Spinoza Explication De Texte

corps exprimait en étendue et en mouvement. Descartes, il est vrai, n'allait pas encore aussi loin : avec le sens qu'il avait des réalités, il préféra, dût la rigueur de la doctrine en souffrir, laisser un peu de place à la volonté libre. Et si, avec Spinoza et Leibniz, cette restriction disparut, balayée par la logique du système, si ces deux philosophes formulèrent dans toute sa rigueur l'hypothèse d'un parallélisme constant entre les états du corps et ceux de l'âme, du moins s'abstinrent-ils de faire

C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter les lois ? (début du livre I). Avançons quelque peu dans la lecture du texte : Rousseau constate en CS, I, I que, quoique l’homme soit naturellement libre, « partout il est dans les fers », c’est-à-dire qu’on observe partout des hommes soumis à un pouvoir qui nie cette liberté naturelle : monarchie absolue, despotisme, confiscation

cette évolution de l'Europe. Il estime que Vitoria a eu raison sur la théorie de libre circulation. Il dit qu'il faut distinguer définitivement le droit naturel et le droit des gens. Son explication: Le droit naturel est un droit qui existe naturellement car issu de la raison divine. Qui n'est pas sans rappeler Spinoza. Une x que Dieu a posé les règles du droit naturel, elle deviennent immuables. C'est la Raison qui permet de constater/découvrir/montrer les r du droit naturel. Ce n'est plus de la morale

comme possible. Analyse/synthèse Lorsqu’on procède à l’analyse d’un texte, on s’efforce d’expliquer le sens des mots et des phrases, afin d’éclairer ce qui est implicite en vue de mieux comprendre le texte. L’analyse peut porter simplement sur la structure de la phrase : on procède alors à une analyse grammaticale (ou logique) des phrases du texte. La synthèse consiste au contraire à saisir l’unité d’un texte, ou l’unité qui relie un ou plusieurs textes à comparer, au-delà de ce qui les

indéniable que le stoïcisme a influencé durablement la pensée chrétienne et les milieux monastiques. Nous pouvons citer l’exemple de saint Jean Chrysostome (347-407) pour illustrer ce propos car il s’est inspiré d’Epictète. On trouve chez lui un texte intitulé : « personne ne peut être blessé sinon par lui- même ». Il n’est bien sûr pas question de faire de cette maxime une loi absolue ; dans certaines circonstances de souffrances, elle apparait même choquante. Des personnes torturées par la haine

vérité perd l'auréole du premier fondement. Cette alternative, la postérité de Descartes l'a transformée en dilemme : d'un côté Malebranche et plus encore Spinoza, tirant les conséquences du renversement opéré par la Troisième Méditation, n'ont plus vu dans le Cogito qu'une vérité abstraite, tronquée, dépouillée de tout prestige. Spinoza est à cet égard le plus cohérent : pour VÉthique, seul le discours de la substance infinie a valeur de fondement ; le Cogito, non seulement régresse au second

de téléphone aurait suffi; nul besoin de mettre sa vie en péril. Pourquoi n'avaient-ils rien fait? Des psychiatres, des sociologues furent conviés dans d'innombrables conférences, émissions de télévision et articles de journaux, à donner leur explication de cet événement de non-assistance à personne en danger que tous jugeaient si choquant, si contraire à l'idée que chacun se fait a priori des réactions qu'il aurait eues en pareilles circonstances. Les uns incriminaient les méfaits de la vie urbaine

commentaires de la notion A. Des droits appartenant à la personne 1- La qualité de droit des libertés fondamentales Cette idée signifie que se sont des facultés, des pouvoirs, des prérogatives qui sont conférés à leurs titulaires par le droit. Explication de l'idée que se sont des données du droit positif: Le langage juridique français n'est pas clair car un seul mot désigne deux choses distinctes, il s'agit du mot « droit » tandis que dans d'autres langues comme l'anglais il y a deux mots law pour

autres sciences sont motivées par les enjeux économiques. Pour dépasser cette opposition, il faut faire de l’épistémologie. Sinon, l’enseignement, de l’économique en particulier, ne serait pas efficace. Les apprenants étant tiraillés entre les explications scientifiques enseignées et les interprétations simplistes du sens commun, largement répandues dans leur vie quotidienne, qui viennent les parasiter. 4 5 Un tel jugement est tel que le prédicat est contenu dans le sujet. Comme, par exemple

de pouvoir livrer une image du monde cohérente et sans lacune qui doit pourtant s’écrouler à chaque nouveau progrès de notre savoir » (p. 214). Sont ici précisément visés les grands systèmes comme l’hégélianisme et le marxisme qui proposent une explication, définitive au moins dans ses grandes lignes, à la fois de la nature, de l’homme et de l’histoire, Ŕ6Ŕ par une « dialectique » capable de dépasser, de surmonter la diversité de toutes les contradictions du réel. L’autre reproche s’adresse