Stupidité

A lala, tout a mon donc, c'est drole comment nous sommes chacun des bebs a un temps et des adultes tellement robot maintenant. 1. a) Qu’est-ce que vous apprenez sur le personnage principal? Dans « L’étranger », réalisé par Albert Camus, j’apprenne que Meursault, le personnage principal et le narrateur de l’histoire, ne se conforme pas aux normes de la morale sociale. Meursault ne comprend pas le monde, et ne comprend pas la fascination que les autres partagent envers la vie. Il ne sent aucune émotion

pamphlet. (pamphlet = un court écrit satirique) la fiction tournée au ridicule « Palais de la stupidité » « sublime Porte » = hyperboles ironiques + nom Joussouff chéribi fait comique, non sérieux juxtaposition de faits ou d'éléments contradictoires qui nous permettent de voir l'absurdité de la situation : « ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des Etats bien policés » « heureuse stupidité » « vertus dangereuses » des termes mélioratifs (=qui améliorent) mais qui dans la bouche du mouphti

sentait usé comme un homme de quarante-neuf ans; à onze, il avait les désillusions d’un vieillard de soixante-dix-sept ans. Aujourd’hui, à vingt-cinq ans, espérant une vie plus douce, Antoine prit la résolution de couvrir son cerveau du suaire de la stupidité.» Dès le début du premier roman de Martin Page, le décor est clairement planté. Antoine, un éternel étudiant ouvert à tellement de matières qu’il n’obtient au final aucun diplôme, décide de changer radicalement de vie, de devenir stupide. Après mûre

tandis que d’autres trouvent qu’elle est trop stricte et préfèrent laisser leur progéniture dans l’ignorance ou encore dans la stupidité. Cela nous amène à une citation de Bertrand Russel, « Les hommes naissent ignorants, mais pas stupides. C’est l’éducation qui les rend stupides ». Afin de comprendre cette citation, il faut comprendre la différence entre ignorance et stupidité. Quelqu’un de stupide, selon Larousse, est une personne qui manque d’intelligence, de jugement et de réflexion. Alors qu’un

que du tort et bien plus Je défendrais , et j'userais de tout les outils que j'aurais appris et maitrisé pour aider et soutenir mes concitoyens et concitoyennes dans leurs démarches administratives , dans les documents de dossiers rejetés pour stupidité et faire sombrer toute une famille dans la ruine , et dans la misère. Peut être que je me battrais contre des moulins à vent comme Don Quichotte , mais au moins j'aurais essayé et je ne me sentirais plus stupide, ou imbécile fasse a des interlocuteurs

et j'ai un devoir maison à faire! C'est un commentaire littéraire sur l'horrible danger de la lecture de voltaire. J'ai fait le brouillon mais il me manque les figures de style! J'en ai deja trouver quelques unes comme l'oxymore ( une heureuse stupidité), la périphrase " un petit état …"; la périphrase " d'éclairer les hommes … ) pour parler des Lumieres! et du vocabulaire péjoratif ( sottise bénédiction, infernale , pernicieux) Pourriez-vous m'aider a trouver les autres figures de style ou des

donc la présence dans les deux oeuvres d'une personne essayant d'aider les personnages à corriger leur tare. Ensuite nous pouvons relever la tristesse qu'engendre un tel défaut , la belle princesse est triste que les gens la délaisse à cause de sa stupidité puis le Roi et la reine de Dumas et Moissard sont tristes d'avoir mis au monde une petite fille de 1 an qu'il juge presque comme une erreur « le roi Livarot et la reine Aubergine, derrière leurs 6000 fenêtres dont on avait tiré les persiennes et

la lecture se place dans un contexte oriental pour mieux dénoncer l'obscurantisme. I- Ridiculiser l'adversaire :   - Vanité, orgueil du pouvoir   - Le locuteur est ridicule, progression dans le texte :           idée de maintenir la pop dans la stupidité           le personnage : non crédible car excès           entête et fin de texte : adversaire désigné comme ridicule et ignorant II- Glorification des lumières :   - Hommage à la connaissance (qui gêne les dictateurs)   - Indépendance par rapport

contrairement aux crayons vous n’avez pas cette petite gomme à effacer au sommet du crâne pour la censure.» (p.56) «C’était une réplique assez stupide mais souvent dans le cerveau la stupidité précède l’intelligence à la ligne d’arrivée.[...] Vous voulez répondre intelligemment mais vous êtes cuit parce que la stupidité est déjà loin devant sur la piste.» (p.62) «De nos jours la gentillesse n’est plus très prisée. Pour être dans le vent vous devez plutôt faire preuve de férocité. C’est la mode

leste, si brillant, si bien ordonnée que les deux armées » (ligne.1), son ton est profondément railleur, et instaure un climat de moquerie. Par ailleurs, outre l’ironie, Voltaire décide de mettre en avant les absurdités de la guerre. Il aborde la stupidité des troupes qui ont à cœur des actes purement barbares : pour elles, la guerre est « une bouche héroïque » (ligne.9). Il insiste également sur les similitudes entre les deux armées, en disant que « les deux rois faisaient chanter des Ta Deum