Swot Vertu

« Aimez-la [Delphine] si vous pouvez après, sinon servez-vous d’elle ») et comment l’accomplir. L’épisode montre la représentation typique de « l'infâme » monde parisien et le moyen par lequel on peut réussir dans cette société : « la fortune est la vertu ! » (p.118). La troisième partie (p.125-126) parle sommairement de deux visites que fît Rastignac en l'espace d'une semaine, durant laquelle la comédie d'Ajuda continue de maltraiter le cœur de la vicomtesse. Il constate à quel point l’amour peut

cercle amoureux. Mais ces deux voix ne peuvent véritablement nous satisfaire : Pour le conformisme de Mme de Volanges, il suffit pour le constater de se reporter aux lettres 9 et 32 à Mme de Tourvel. Elle la met en garde pour sa réputation, non en vertu de valeurs hautement spirituelles ; de même elle reçoit Valmont même si cela est une « inconséquence » d’un monde « plus prudent que courageux » .Elle souffle à Mme de Tourvel l’idée de faire épier Valmont lettre 9 p. 42. C’est elle qui ensuite transmet

ses regards la mettent mal à l’aise. M. de Clèves porte donc tout au long de cet extrait, une très grande attention à Mlle de Chartres, car il essaie de faire la lumière sur ses sentiments, à travers ses actes. Il admire à la fois sa beauté et sa vertu et nous le constatons grâce au point de vue qu’utilise Mme de Lafayette dans l’extrait. C’est en effet celui de M. de Clèves: « il ne pouvait comprendre; il ne connaissait point; lui faisait croire; il ne savait que penser; il l’a regardait toujours;

maux. Le bonheur est l’effet de la vertu. Nous ne sommes pas heureux de ce que la nature et la bonne fortune nous permettent de jouir, mais d’une conduite vertueuse qui nous met à l’abri de leurs revers. Le bonheur est ainsi la satisfaction que nous tirons de nous-mêmes. On n’accède au bonheur qu’en échappant au mirage des biens qui n’y contribuent pas. Aristote (Ethique à Nicomaque) montre ainsir que le bonheur est un effet de la vertu, parce que pratiquer la vertu, c’est accomplir nos véritables

petite modification. Au reste, je n’ose encore assurer que cette pièce soit en effet la meilleure de mes tragédies. Je laisse et aux lecteurs et au temps à décider de son véritable prix. Ce que je puis assurer, c’est que je n’en ai point fait où la vertu soit plus mise à jour que dans celle-ci. Les moindres fautes y sont sévèrement punies. La seule pensée du crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même. Les faiblesses de l’amour y passent pour de vraies faiblesses. Les passions n’y

INTERROGATIONS PHILOSOSPHIQUES Sénèque : Consolation à Marcia, XI La condition humaine Si le sage stoïcien est un roc, un athlète de la vertu, c'est qu'il a compris que l'homme est un être faible, fragile, né pour mourir : Marcia, qui a perdu son fils, doit se consoler en pensant que ce deuil, aussi pénible soit-il, ne fait que sanctionner la dure loi de la nature. Quae deinde ista tuae publicaeque condicionis oblivio est ? Mortalis nata es, mortales peperisti. [...] Decessit filius tuus

ton radouci N'imposent qu'à des gens qui ne sont point d'ici. On sait que ce pied plat, digne qu'on le confonde, Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que par eux son sort de splendeur revêtu Fait gronder le mérite et rougir la vertu. Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne, Son misérable honneur ne voit pour lui personne ; Nommez-le fourbe, infâme, et scélérat maudit, Tout le monde en convient, et nul n'y contredit. Cependant sa grimace est partout bienvenue

rationalité qui mène à un ordre dans la collectivité. En plus, l’élévation de l’âme est une quête recherchée par une grande majorité de la population que ce soit de l’époque de la Grèce Antique ou de l’époque contemporaine. Les vertus permettent une élévation de l’âme. Une vertu est une capacité de faire le bien, le beau, d’être honnête, etc. Pour vivre une vie vertueuse, il faut en tout temps être juste, car obéir aux lois, même ceux qui sont injustes envers des citoyens, apporte la justice universelle

Essai : Peut-il être juste de désobéir à la loi ? La justice est, au sens théorique, un idéal auquel correspond un sentiment individuel et qui repose sur la vertu d’un homme. Une loi est une parole, une règle à respecter sous peine de punition. Sa validité est permanente et elle s’adresse à tous. Si l’action juste est obligatoirement conforme à la loi, ne pas obéir à une loi peut-il être vertueux ? La justice réside t-elle même dans la désobéissance ? Selon les événements, désobéir à une règle

a-t-elle permise la naissance de la philosophie ? C’est ce que semble nous dire Platon. Mission de Socrate : faire passer en 1er chez l’H la richesse de l’âme et de son perfectionnement avant le soin du corps et des richesses» Travail fruit de la vertu, du discernement et du dialogue. Socrate ne veut pas d’une vie sans pensée, sans dialogue et sans analyse c’est pour cela qu’il se décide à mourir car il comprend le manque de jugement des jurés et préfère la mort au nom de ses principes philosophiques