Sentiment Morale De Rastignac

» pour donner un reflet de la réalité humaine. « Le père Goriot » a pour objet l’étude de la figure paternelle sacrifiée à ses enfants. En parallèle de l’histoire tragique du père Goriot on assiste au parcours psychologique et social d’Eugène de Rastignac. On peut le qualifier de roman d’apprentissage. Dans cet extrait Eugène reçoit des informations de sa cousine à propos du monde social. Problématique : Comment à travers ce discours critique de la société se construit le personnage de la vicomtesse 

toucher tout âge, la fable pour les enfants ou il s’en suit une morale avec par exemple La Fontaine qui cite dans une de ses œuvres : « Une morale nue apporte de l’ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui ». Pour les adolescents, il s’agirait plutôt des contes de Voltaire, des contes philosophiques avec par exemple Candide ou Zadig, qui sont des contes plaisants avec des actions mouvementés et ou l’on peut en tirer une leçon morale ou philosophique. De plus, le théâtre est un autre moyen pour

Présentations des questions d’interprétation Itinéraire 3: La Princesse de Clèves  Problématique: En quoi Madame de Lafayette, en transposant au roman l’esthétique classique, a-t-elle fait évoluer la conception du genre ? L’amour doit-il obéir à la morale ? La Princesse de Clèves, « La scène du bal » et « La scène de l’aveu » La construction romanesque, roman et vison du monde, genre romanesque et vraisemblance. La description, la focalisation Répondre à des questions de compréhension Répondre

sorte plus profond, et les têtes se tournèrent vers le nouveau venu par curiosité. Chose inouïe ! les vieillards émoussés, les employés pétrifiés, les spectateurs, et jusqu'au fanatique Italien, tous en voyant l'inconnu éprouvèrent je ne sais quel sentiment épouvantable. Ne faut−il pas être bien malheureux I. Le Talisman 6 La peau de chagrin pour obtenir de la pitié, bien faible pour exciter une sympathie, ou d'un bien sinistre aspect pour faire frissonner les âmes dans cette salle où les douleurs

s'oppose au héros antique ou à celui du théâtre tragique : il n'a pas la grandeur et la noblesse des héros légendaires, il ne représente pas la lutte digne face à un destin implacable. De manière nettement moins glorieuse ou grandiose, il incarne des sentiments et un parcours qui pourraient être ceux des lecteurs. Bien sûr, le protagoniste peut, dans certains romans, vivre des aventures extraordinaires ou faire preuve d'une grandeur admirable. Mais, depuis le xviie siècle, les romanciers cherchent à faire

sorte plus profond, et les têtes se tournèrent vers le nouveau venu par curiosité. Chose inouïe ! les vieillards émoussés, les employés pétrifiés, les spectateurs, et jusqu’au fanatique Italien, tous en voyant l’inconnu éprouvèrent je ne sais quel sentiment épouvantable. Ne faut-il pas être bien malheureux pour obtenir de la pitié, bien faible pour exciter une sympathie, ou d’un bien sinistre aspect pour faire frissonner les âmes dans cette salle où les douleurs doivent être muettes, la misère gaie

Romains de Troyens romancier, décrivit les chevaliers de la table ronde (12) qui devait chercher à tout de rôle le Graal. Perceval atteindra le Graal, mais Galaad, le récupèrera. Ces romans arthuriens sont des aventures féerique et manifeste le sentiment de l’honneur et de l’esprit chevaleresque. Ainsi, Lancelot reprend la reine Guenièvre qu’il emmena « au pays où l’on ne revient pas ». * Roman de la rose : inspirera roman précieux * Roman de Renard : les fables de la fontaine * Roman

gaillard », la construction se développe en trois temps :       - quelques aspects physiques d’abord : « Entre ces deux personnages… ne déplaisait point »;       - puis viennent les traits marquants de la personnalité : « Il était obligeant… tous els sentiments »;       - enfin, les habitudes de vie : « Ses mœurs consistaient… au dessert ».       Donc trois angles d’observation ont été choisis, trois approches tout à fait logiques et bien propres à faire le tour du personnage : le physique, la personnalité

pour cela que seule sa poésie "est infinie, comme elle seule est libre". Non seulement elle se veut infinie, mais elle est "la poésie progressive universelle", c'est a dire qu'elle mêle tous les genres possibles pour peu qu'ils soient imprégnés du sentiment romantique. L'homme subissant les fluctuations liées a son histoire, comment se peut il qu'il demeure le même homme au fil des siècles? Ainsi, être romantique, c'est être le peintre de nouvelles couleurs humaines. Le romantisme est donc un épanchement

sorte plus profond, et les têtes se tournèrent vers le nouveau venu par curiosité. Chose inouïe ! les vieillards émoussés, les employés pétrifiés, les spectateurs, et jusqu'au fanatique Italien, tous en voyant l'inconnu éprouvèrent je ne sais quel sentiment épouvantable. Ne faut−il pas être bien malheureux I. Le Talisman 6 La peau de chagrin pour obtenir de la pitié, bien faible pour exciter une sympathie, ou d'un bien sinistre aspect pour faire frissonner les âmes dans cette salle où les douleurs