Sémiotique Du Conte Le Petit Poucet

de discours, La phrase est donc chaque fois un événement différent : elle n’existe que dans l’instant où elle est produite. La langue comporte donc deux domaines distincts, dont chacun demande son propre appareil conceptuel : 1. Domaine sémiotique (le signe) 2. Domaine sémantique (phrase) La « langue discursive » et la langue-système (Ferdinand de Saussure) La langue n’est créée qu’en vue du discours, mais qu’est-ce qui permet de dire que la langue entre en action comme discours 

verbales. Il y a immitation, action incontrôlée. • se gratter à la place de l'autre; la façon de parler, se toucher en parlant fait partie du comportement culturel. ( les signes linguistiques face aux autres signes. (l’orchestre sémiotique) L'orchestre des signes est beaucoup plus large que le logos. IMAGE Actuellement on fait confiance aux images, on a une foi incroyable en elles (exple: si on voit une photo de G.W.Bush, on sait que c'est lui même si on ne l'a jamais

paranoïde-schizoïde] Les archétypes psychosociaux 14 Complexe d ’infériorité • Infériorité d ’une organe + • Sentiment d ’infériorité + • Volonté de compensation. Exemples : David & Goliath ; La Belle et la Bête, Joseph et ses frères ; Le Petit Poucet; Cendrillon. (ADLER, 1950, 73-86) Les archétypes psychosociaux 15 Les échecs par inadaptation • L ’enfant aux organes défectueux qui souffre d ’un handicap ; • L ’enfant dorloté qui compte toujours sur autrui (l ’enfant unique) ;

: fable (2e) ....................................................................................................................................................................................................................... 41 Fiche 21N : conte traditionnel, légende, mythe (3e) ............................................................................................................................................................ 42 Fiche 22N : nouvelle (4e) .......................

rencontres et de circulations francophones  Nadine Decourt ...................................................................................................... 223  La logique du conte  Patricia Eichel-Lojkine ........................................................................................... 229  La prise en conte du jeune lecteur : réflexions et éléments méthodologiques pour une recherche à venir  Bertrand Ferrier ..........................................................................

– La poésie chapitre 10 – L’autobiographie L’ArgumentAtion p. 38 p. 44 p. 50 p. 54 p. 59 chapitre 11 – Démontrer, convaincre et persuader chapitre 12 – Le genre épidictique : l'éloge et le blâme chapitre 13 – L’argumentation indirecte : le conte philosophique et la fable Production et récePtion des textes p. 60 p. 66 p. 72 p. 77 chapitre 14 – L’écrivain au travail chapitre 15 – Les différents procédés de réécriture Le guide PrAtique p. 78 p. 84 p. 91 les mouvements littéraires

............................................... 58 Les récits, les « histoires » ............................................................................................................ 60 Document 7 – faire évoluer des jeux de la petite à la grande section ..................................................... 61 Document 8 – jouer avec un même jeu de construction à tous les niveaux ........................................... 62 Document 9 – à propos d’une sortie racontée

................................................................. Les récits, les « histoires » ............................................................................................................ Document 7 – faire évoluer des jeux de la petite à la grande section ..................................................... Document 8 – jouer avec un même jeu de construction à tous les niveaux ........................................... Document 9 – à propos d’une sortie racontée aux parents .

.. 122 • Annexe VIII. Exemple d’un travail progressif : « à propos d’une sortie racontée aux parents » . .............................................................................................. 130 • Annexe IX. Faire évoluer des jeux de la petite section à la grande section................................. 132 • Annexe X. Jouer avec un même jeu de construction à tous les niveaux........................................ 134 • Annexe XI. Le cahier de vie .....................................

.. 122 • Annexe VIII. Exemple d’un travail progressif : « à propos d’une sortie racontée aux parents » . .............................................................................................. 130 • Annexe IX. Faire évoluer des jeux de la petite section à la grande section................................. 132 • Annexe X. Jouer avec un même jeu de construction à tous les niveaux........................................ 134 • Annexe XI. Le cahier de vie .....................................