent du deuxième degré (oncle, tante, cousin, cousine) qui souffre de schizophrénie ; 10 % s’il a un parent du premier degré (père, mère, frère, sœur) ; 10 % s’il a un jumeau différent qui souffre

fruit de troubles psychiques. En effet bon nombre de suicidés sont des « malades » psychique, pour beaucoup d’entre eux souffrant de schizophrénie, de bipolarité et de dépression. Trop souvent, en générale, se sont les symptômes de la maladie qui pousse l’individu à passer à l’acte. Selon un ouvrage publié en 1991 intitulé risque de suicide dans la schizophrénie ; Le suicide est la première cause de mortalité chez les schizophrènes. 10 à 13% se suicident et environ 20 à 40% font des tentatives

façon douloureuse, cette angoisse tendant à être atténuée ou évitée par des mécanismes de défense            États psychologiques non symptomatiques d'une atteinte organique démontrable 1)       psychoses maniaques et dépressives 2)      schizophrénies chroniques 3)      délires chroniques 4)      psychoses délirantes aiguës et états confusionnels            Troubles mentaux symptomatiques d'une atteinte cérébrale ou générale démontrable 5)      psychoses alcooliques 6)      troubles mentaux

Patrick , atteint d'une maladie psychiatrique, la schizophrénie , est actuellement interné dans un établissement hospitalier. Pris d'une envie de visiter le centre ville et échappant à la vigileance du personne, il quitte le centre d'internement malgré l'interdiction qui lui en avait été faite. Pris d'une crise de démence en arrivant dans le centre ville, il se dirige lors vers la terrasse d'un café, se munit d'une chaise et détruit la vitrine avant que des passants ne le maitrisent et alertent les

ont été décrits, pour la première fois, par Bateson, Jackson, Haley et Weakland dans une communication intitulée : «Vers une théorie de la schizophrénie», publiée en 1956. Ce groupe de chercheurs a abordé le problème de la communication chez les schizophrènes en partant d’hypothèses radicalement différentes de celles qui voient traditionnellement la schizophrénie comme un trouble essentiellement intra-psychique (désordre de la pensée…) qui affecterait secondairement les relations du malade avec les

en psychiatrie pour la première fois en 1911 par le psychiatre suisse Eugène Bleuler. Il l’utilise pour désigner dans la schizophrénie adulte la perte du contact avec la réalité extérieure qui rend difficile ou impossible pour le patient toute communication avec l’Autre. Plus tard, d’autres auteurs le décriront comme un symptôme particulier, non spécifique de la schizophrénie, et en feront ainsi une pathologie à part entière. 1.2 L’AUTISME Le trouble fondamental le plus frappant est l’incapacité