Stupidité

même l'une des chanson les plus connues de la première Guerre Mondiale. De mon point de vue, je trouve cette chanson très juste. Certes, je n'ai pas le droit de juger nos ancêtres, néanmoins, elle a achevé de me convaincre de l'inutilité et de la stupidité de cette guerre. Paroles : Quand au bout d'huit jours le r'pos terminé On va reprendre les tranchées, Notre place est si utile Que sans nous on prend la pile Mais c'est bien fini, on en a assez Personne ne veut plus marcher Et le cœur

yeux, par sa machine même / Celle qu'il veut tenir dans l'ignorance extrême ! ». c) L’ingénuité et l’innocence sont devenues ingéniosité, c’est cette transformation que laisse entendre Horace, quand pour Arnolphe ces deux termes doivent rimés avec stupidité. Pour Arnolphe, l'innocence et l'ingénuité d'Agnès résident dans une ignorance et une passivité absolues; c'est en niant Agnès qu'il s'affirme en tant que personnage (comme nous l'avons vu dans l'étude de la scène 5 de l'acte II). Pour Horace, innocence

époques. Cette pièce de William Shakespeare représente deux jeunes gens fou amoureux et séparés par la cupidité et la haine de leurs familles ennemies, ces mêmes familles qui les conduisirent à leur perte. Shakespeare à bien voulu illustrer où la stupidité humaine pouvait conduire et à quel point l’intolérance n’avait pas sa place au sein de sentiments aussi profonds que la fraternité, l’amitié et l’amour. C’est aussi le cas d’un grand auteur classique du 17ème siècle tel que Jean Racine farouche partisan

proprement stupide de les lui imposer, sous le seul prétexte d’aller faire du dessin en Afrique et pour satisfaire au panache douteux de fixer sur la toile “une débauche de soleil et de lumière” ; il est encore plus condamnable de faire passer cette stupidité pour une belle audace, bien décorative et touchante. On voit comment fonctionne ici le courage : c’est un acte formel et creux, plus il est immotivé, plus il inspire de respect ; on est en pleine civilisation scoute, où le code des sentiments et

rumeur en opposition avec la légende en se moquant de ce bruit qui court. Jean Cocteau manie l’ironie pour montrer aux Français ce décalage qu’il y a entre ce qui est dit et la vérité, il veut se moquer en quelques sortes de ces rumeurs, de la stupidité des gens à penser que les soldats allemands peuvent être capables de couper les mains des jeunes filles sans raison apparente. Ce dessinateur français explique ce que pensent les populations à cette époque là et ne voit que le procédé de l’ironie

montée d'un régime totalitaire. Encore une fois ils auraient du se révoltés, mais n'ont pas agis par peur. Comme vu plus tôt l'indiscipline peut être vu comme courageux, c'est pourquoi dans ces cas on peut considérer l’obéissance comme un signe de stupidité ou de lâcheté. On trouve des cas où des auteurs prône l’indiscipline. Dans Discours de la servitude volontaire de La Boetie, celui ci blâme la servitude volontaire et encourage les peuples à se révoltés contre les règles jugées injustes. « Soyez

(voir tradition du roman espagnol) il est capable de refelexions philosophiques et metaphysiques. Il s’interroge sur la puissnace mysterieuse de la destinée (V,3) id. Zadig de Voltaire * Antonio le jardinier, personage comique mais conscient. Sa stupidité cache une certaine subtilite populaire (II,21) * Bartolo, il est plein de rancune envers ceux qui l’ont berné dans Le barbier de Séville . * Bazile, âme damnée de Bartolo dans Le barbier de Séville, il est dans le Mariage de Figaro, celle

se plaindre, elle devrait réfléchir aux conséquences de ses actes donc vivre avec une certaine modération elle pourra profiter de sa vie. Le dialogue est très serré dans lequel elle ne maîtrise pas sa colère et où le dieu est exaspéré par tant de stupidité et il la laisse en proie à ses maux. Conclusion : Sous forme d’apologue et de petite comédie vivante, La Bruyère chasse un portrait chargé et caricaturé mais aussi à clé où 2 mondes (le divin et l’humain) et 2 époques (Antiquité et époque

despote : retour au champ lexical de l’autorité politique et critique virulente d’O: l’homme est toujours une figure de l’oppression liberticide. un sexe qui ……………intellectuelles: éloge de la femme:elle oppose la stupidité masculine à l’intelligence féminine il prétend…plus :revendication des femmes qui veulent que les acquis de la Révolution leur profitent à elles aussi ; détermination dans la réclamation de l’égalité :les femmes ne demandent rien

entretient un climat de mystère et, surtout, évite le piège du pathétique. Mais qu'y a-t-il derrière ce visage éternellement grimaçant ? Un vide ? Un tourbillon de sentiments ? On pourrait croire à l'impassibilité de Gwynplaine, à sa stupeur ou à sa stupidité : "Gwynplaine ne s'en mêlait pas" (ligne 4) ; "ce rire [...] il ne pouvait l'en ôter" (ligne 5). Dans la multiplication des propositions négatives, on relève la résignation impuissante du personnage. Néanmoins, il est très vite question d'"émotions"