Schéma Narratif Pauvre Petit Garçon

autant d’éléments que le nombre de cases dans le tableau, ce n’est pas grave ! Essaye d’en trouver un maximum. ELEMENTS FONCTIONS 3 1) Suite à la correction de l’exercice précédent, dessine dans l’encadré ci -dessous un livre. Réalise ensuite un schéma que tu légenderas avec les différents éléments essentiels et constitutifs du livre. (Tu retrouveras un exemple ci-dessous) 4 Décortiquons la couverture d’un livre ! 1) Grâce à la couverture ci-dessus, indique dans le tableau ci-dessous les

Pauvre petit garçon, Dino BIZZATI TEXTE Comme d'habitude, Mme Klara emmena son petit garçon, cinq ans, au jardin public, au bord du fleuve. Il était environ trois heures. La saison n'était ni belle ni mauvaise, le soleil jouait à cache-cache et le vent soufflait de temps à autre, porté par le fleuve.  On ne pouvait pas dire non plus de cet enfant qu'il était beau, au contraire, il était plutôt pitoyable même, maigrichon, souffreteux, blafard, presque vert, au point que ses camarades de jeu

se définit généralement comme la relation orale ou écrite de faits vrais ou imaginaires (Petit Robert). Cette définition sommaire doit être affinée, mais elle a au moins le mérite de nous amener à distinguer ce qu’est la relation et ce que sont les faits. Un récit, quel qu’il soit : roman, BD, conte, roman-photo…, met en œuvre des événements : un contenu narratif et une façon de les présenter : un acte narratif. Pour désigner ce qui est raconté dans le récit, on parle de fiction, et la manière de

Paul Noziere a publié une soixantaine de titres tels que «Le ventre du Bouddha»,en 1990 ou «Rien qu'un jour de plus dans la vie d'un pauvre fou», en 2011. 2/a) La Chanson de Hannah est un roman car c est un long récit fictif dans un contexte historique réel, il y a beaucoup de personnage, de descriptions et de lieux, de plus, je peux observer un schéma narratif. Ce roman est a la troisième personne: «Louis profita de sa bonne humeur»,page 11. Je peux affirmer que cette œuvre est fictive car

| I- Schéma narratif : -situation initiale : Zidore ou Isidore DUVAL, doit s'occuper du cheval , Coco, vieux cheval . Cela consiste à le nourrir, en avoine l'hiver et le déplacer de carré en carré de fourrage l'été. -élément perturbateur: Zidore commence à se lasser d'aller voir l'animal aussi loin, il dit qu'il est inutile de s'occuper de cet animal vieux qui ne sert plus à rien. Il est énervé contre ce cheval et il veut se venger. -péripéties : Isidore cingle les jarrets du pauvre animal ;

une belle caverne. Le narrateur présente la famille. (4) Retour en arrière : Édouard raconte sa conquête du feu. Nouvelle arme : la pointe dur- cie. (5) Conséquences : nourriture plus abondante, les femmes peu- vent rester au foyer. Éducation des garçons : taille du silex, chasse, botanique. (6) Deuxième discussion entre Édouard et Vania (les commandements de l’oncle Vania). Invention de l’art figuratif : Alexandre, frère du narrateur, reproduit l’ombre de Vania. Père et fils dessinent un mammouth

des personnages traditionnels   Traditionnellement :                Dans le roman :  Le roi et la reine                       « le baron de Thunder-ten-tronckh » « Madame la baronne » Un prince et une princesse        « Candide » : « un jeune garçon » « le fils du baron »                                               « Cunégonde » : « sa fille » (du baron) Des domestiques                      « ses palefreniers » « femme de chambre » « ses piqueurs » Un enchanteur (sage)               « Pangloss »

personnages (enquêteur, victimes, kidnappeurs, témoin oculaire…) - Délimiter les différentes étapes du schéma narratif. __________________________________________________________ Activité 2 : Les caractéristiques du récit policier (Cahier d’activités p.19 → 22, étude des différents extraits) Objectifs : - Lire et comprendre un extrait de récit policier. - Retrouver les éléments du schéma du récit. - Découvrir les mobiles d’un acte criminel. - Dégager les caractéristiques d’un récit policier

narre ses aventures dans Paris sous forme d'anecdotes, toutes plus singulières les unes que les autres. Tantôt Baudelaire nous raconte l'appréhension des parisiens vis-à-vis de la nuit, tantôt la causerie à la fois banale et peu commune de quatre garçons au crépuscule, une autre fois il expliquera les élans de la vie qui nous poussent à faire certaines choses irrationnelles, voués par un désir inattendu. Ainsi, à travers un portrait peu avantageux de la capitale, il dévoile subtilement, ou pas, sa

particulièrement représentatif du second mouvement de ce revirement littéraire assez soudain. Celui qui n'avait jamais vu la mer raconte l'histoire d'un garçon nommé Daniel alors qu'il rêverait de s'appeler Sindbad. En effet, Daniel est un fervent lecteur des aventures de Sindbad, si passionné que c'est la seule lecture qu'il réitère sans cesse. C'est un garçon discret, peu bavard, qui ne sort de son mutisme que pour parler de ses sujets de prédilection, les aventures de Sindbad, et la mer. Il pense appartenir