Transgabonais

de recherche ont démarré en 2009 et sont toujours en cours. Des infrastructures en développement Le chemin de fer Transgabonais achemine, entre Franceville et Libreville, sur une distance de plus de600 km, le minerai de manganèse de Comilog, le bois ainsi que des marchandises diverses. A compter de novembre 2005, Comilog a obtenu (via sa filiale SETRAG) la concession du Transgabonais pour une durée de 30 ans. Un projet d’investissement, d’ores et déjà en cours, pour un montant de 75 millions d’euros

En résultent : le port d’Owendo, doublant les installations anciennes de Libreville et le développement de Port-Gentil, vers lesquels converge l’essentiel des productions de l’intérieur du pays, grâce notamment à la réalisation du chemin de fer Transgabonais, qui laisse dans une certaine mesure en marge les installations de Port-Gentil. Mais vu l’insuffisance de ses infrastructures terrestres et fluviales intérieures, l’État a dû recourir à l’emprunt pour financer les travaux nécessaires d’où les limites

République gabonaise (fr) (Drapeau du Gabon)(Armoiries du Gabon) Devise nationale : Union, Travail, Justice Langue officielleFrançais CapitaleLibreville 0°23′24″N 9°24′7″E Plus grande villeLibreville Forme de l’ÉtatRépublique  - Président de la RépubliqueAli Bongo Ondimba Superficie  - Totale  - Eau (%)Classé 77e 267 667 km2 Négligeable Population  - Totale (2011)  - DensitéClassé 148e 1 534 300(2)[1] hab. 5,7 hab./km2 Groupes ethniques Indépendance  - DateDe la France 17

LE GABON Nbre d’habitant au km2 : 4.6hab/ km2 Hymne nationale : la concorde 1990 multi partisme En 1998 charte qui vise tirer les investisseurs au gabon (code forestier) parc nationaux et preserver les patrimoines internationaux trasport de biens et de personnes avec 61 aeroport dont la majorité assurer des liaiso entre la capitle et l’intérieur du pays et d’autre lige vers l’internationale l(éon mba omar bongo) 870939 vols par an lbv port gentil franceville et d’autres moyens de

travailleurs locaux, familles entières sur le chantier, pas de démoralisation. Histoire comparable dans l’Etat d’Acre (Brésil), lors du boom du caoutchouc au XIXe siècle. Après l’accession à l’indépendance, le Gabon se lance dans le chemin de fer transgabonais, construit de 1973 à 1986. Train de transport de passagers et de marchandises (manganèse, bois), reliant la capitale Libreville à Franceville (sud-est) sur 800 km. Projet pharaonique du président Omar Bongo, qui l'opposa aux bailleurs de fonds

d’exécution qui doit se cantonner à des décisions ponctuelles dont les effets sont limités dans le temps. Section 2 : Les coûts à la DEV En 2005, la Setrag, filiale de Comilog a obtenu de la part de l’Etat gabonais la concession du Chemin de Fer Transgabonais, pour les 30 années à venir. En contrepartie, elle s’est engagée à effectuer un certain nombre d’investissements visant à renouveler l’état du chemin de fer, qui est la propriété de l’Etat gabonais, et à l’entretenir. Afin de mener à bien cette

première société privatisée a été ADL (Aéroport de Libreville) en 1988, suivie en 1997 de la SEEG (eau et électricité) désormais contrôlée à 51% par Véolia Environnement, puis en 1999 du chemin de fer Libreville-Franceville concédé au consortium "Transgabonais" dominé par les sociétés forestières (principaux utilisateurs de la ligne). Le réseau de télécommunication est l'un des tout premiers d'Afrique. En mars 2002, la Banque Européenne d'Investissement a accordé au Gabon un prêt de 22 millions d'euros

dans l’est du Gabon, et riche surtout en « bois divers », a fait l’objet, depuis 1971, d’un accord entre le gouvernement et les grandes entreprises sur son exploitation. Une partie (zone d’attraction du chemin de fer) bénéficie de la desserte du Transgabonais.  II.2 Les permis La première démarche d’un forestier est de prendre un permis d’exploitation qui se transformera si les prospections sont concluantes, un permis d’exploitation. Il existe trois sortes de permis : - Les permis

le coût social de cet engagement fut lourd de conséquences. Le chômage, jusque-là inconnu des Gabonais, fit son apparition avec la fermeture des entreprises budgétivores comme la SOTRAVIL, la CODEV, l’EUROTRAG (qui licencia 3900 employés), le Transgabonais... Le gouvernement en outre décida de réduire les salaires des fonctionnaires et de geler les recrutements dans la fonction publique. Avec tout cela, le tissu social se dégrada dangereusement, et les germes d’une implosion étaient perceptibles

l'Elysée par le président Georges Pompidou [7]. En 1973, il se convertit à l'islam et prend pour prénom Omar, ce qui facilite l'adhésion du Gabon, l'année suivante, à l'Opep [7]. L'exemple de développement d'infrastructures le plus marquant fut le Transgabonais. L'État fortement centralisé assurait, comme aujourd'hui, l'essentiel de l'emploi national grâce à la rente pétrolière. En 1977, André Tarallo devient président d'Elf-Gabon; il sera condamné en 2005 à sept ans de prison pour abus de biens sociaux