Triforium

tympan est ajouré d’un oculus trilobé. Les baies des tribunes sont encore assez simples, et peu ornées, nous sommes encore loin des quadrilobes que nous pouvons voir à la cathédrale d’Amiens. Le triforium forme un étroit passage dans l’épaisseur du mur et introduit une zone d’ombre. Définition : Le triforium est un passage étroit aménagé dans l'épaisseur des murs au niveau des combles sur les bas-côtés de la nef d’une grande église.  Il habille le mur derrière lequel les combles et les toitures des

chœur et de les percer largement. Ceci créer un allégement de la paroi murale qui devient alors une paroi vitrée. En outre, le traitement des contreforts permet aux baies de ne pas être obstruées. Le mur est également amoindri au niveau du comble du triforium. On observe aussi une volonté de réduire l’épaisseur du mur au niveau de la chapelle axiale. En effet, un passage est ménager devant les baies, au dessus d’un mur sous appui. Cet élément, ce passage rémois qui est apparu pour la première fois à

construit au XIIème, dans le respect de l’inspiration romane. Il ne comportait que 2 niveaux à cette époque là : le premier avec des fenêtres en arcs brisés, le second avec une galerie d'élégants arcs en plein cintre correspondants, à l’intérieur, au triforium. Il semble que plus tard, au XIIIème siècle, il fut décidé d’une surélévation. Ainsi est apparu un troisième niveau, composé de fenêtres hautes géminées, abritées sous un porche profond. Le chevet est couronné d'une balustrade ponctuée de pinacles

gothique flamboyant : XVe / XVIème siècle où la décoration l’emporte II/ Caractéristiques de l’architecture gothique L’art gothique se caractérise par divers procédés architecturaux : • L’ogive : • L’arc-boutant : • Le triforium : • Le pinacle : III/ L’art gothique en Champagne-Ardenne • Saint-Rémi de Reims Plus que tout autre édifice, la Basilique de Saint Rémi incarne le nouveau style. Les ogives et les

inférieur, traversant le triforium pour venir assurer la retombées des grandes voûtes d’ogives. Les arcades sont serrées dans le rond-point et dessinent des arcs brisés très fermés. Le triforium présente des petites arcades à peine brisées sur des colonnettes. Il s’interrompt derrière chaque support, ce n’est donc pas un triforium-couloir mais un triforium-niche, communiquant seulement par des portes qui s’ouvrent sur les combles. La coursière supérieure, contrairement au triforium médian, forme un

maitrise convergence de la lumière. Eglise= Jérusalem Céleste. Épanouissment de ce style dans les années 1230. *St Denis, croisée nord, 1230. AU dessus double déambulatoire de Suger, transept et nef reconstruits sur 3 niveaux comme à Chartres. Triforium ajuré> jeux scéniques, mise en scène. Soulignement de la structure, simple membrane de verre. Dématérialisation du mur, qui devient membrane. Canalisation visuelle. Fenêtres larges et hautes avec 4 lancettes et 3 polilobes. Mise en place du surnaturel

Cluny. On remarquera donc que la construction du monastère de Paray-le-Monial peut être qualifié de clunisienne. (on le remarque dans l’architecture avec l’adoption des voutes en berceau brisé, dans l’élévation tripartite = grd arcades, galerie de triforium aveugle et les baies de l’étage supérieure, de même pour le décor des arcades (en oves, chevrons) et les colonnes ornées avec des chapiteaux corinthiens les motifs végétaux. Et des pilastres. · Cet autel massif conçu avec un socle et un plateau d’une

préparée pour être dorée avant de l'installer à sa place à 60 mètres de hauteur. Transept et croisée : Les voûtes sont en cours de fermeture pour pouvoir construire bientôt les deux tronçons qui manquent du transept. La grille de 45 mètres du triforium est très avancée et les voûtes des évangélistes Marc et Luc arrivent à une hauteur de 55 m ce qui permettra de construire les voûtes de la croisée et l'abside. En juillet, la baie vitrée supérieure avec la rosace du transept de la Nativité œuvre

les quatre arcs suivants, du XIVeme siècle, rejoignent des culées plus effilées, et la dernière, de la fin du XVeme siècle, a un décor flamboyant. Les arcs-boutants enjambent la toiture des bas-côtés, en très faible pente, à cause de l’absence de triforium (que l’on peut observer de l’intérieur). Les contreforts des bas-côtés ne sont pas saillants, car ils séparent les chapelles latérales. Les tours sont tronquées à la suite de l’effondrement de 1561. On remarque la différence de niveau entre les trois

baies (remplages) • Élévation (arcades, tribunes, triforium, fenêtres hautes) • Type de croisée (sexpartite, barlongue) • Forme des colonnes/piliers de supports • Arcs-boutants 5 GOTHIQUE PRIMITIF (1140-1190) Caractéristiques structurelles • Voûtes sexpartites : alternance de piles fortes (doubleaux) et faibles • Arc boutants massifs : contreforts extérieurs • Bas côtés à tribunes : élévation à 3 ou 4 niveaux (grandes arcades, tribunes, triforium éventuel et fenêtres hautes) • Piliers ronds avec