Thomas d'Aquin

idéales, immuables et universelles, qui existent déja, il suffit de les chercher. Ces règles s'imposent à toutes les sociétés, c'est le droit naturel (elles préxistent et portent l'équilibre, comme pour la nature). Aristote se refère à la nature, St Thomas d'Aquin à Dieu. Le matérialisme, ou positivisme : Réfutation du droit naturel, il considère que le droit est contenu dans la réalité positive, ce droit positif n'existe pas sans sanctions, et résulte de l'Etat. Parmis les auteurs, Hegel pense que

l’âme, alors qu’elle est la conséquence d’une chute pour les philosophies antérieures. 2. Les doctrines de l’information Aristote domine le courant des doctrines de l’information ou de “ l’âme informante ”: ce courant est christianisé par Thomas d’Aquin au Moyen Age. Ensuite, Maine de Biran le remet au goût du jour au XIX° siècle. Selon Aristote l’union des âmes et du corps est comme un cas particulier de la substance. Celle-ci est constituée de matière et de forme. La forme ne s’ajoute pas

propriété de leur seigneur. C'est dans ce contexte que va se diffuser la pensée de St Thomas d'Aquin. Né en 1224 et mort en 1274, il était un religieux de l'ordre Dominicain, considéré comme l'un des principaux maître de la théologie catholique. Sa pensée s'articule autour de celle d'Aristote dont il reprend et actualise les grands principes et notamment au sujet du prêt à intérêt. Tout comme Aristote, Thomas d'Aquin condamne cette pratique en disant: «Recevoir un intérêt pour l'usage de l'argent prêté

tout les pouvoirs viennent de Dieu, on ne peut imaginer un pouvoir en dehors de Dieu. F. De Goulanges (cette théorie suppose que le pouvoir exercé par le souverain est un pouvoir surnaturel = le pharaon ou le Mikado, le gouvernant est Dieu), St Thomas d'Aquin (pour lui le titulaire de la souveraineté est Dieu, tout les pouvoirs viennent de Dieu, sauf que pour lui, l'exercice du pouvoir est une affaire humaine, les hommes gouvernent au nom de Dieu = c'est le droit divin providentiel, on respecte les

 tout les pouvoirs viennent de Dieu, on ne peut imaginer un  pouvoir en dehors de Dieu. F. De Goulanges (cette théorie suppose que le pouvoir exercé par  le souverain est un pouvoir surnaturel = le pharaon ou le Mikado, le gouvernant est Dieu), St  Thomas d'Aquin (pour lui le titulaire de la souveraineté est Dieu, tout les pouvoirs viennent de  Dieu, sauf que pour lui, l'exercice du pouvoir est une affaire humaine, les hommes gouvernent  au nom de Dieu = ​ c'est le droit divin providentiel​ , on respecte les rois parce qu’ils détiennent 

outre l'agriculture prime sur le commerce. Se souvenir qu'il faut mettre en lumière les talents individuel, on condamne l'accumulation des richesses. Période médiévale : les penseurs vont introduire la notion de moral dans l'économie. Saint Thomas d'Aquin : il a réfléchi sur le prix, un bien doit être vendu à un juste prix, il doit couvrir les coûts de production, il soit accessible à l'acheteur pas disproportionné et il ne permet pas l'accumulation des richesses. Pour vendre un bien dans le commerce

concordance entre ce que je vois et ce qui est : forme ontologique  Chez Heidegger, la vérité apparaît comme un voile de l’oubli (de l’être) qui se lève = c’est la vérité au sens de dévoiler. La vérité doit avoir un critère de concordance ; cf Thomas d’Aquin, Somme théologique (définition de la vérité comme concordance) : »On définit la vérité par la conformité de l’intellect et du réel. Connaître cette conformité, c’est connaître la vérité ». Y-a-t-il des énoncés dont la vérité est indécidable

coeur des actions de lutte contre la pauvreté : la charité apparaît dès lors comme une notion proprement et exclusivement religieuse. La charité constitue l'une des trois vertus théologales du christianisme, avec la foi et l'espérance, que Saint Thomas d'Aquin considère d'ailleurs comme la plus importante. Elle est une obligation religieuse, et se matérialise dans un premier temps au sein d'une solidarité familiale. Au Moyen-âge, la pauvreté étant généralisée, elle n'entraine pas réellement d'exclusion

des autorités plutôt que sur l’accès direct aux textes ou sur l’expérimentation scientifique, fondé sur la mémorisation plutôt que sur la compréhension ; prétend donner une vision immuable et figé du monde et de son ordre (par exemple avec Saint Thomas d’Aquin qui a cherché à concilier l’héritage antique (Cicéron et Aristote) et la vérité chrétienne ; tout ce qui s’écarte de cette vision ou qui la remet en cause doit être combattu et censuré. Le jeune R a tenté dans un premier temps de concilier la

lire dans l’Ancien Testament : “Tu donneras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure” (Exode, 21 ;24-25). S’appuyant notamment sur Saint-Augustin, et sur St Thomas d’Aquin (au 13ème siècle, celui-ci la justifie théologiquement : “Si quelqu’un représente un danger pour la société à cause de son péché, il est acceptable et juste qu’il soit mis à mort pour le bien de la société”), l’Eglise continue d’ailleurs à défendre